MP Farmers Who Didn’t Take Any Loan Shocked To Find Their Names In Loan Waiver List, Threaten To Commit Suicide

The interim Finance Minister Piyush Goyal announced his government’s plan of providing an assisted income support to small and marginal farmers under the Pradhan Mantri Kisan Samman Nidhi scheme as part of the interim budget on February 1.

However, it is the farmers who are suffering at the behest of tall promises made by different political parties. Times of India reported that the farmers threatened to commit “mass suicide” after their names appeared in a loan waiver list despite many of them not having availed any loan at all.

Click Here: United Kingdom Rugby Jerseys

Many had taken loans for far less amount than the ones given in the list. These anguished farmers belonged to Hilgan village of Sagar district in Madhya Pradesh. Reportedly they all assembled at the Panchayat office on Saturday to protest against the false list.

Scarlett Johansson : le personnage transgenre abandonné par l’actrice au cœur de la Black List 2018

La “Liste noire” des scripts les plus appréciés mais non financés ont été dévoilé par Hollywood et on y retrouve trois histoires centrées sur des personnages transgenres ainsi que des biopics ou des adaptations d’histoires vraies.

Découvrez notre top 5 des scénarii de la liste noire 2018, la sélection des meilleurs films ayant été refusés par les studios américains. Parmi ces films se cache parfois la pépite de demain : refusée en 2018 mais sauvée en 2019 ou 2020 ! Rien que cette année, Pentagon Papers, Moi, Tonya et Hotel Artemis sont sortis dans les salles mais figuraient sur la Black List 2016.

A noter que la liste comprend trois films centrés sur des personnages transgenres : Queen (l’histoire de Corey Rae, première reine de promo transgenre), Me & Tammy Faye At The Betty Ford Clinic (la relation entre une transgenre Latinx et la reine du télévangélisme chrétien. Inspiré de la vie réelle de Tammy Faye Bakker), et Rub & Tug (dans le Pittsburgh des années 70, la vie de Dante “Tex” Gill, un gangster transgenre; le rôle devait être interprété par Scarlet Johansson, avant que l’annonce ne soulève une vague de mécontentement et n’enterre le projet).

KING RICHARD

L’histoire vraie de Richard Williams, le père de Venus et Serena Williams, qui fut impitoyable et intransigeant et fit de ses filles des superstars et des prodiges du tennis.

GET HOME SAFE

La nuit d’Halloween, une jeune femme doit rentrer seule chez elle sans téléphone avec un groupe de trolls du “Gamergate” à sa poursuite.

DRUDGE

L’histoire d’un excentrique journaliste, Matt Drudge, qui déclencha le scandale de l’affaire Lewinsky qui faillit faire tomber une présidence, sans bouger de son appartement de Hollywood, uniquement avec son ordinateur personnel.

THE SEVENTH

Un regard porté sur le régiment mené par le colonel Custer dans les jours ayant mené au désastreux combat de Little Big Horn contre Sitting Bull.

WENDI

Lorsqu’une ambitieuse femme des quartiers pauvres de la Chine s’arrange pour se marier avec un ponte des médias, devenant alors l’une des femmes les plus puissantes du monde occidental. Il s’agit de l’histoire de Wendi Deng, la seconde femme de Rupert Murdoch.

La liste complète pour 2018 est à retrouver par ici.

Le Top ciné de la Rédac d’AlloCiné :

Forgiven : quelques clés pour comprendre le contexte du film et l’apartheid

Actuellement dans les salles, “Forgiven” de Roland Joffé se déroule en 1994 alors que l’apartheid vient de se terminer en Afrique du Sud. Voici quelques clés pour rattraper un peu le contexte dans lequel prend place l’intrigue du film.

Le film Forgiven de Roland Joffé se déroule dans les mois suivants l’apartheid. Il s’agit d’un régime de ségrégation systématique des populations de couleur appliqué en Afrique du Sud entre 1913 et 1991 et mise en place par les “Afrikaners” (des individus de race blanche, nés en Afrique du Sud et parlant l’afrikaans).

