Avengers 4 Endgame : ce que le film annonce d’Ant-man 3

Après la révolution Avengers Endgame, que faut-il s’attendre pour la suite de Scott Lang et Ant-Man ? On fait le point.

Attention – cet article dévoile des éléments importants d’Avengers Endgame. Si vous n’avez pas vu le film, cet article ne vous permettra pas d’effacer votre mémoire, vous y entrez à vos risques et périls de divulgachages.

Les retombées post-Avengers Endgame

Décidément, le Marvel Cinematic Universe se montre particulièrement cruel avec Scott Lang (Paul Rudd). Il avait déjà souffert d’une première séparation avec sa fille après son séjour en prison, le voilà qui vient de « perdre » à nouveau 5 ans depuis son voyage dans le flux quantique. Alors cela rend la scène des retrouvailles particulièrement émouvante dans Avengers Endgame mais il faut relever le sadisme de la situation. Et maintenant ? Pourra-t-il enfin savourer les moments avec sa fille ?

Surtout qu’il risque d’avoir un peu de temps libre tant on imagine bien les charges contre lui levés après sa prestation héroïque dans l’élimination de la menace Thanos. Une grâce logique mais qui pose la question de l’avenir ? Quel futur pour Ant-man dans le MCU ? Est ce qu’il va devenir un membre permanent des Avengers, maintenant que l’équipe doit être remodelée ? Et quid de ses aventures personnelles dans son prochain film ?

Un super-héros, plusieurs possibilités

Avec Scott Lang, Marvel a plusieurs solutions et le personnage pourrait bénéficier de belles avancées maintenant que le champs est libre pour les grands changements qui semblent s’imposer dans la phase 4.

Dans les comic-books, si Lang est la seconde incarnation d’Ant-Man, c’est bien Hank Pym, premier détenteur du costume, qui est une figure marquante de Marvel. Pour rappel, c’est lui qui crée Ultron à la base (et non Tony Stark). Mais son introduction tardive dans le MCU et le choix d’offrir à Paul Rudd le masque de fourmi et de donner à Michael Douglas le rôle de l’inventeur est venu changer la donne. Mais maintenant que le QG des Avengers est détruit et Tony Stark décédé, il y a peut-être une place à prendre pour une nouvelle grosse fortune et une toute aussi grosse tête.

Un autre projet pourrait se dessiner : l’arrivée des Quatre Fantastiques. Le destin d’Hank Pym a souvent croisé la route de Red Richards et comme Marvel a récupéré les droits des personnages, on pourrait s’attendre à les voir apparaître dans le MCU. On sait que les mutants ne sont a priori pas au programme mais il y a une ouverture possible pour la première famille super-héroïque made in Marvel. Une idée pas tout à fait farfelue si on se souvient que Peyton Reed, réalisateur des deux premiers Ant-Man a travaillé sur un premier film Fantastique au début des années 2000.

Un futur géant ou un petit avenir ?

Celui qui s’est davantage distingué pour son rôle de trublion du MCU dans des films plus modestes et récréatifs détient peut-être les clés des prochaines grandes manoeuvres de la phase 4. Autrement dit, une sérieuse prise de galon pour le personnage ! A moins que Marvel ne préfère jouer la carte de l’amuseur de service dans des épisodes détachés de toute storyline très restrictive. En effet, si Avengers Endgame marque la fin d’un cycle long de plus de 20 films, Kevin Feige va peut-être ressentir l’envie (et le besoins) de revenir à des films plus individuels. Après tout, le succès est quasi acquis avec ou sans projet hyper ambitieux…

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Les 3 meilleurs films de la semaine selon la presse (08.05.2019)

Pour vous aider à faire vos choix, voici les 3 films de la semaine les mieux notés par la presse sur AlloCiné !

1er : Lourdes
Note moyenne presse* : 3.9 / 5

Lourdes
De Thierry Demaizière,Alban Teurlai

Note moyenne de la presse :

4,0

Séances

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“En nous faisant partager la vie de tous ceux qui font vivre cette ville à la réputation kitsch, Thierry Demaizière et Alban Teurlai rendent attrayant ce lieu de processions, de messes et de maladies, mais aussi d’espoir et de fraternité. Un vrai miracle !” Par Claudine Levanneur (aVoir-aLire.com)

“L’enquête, passionnante et bouleversante, alterne les confessions courageuses, dignes et pudiques de ces individus de toutes catégories sociales avec des vues impressionnistes des différents lieux de culte et un commentaire sur le monde qui remet les choses à leur place.” Par Stéphanie Belpêche (Le Journal du Dimanche) 

2ème : Le Chant de la forêt
Note moyenne presse* : 3.7 / 5

Le Chant de la forêt
De João Salaviza,Renée Nader Messora

Note moyenne de la presse :

3,7

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“”Le Chant de la forêt” est un film très simple, très méditatif, où on ne s’ennuie jamais pourtant (pas de plans fixes de cinq minutes), où le temps se déroule à son propre rythme.” Par Jean-Baptiste Morain (Les Inrockuptibles)

“Ce qui donne au film sa vibration particulière est que, même rempli d’évocations magiques et de brillances passagères, il ne se départit pas d’une incarnation modeste mais profonde.” Par Florence Maillard (Cahiers du Cinéma) 

3ème : Retour de flamme
Note moyenne presse* : 3.5 / 5
 

Retour de flamme
De Juan Vera

Note moyenne de la presse :

3,5

Séances

Critiques Presse

Critiques spectateurs

“Mais, tout superficiel et léger qu’il est, ce « Retour de flamme » nous régale : drôle, élégant, jamais vulgaire et porté par le sublime Ricardo Darín – héros des « Neuf reines » – il contient en plus quelques répliques formidables.” Par Catherine Balle (Le Parisien)

“Pour son premier long-métrage, Juan Vera frappe un grand coup. Car il réalise l’une des figures de style les plus difficiles au cinéma : une comédie à la fois romantique et existentialiste, comme Woody Allen en a livré à la pelle.” Par Olivier Ubertalli (Le Point) 

* Selon les notes presse du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 10 mai 2019, et pour des films sortis le 8 mai ayant au moins 10 critiques.

