Stéphane Bern sévère avec Meghan Markle : « On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre »

Stéphane Bern ne mâche pas ses mots à l’encontre de Meghan Markle. L’animateur a été interrogé par Madame Figaro au sujet de l’interview de Meghan et Harry et s’est très clairement rangé du côté de la famille royale.

L’interview de Meghan Markle et du prince Harry à Oprah Winfrey déclenche les passions. Alors que la reine Elizabeth II a réagi publiquement à travers un communiqué, de nombreuses voix s’élèvent contre les Sussex, et pour cause, ils ont lâché de nombreuses bombes à l’encontre de la famille royale. Après Samatha Markle, demi-soeur de la mère d’Archie, c’est au tour de Stéphane Bern de s’insurger. Le spécialiste français de la royauté a poussé un coup de gueule auprès de Madame Figaro.

Interrogé sur l’émotion de Meghan Markle, Stéphane Bern a regretté : “Elle n’en a fait qu’à sa tête et vient maintenant pleurnicher, c’est un peu gênant.” L’actrice vue dans Suits, qui a confié qu’elle avait eu des pensées sombres, a déploré avoir été laissée de côté. “Elle se plaint d’avoir été laissée seule dans son coin et de pas avoir eu le premier rôle alors qu’elle a refusé tout ce qu’on lui a proposé,” a estimé l’homme en charge de la Mission Patrimoine. Pour Stéphane Bern, c’est simple, “on ne peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la reine.”

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© © Capture TV CBS via BestimageLa chaîne CBS diffuse l’entretien intitulé “Meghan & Harry” entre le prince Harry, Meghan Markle et la présentatrice américaine Oprah Winfrey, diffusé le 7 mars.

Stéphane Bern tacle la médiatisation américaine des Sussex

Stéphane Bern s’est interrogé sur l’avenir du prince Harry. “Je trouve qu’il est terriblement pathétique au fond, parce qu’il va finir comme un roi à New York. Quel est son métier aujourd’hui ?” s’est-il demandé. Et d’expliquer que Meghan était actrice mais que celui qui sera bientôt papa d’une petite fille n’avait “pas de CV en Amérique“. “Ce n’est pas une profession de donner des interviews. Il a déjà accordé trois entretiens depuis son arrivée aux États-Unis, ce qui fait beaucoup pour quelqu’un qui a fui l’Angleterre à cause des médias,” a estimé Stéphane Bern. Un tacle bien senti.

Crédits photos : Michael Baucher / Panoramic / Bestimage