Pour avoir les clés des événements passés et mieux comprendre les traumatismes évoqués dans le film, voici cinq moments clé de l’apartheid :

1950, le “Population Registration Act” contraint les habitants d’Afrique du Sud à être “classifiés” en quatre groupes raciaux (Blancs, Noirs, Asiatiques et Coloureds). Cet acte servira de justification légale à tous les actes ségrégationnistes futurs.
Dans les cinq années suivantes, les Coloured (terme désignant les “métis” entre populations européennes et locales au sens large) sont exclus des listes électorales classiques, sont représentés par des Blancs au Parlement et n’ont plus accès à certains édifices publics, qui deviennent réservés aux Européens.
1961, la résistance contre ces lois ségrégationnistes s’organise avec notamment des actes de sabotage. Trois ans plus tard, Nelson Mandela, chef d’un mouvement de résistance, est arrêté et condamné avec d’autres résistants à la prison à perpétuité. Dans les années 70, la politique de l’apartheid est condamnée par les instances internationales et la résistance se renforce. En conséquence, la police gouvernementale augmente la répression. Les émeutes de Soweto dureront des mois et auront un bilan meurtrier qu’il est encore difficile de tirer précisément aujourd’hui.
D’abord Premier ministre en 1978 puis Président de l’État de la République d’Afrique du Sud, Pieter Willem Botha commence à assouplir l’application de l’apartheid. Sous la pression internationale, il abroge les lois interdisant la présence de Noirs sud-africains pauvres de se rendre ou de s’installer en milieu urbain, les mesures discriminatives sur l’accès aux lieux publics ou encore limitant certains emplois à des Blancs.
Au début des années 90, l’ancien système est réformé et les prèmières élections libres se déroulent en 1994 avec l’élection de Nelson Mandela comme premier président noir de la République d’Afrique du Sud. De 1996 à 1998, une Commission de la vérité et de la réconciliation est instaurée par Nelson Mandela pour récolter les aveux des tortionnaires et entendre les exactions commises au nom du gouvernement sud-africain et des mouvements de libération. Quiconque avoue ses crimes se voit offrir la rédemption.

Dans Forgiven, Forest Whitaker interprète l’archevêque Desmond Tutu, le président de la Commission, qui se retrouve face à un assassin et ancien tortionnaire (Eric Bana) qui va tenter d’ébranler ses convictions.

“Forgiven” est actuellement en salle :

Forgiven Bande-annonce VO

 

Palmarès Alpe d’Huez 2019 : Mon bébé avec Sandrine Kiberlain, grand vainqueur du Festival

Le jury présidé par Alexandra Lamy a distingué “Mon bébé” de Lisa Azuelos, également prix d’interprétation pour Sandrine Kiberlain. “Jusqu’ici tout va bien” remporte le prix du public AlloCiné. Découvrez le palmarès complet.

1. Mon bébé, grand vainqueur de cette 22e édition
+

Mon Bébé de Lisa Azuelos remporte deux prix au Festival de la comédie de l’Alpe d’Huez : Grand Prix OCS et prix d’interprétation pour Sandrine Kiberlain dans Mon Bébé de Lisa Azuelos
Lire la suite

© Bestimage

“Il y a quelque chose de très amical, de familial”, “Il y a eu de si bons films, c’est presque déguelasse car cela a a été si difficile pour nous de choisir”, “Vive la comédie, vive le cinéma, vive l’Alpe d’Huez”. Au terme de cinq jours de neige, de raclette, de fondue, de bons films, de fous rires et de grands sentiments, la 22e édition du festival de l’Alpe d’Huez touche à sa fin et le jury présidé par Alexandra Lamy, entourée de Rossy de Palma, Anne Marivin, Rayane Bensetti et Eric Elmosnino, a dû rendre son verdict. Au cours d’une cérémonie faite de bons mots et de belles émotions ont été décernés les prix consacrant les meilleures comédies de l’année à venir. Et croyez-nous sur parole, 2019 à ce sujet est un très très bon cru.

Le grand gagnant de l’année est Mon Bébé de Lisa Azuelos, auréolé du Grand Prix du festival, tandis que son héroïne, Sandrine Kiberlain remporte la statuette de Richard Orlinski du prix d’interprétation féminine, faisant définitivement taire ceux qui osaient oublier qu’elle était aussi et peut être avant tout une grande actrice de comédie. Comme s’il était surpris d’être ainsi reconnu par la profession, François Civil irrésistible dans Mon Inconnue a tenu à partager son prix d’interprétation masculine avec toute l’équipe du film.

Très attendu ce soir, le très convoité prix du public parrainé par AlloCiné, a été remis à la comédie sociale Jusqu’ici tout va bien de Mohamed Hamidi, très ému. Touchée mais aussi survoltée par la journée qu’elle venait de vivre, l’équipe des Crevettes Pailletées a remporté les faveurs du jury et de son prix spécial. Cette année enfin, pour la première fois, un prix Globes de Cristal a été remis à une comédie et c’est Rebelles d’Allan Mauduit qui a conquis le jury composé de la presse RTL, CNews, BFM TV et Elle.

Le palmarès du 21e Festival International du Film de Comédie de l’Alpe d’Huez (16 – 21 janvier 2018) :

Grand Prix OCS : Mon Bébé de Lisa Azuelos

Prix spécial du Jury : Les Crevettes pailletées de Cédric La Gallo et Maxime Govare
Prix du public AlloCiné : Jusqu’ici tout va bien de Mohamed Hamidi 
Prix d’interprétation masculine : François Civil pour Mon Inconnue de Hugo Gélin – Soutenu par OCS
Prix d’interprétation féminine : Sandrine Kiberlain pour Mon Bébé de Lisa Azuelos
Prix du court métrage OCS : Pile poil d’Yvonnick Muller et Lauriane Escaffre -Soutenu par OCS
Prix Globes de Cristal : Rebelles d’Allan Mauduit

Un prix de la comédie Unifrance a également été remis, en début de semaine, pour la deuxième fois à l’occasion du Festival international du film de comédie de l’Alpe d’Huez : il a distingué le film d’Eric Toledano et Olivier Nakache, Le Sens de la fête. Jusqu’ici tout va bien a été choisi pour être projeté lors de la cérémonie de clôture.

Alpe d’Huez 2019 – Jour 5 : Les Crevettes pailletées, Ralph 2.0, Mike… 

Christian Clavier, Louis de Funès, Fernandel… Qui sont les 5 rois de la comédie en France ?

Ils ont rassemblé des centaines de millions de Français dans les salles grâce à leur talent comique légendaire. Qui sont les cinq rois de la comédie Made In France, et quels sont leurs plus gros cartons au box-office ?

1. Louis de Funès (217 976 199 spectateurs)
+

1966: La grande vadrouille (17 275 169)
1965: Le corniaud (11 743 525)
1964: Le Gendarme de Saint Tropez (7 809 517)
1973: Les Aventures de Rabbi Jacob (7 295 862)
1967: Les Grandes vacances (6 987 127)
Moyenne / film : 2 945 624 spectateurs

Lire la suite

© Société Nouvelle de Cinématographie (SNC)

En excluant Gérard Depardieu (3e), Bernard Blier (5e), Jean Gabin (6e), Jean-Paul Belmondo (8e), Alain Delon (9e) et Jean Marais (10e) qui ne se limitent pas à une image d’acteurs comiques, voici les cinq comédiens qui ont le plus amusé les Français ! Certes : ils ne collectionnent pas seulement les rôles de clowns, comme l’ont prouvé Bourvil dans Le Cercle Rouge ou Michel Galabru dans L’été meurtrier.  Mais leurs carrières se sont tout de même très largement illustrées dans la comédie.

Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu : Medi Sadoun, Frédérique Bel… les acteurs déclarent leur flamme à la France

Remarquons que si Louis de Funès reste de très loin l’acteur préféré des Français, le calcul des moyennes de spectateurs par film fait changer le classement. Bourvil devient alors la valeur la plus sûre – et de loin ! – avec plus de trois millions de Français à chaque film. Christian Clavier gagne une place en passant devant Michel Galabru.

Il est aussi important de rappeler que la fréquentation du cinéma a beaucoup changé en France au cours des cinquante dernières années et qu’il était bien plus fréquent de réunir des millions de spectateurs dans les salles de cinéma au milieu des années 1960 qu’aujourd’hui.

Louis de Funès (217 976 199 spectateurs)

1966: La grande vadrouille (17 275 169)
1965: Le corniaud (11 743 525)
1964: Le Gendarme de Saint Tropez (7 809 517)
1973: Les Aventures de Rabbi Jacob (7 295 862)
1967: Les Grandes vacances (6 987 127)
Moyenne / film : 2 945 624 spectateurs

Fernandel : (198 109 105 spectateurs)

1952: Le Petit Monde de Don Camillo (12 791 213)
1959: La Vache et le prisonnier (8 851 251)
1953: Le Retour de Don Camillo (7 425 550)
1963: La Cuisine au beurre (6 396 872)
1955: La Grande Bagarre de Don Camillo (5 087 231)
Moyenne / film : 2 790 269 spectateurs

Bourvil (181 114 671 spectateurs)

1966: La Grande Vadrouille (17 275 169)
1965: Le Corniaud (11 743 525)
1958: Les Miserables (1958) (9 968 993)
1963: La Cuisine au beurre (6 396 872)
1947: Pas si bete ! (6 165 419)
Moyenne / film : 3 417 258 spectateurs

Michel Galabru (147 170 015 spectateurs)

2008: Bienvenue chez les Ch’tis (20 438 757)
1999: Asterix & Obelix contre César (8 776 572)
1964: Le gendarme de Saint Tropez (7 809 517)
1968: Le Gendarme se marie (6 828 665)
1979: Le Gendarme et les extraterrestres (6 280 079)
Moyenne / film : 1 839 625 spectateurs

Christian Clavier (114 768 892 spectateurs)

2002: Asterix & Obelix : Mission Cleopatre (14 404 829)
1993: Les Visiteurs (13 671 885)
2014: Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ? (12 366 033)
2006: Les Bronzes 3 – Amis pour la vie (10 229 483)
1999: Asterix & Obelix contre César (8 776 572)
Moyenne / film : 2 732 593 spectateurs

Découvrez la bande annonce de Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu ?

Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu? Bande-annonce VF

 (*)Source : CBO Box-office

Click Here: Spain Football Shop

Nizamabad Constituency In Telanana Will Vote Through Paper Ballots. Reason, EVM’s Can’t Accommodate 185 Candidates

Since the 2004 General Elections, Electronic Voting Machines (EVMs) have been the only method that has been used to conduct polls in India, be it to the state assemblies or to the parliament.

Amid all the allegations about EVM hacking and tampering, there have been calls from various corners to return to paper ballots. The Election Commission which insists that its voting machines cannot be hacked has rejected all such demands. The Supreme Court too has ruled that the Lok Sabha elections 2019 will be conducted using EVMs.

Click Here: New Zealand rugby store

BCCL

Razzie Awards : Holmes & Watson pire film de l’année, Donald Trump pire acteur

Les Oscars du Pire ont dévoilé leur palmarès ce 23 février au soir, avec quatre trophées (dont Meilleur film) pour “Holmes & Watson” et trois prix pour Donald Trump et son administration. Découvrez le palmarès complet.

Et les pires de l’année sont… Comme chaque année depuis 1981, la Golden Raspberry Award Foundation décerne la veille des Oscars ses prix aux plus mauvaises productions de l’année. Pour cette édition 2019, c’est la comédie en costumes Holmes & Watson qui décroche le trophée de Pire film de l’année, ainsi que les Razzies de Pire réalisateur, Pire acteur dans un second rôle et Pire suite ou remake.

Holmes & Watson Bande-annonce VO

 

L’administration Trump est également saluée grâce à ses “performances” dans les documentaires Fahrenheit 11/9 de Michael Moore et Death of a Nation de Dinesh D’Souza, avec les Framboises d’or du Pire acteur pour le Président des Etats-Unis, du Pire second rôle féminin pour sa conseillère Kellyanne Conway et du Pire couple à l’écran pour… Donald J. Trump et sa mesquinerie perpétuelle. Signalons au passage que l’administration Bush avait fait mieux en 2005 pour Fahrenheit 9/11, avec quatre Razzies : Pire acteur (George W. Bush), Pire second rôle masculin (Donald Rumsfeld), Pire second rôle féminin (Britney Spears) et Pire couple à l’écran (George W. Bush et Condoleezza Rice).

Fahrenheit 11/9 Bande-annonce VO

 

Enfin, on notera que Cinquante Nuances plus claires remporte le Razzie du Pire scénario, trois ans après le sacre du premier volet de la trilogie dans la même catégorie (le second opus y avait échappé), et surtout que Melissa McCarthy, sacrée Pire actrice pour Carnage chez les Puppets et Life Of The Party, est parallèlement en lice pour décrocher la statuette… de la Meilleure actrice aux Oscars cette nuit pour son rôle dans Can You Ever Forgive Me?. Un grand écart qui lui vaut d’ailleurs cette année le Razzie du repentant, un trophée remis depuis 2014 aux champions des Razzies s’étant racheté depuis une intégrité artistique (Ben Affleck, Sylvester Stallone et Mel Gibson sont ainsi les précédents lauréats).

Carnage chez les Puppets Bande-annonce VF

 

Pire film
Holmes & Watson

Pire réalisateur
Etan Cohen – Holmes & Watson

Pire actrice
Melissa McCarthy – Carnage chez les Puppets et Life Of The Party

Pire acteur
Donald J. Trump – Death of a Nation et Fahrenheit 11/9

Pire acteur dans un second rôle
John C. Reilly – Holmes & Watson

Pire actrice dans un second rôle
Kellyanne Conway – Fahrenheit 11/9

Pire scénario
Cinquante Nuances plus claires

Pire remake, plagiat ou suite
Holmes & Watson

Pire duo à l’écran
Donald J. Trump et sa mesquinerie perpétuelle – Death of a Nation et Fahrenheit 11/9

Razzie du repentant
Melissa McCarthy – Can You Ever Forgive Me?

Box Office US 2018 : une étude montre des résultats en demi-teinte et la poussée massive de Netflix

Une étude menée par la MPAA sur le Box Office américain de l’année 2018 révèle un millésime plutôt plat, sauvé par quelques rebonds comme “Black Panther” ou “Les Indestructibles 2″… Et souligne le poids très important de Netflix.

Selon une étude commandée par The Entertainment Industry Trade Group à la MPAA, qui est pour mémoire la Motion Picture Association of America, c’est-à-dire l’organisme de classification des films aux Etats-Unis, les résultats du Box Office US pour l’année 2018 ne sont pas mirobolants, mais plutôt en demi-teinte. Ainsi, le BO US a surtout profité d’un rebond alimenté par des blockbusters comme Black Panther ou les Indestructibles 2, permettant aux ventes de tickets de bondir de 7% et rapporter 11,9 milliards $. Le business (global) de l’Entertainment a enregistré une hausse de 16%, qui a permis de rapporter l’an dernier aux Etats-Unis 55,7 milliards $. Mais c’est une hausse qui s’explique selon l’étude grâce au marché du digital, que ce soit les locations, ventes, ou les services de streaming comme Netflix.

Ainsi, le marché domestique du digital a grimpé de 24% pour atteindre 17,5 milliards $. Au niveau international souligne l’étude, ces ventes s’élèvent à 25,1 milliards $. Des chiffres qui semblent compenser le très net déclin de la consommation sur supports physiques comme les DVD ou Blu-ray. Car aux Etats-Unis, les ventes sont en chute libre : -15%. Il y a quatre ans, les ventes physiques pesaient encore 10,3 milliards $ aux Etats-Unis, là où elles ne pèsent désormais plus que 5,8 milliards $. Au cours de cette même période, les dépenses des consommateurs pour le digital ont augmentées de 170% globalement. Cette impressionnante augmentation est principalement le fait de plateformes comme Netflix, Amazon Prime ou d’autres services. Pour la première fois note l’étude, le nombre de souscriptions pour les abonnements en ligne à ces plateformes a dépassé les abonnements aux chaînes du Câble.

Avec l’écroulement des ventes des supports physiques, les Majors ont cherché à encourager les consommateurs à acheter les films en version digitale. A ceci près que ces derniers n’ont pas vraiment appliqué la consigne à la lettre… Selon l’étude, ils préfèrent nettement picorer les contenus diffusés en streaming via Netflix, plutôt que de pratiquer l’acte d’achat “à la carte” d’un film. Un chiffre qui ne trompe pas : le nombre de souscriptions a bondi de 28% en 2018, pour rapporter 13,3 milliards $, là où les achats et locations à l’acte ont chuté de 5%, pour rapporter (quand même) 10 milliards $.

Dans tous les cas des résultats qui ne tombent pas franchement à point pour Disney, la nouvelle entité WarnerMedia et Comcast, qui préparent dans leurs tuyaux justement de nouvelles plateformes de VOD pour tenter de contrer le géant Netflix. On pourra rappeler à ce titre les récents propos de Barry Diller, ancien PDG des studios Fox et Paramount. Invité en février dernier dans un Podcast intitulé Recode Decode, l’intéressé livrait un diagnostic lapidaire : “Ceux qui courent après Netflix sont stupides. Netflix a gagné la bataille. Je crois que personne ne peut désormais rivaliser avec leur parc d’abonnés, qui leur assure une énorme domination”. Et cette remarque vaut aussi selon Diller pour le concurrent de Netflix, Amazon Prime, “qui n’a pas été conçu pour enchérir de manière aussi agressive que Netflix concernant les stars de demain”.

Click Here: Cheap France Rugby Jersey

Rihanna dans un film mystère sur Amazon Prime Video : découvrez Guava Island le 13 avril

Ce samedi 13 avril, les abonnés de Amazon Prime Video pourront découvrir “Guava Island”, un film aux décors cubains interprété par Rihanna et Donald Glover.

Une nouvelle qui ravira les fans de Rihanna. Ce samedi 13 avril, Amazon Prime Video diffusera Guava Island, un film dans lequel elle donne la réplique à Donald Glover, Letitia Wright (Black Mirror, Black Panther) et Nonso Anozie (Zoo, Otages à Entebbe). Le synopsis est pour le moment gardé secret. On sait juste que l’action se déroule à Cuba.

Mis en scène par Hiro Murai, réalisateur connu pour avoir œuvré sur les séries Atlanta et Barry, Guava Island vient d’être présenté en avant-première au Coachella Festival, événement musical auquel Donald Glover a participé sous son nom de rappeur Childish Gambino. Les premières images de ce projet mystère sont visibles ci-dessous.

Click Here: Tienda Club América

I had potential to win with Red Bull – Kvyat

Daniil Kvyat says Max Verstappen’s victory in the Spanish Grand Prix shows he also had the potential to win for Red Bull.

Verstappen was promoted in place of Kvyat last week and duly took a stunning victory on his debut for the team, holding off Kimi Raikkonen for half of the race. Asked if Verstappen’s victory feels like a win that got away for him, Kvyat replied: “I don’t care to be honest.

“I’m now doing my own job with my own new car. Of course it makes me think that I had the potential to do it, of course, no doubt. It just shows that we have the potential to do it, simple as that.”

Kvyat himself finished tenth to score a point on his return to Toro Rosso, and believes the second half of the race showed some of his potential.

“I think plenty of positives, the second half of the race was very competitive. Plenty of positives to pick up … a good race. In the end we had a strong pace, we could have got a lot more points probably without being lapped. The first half of the race was a bit difficult, we lost some time, but then once we got in clean air it was all very competitive so I’m very happy.”

Explaining why the first half of the race was not as strong, Kvyat said he lost out on the opening lap.

“I have no confidence on the brakes, with a new car it’s always very difficult. I broke quite early [for Turn 1] and of course they overtook me. Then I was always boxed in between cars … just bad luck on the first lap. Then I had to give two positions back after the safety car which didn’t help at all, we lost a lot of time there. Generally it made our race difficult so it’s another few points which we lost. But it was still a positive race.”

REPORT: Verstappen takes stunning first win as Mercedes collide

Breakfast with … Claire Williams

Romain Grosjean column: Spain will show the real Haas

Keep up to date with all the F1 news via Facebook and Twitter