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Magnussen battles back after troubled Friday

Kevin Magnussen came into the Chinese Grand Prix race weekend saying that he just wanted a quiet, uneventful time of it that would allow him to show the Renault team what he could do.

Instead his weekend in Shanghai got off the worst possible start, with a suspension failure in FP1 resulting in him having to sit out the whole of the day’s remaining track time. Then Saturday morning ended up soaking wet, meaning Magnussen had no opportunity to make up the lost ground in terms of dry running expected for the race itself.

In the circumstances, then, the prospect of starting tomorrow’s race from 17th place – two spots ahead of his rookie team mate Jolyon Palmer – was a pretty good recovery for the 23-year-old Dane in qualifying.

“Yeah, I’m quite happy with all that really given that I haven’t done any laps in the dry at all,” he said.

“I had two runs, the first run was difficult because that’s the first time you see and track and I’ve not driven the track in the dry all weekend.

“It was not easy. We could’ve been in Q2 if I had known the track a bit better because it was only two hundredths [from making it through],” he speculated.

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“There were a few places where we could’ve improved, but this is our level and we can’t be too disappointed.

“Braking points are difficult. One time in a split second and you’re too late, or one time in a split second you’re too early.

“I’m really happy I’m able to be on that level after not learning, you know I’ve had better performances and better laps but in terms of how well I did without knowing anything, I’m pretty happy.”

Even so, the biggest challenge for Magnussen after missing out on FP2’s long stint practice will be going into race day with so little data and hands-on experience.

“It’s a difficult one because I haven’t done the run in FP2 where you do the long run,” he said. “That means Renault hasn’t run the soft tyre at all so that will be a difficult choice. We’ll see. Maybe we’ll get it right, maybe we’ll get it wrong.”

Rosberg beats Ricciardo to pole as Hamilton falls in Q1

AS IT HAPPENED: Chinese Grand Prix – Qualifying

Romain Grosjean column: A start beyond my craziest dream

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Kevin Magnussen, Chinese Grand Prix, Renault, Shanghai

Ebola Outbreak 'Vastly Underestimated': Health Experts

The Ebola outbreak has been “vastly underestimated” and requires containment efforts far greater than those currently being taken, health experts warn.

The outbreak of the virus in West Africa—described as the worst ever—has already killed over 1,000 people in Guinea, Liberia, Nigeria, and Sierra Leone and has infected nearly 2,000.

In a statement issued Thursday, the World Health Organization (WHO) said, “Staff at the outbreak sites see evidence that the numbers of reported cases and deaths vastly underestimate the magnitude of the outbreak.”

The United Nations agency added that it “is coordinating a massive scaling up of the international response, marshalling support from individual countries, disease control agencies, agencies within the United Nations system, and others.”

The WHO declared the Ebola outbreak a public health emergency on Aug. 8, a declaration which came too late, according to humanitarian medical aid organization Doctors Without Borders (Medecins Sans Frontieres).

Speaking to reporters in Geneva on Friday Joanne Liu, international president of Doctors Without Borders (MSF) said, “I think the wake-up call was too late in calling it a public health emergency of international concern.”

Liu, just back from a 10-day trip to the Ebola-affected countries of Sierra Leone, Liberia and Guinea, said that the epidemic “is deteriorating faster, and moving faster, than we can respond to,” adding, “I really had the feeling that it is a wartime, in terms of fear.”

She expects it to take six months to “get the upper hand on the epidemic,” and said in some areas lack of access to basic healthcare created “an emergency within an emergency.”

Liu said that Liberia was a key area in the fight, saying, “If we don’t stabilize Liberia, we’ll never stabilize the region.” Cases appearing in the Nigerian city of Lagos were a concern as well, she said, because “we have no past experience of Ebola within an urban setting.”

The scale of the crisis is not widely understood, Pulitzer Prize-winning journalist Laurie Garrett, senior fellow for global health at the Council on Foreign Relations, stresed to Democracy Now! on Friday. “The scale of what we need to be doing versus what we are doing is, you know, log-scale differential,” she said.

“What we need is hundreds of healthcare workers in these countries immediately—hundreds. And we’re getting dribs and drabs,” she said. “We need people who have history of working under great trauma, who know how to work in the tropical heat, who know how to maintain personal infection control, and are prepared to deal with some psychologically devastating things.”

In addition to lack of healthcare resources in some areas, including few doctors to treat many patients and internal conflicts, fear and mistrust of hospitals—based on historical facts—may keep some people from seeking care, thereby contributing to the epidemic’s spread.

Garrett noted that “when you hear that people say, ‘You can’t go to the hospital because they cut off legs there,’ or, ‘Don’t go to the hospital because the white people are cannibals,’ or, ‘Don’t go to the hospital because they will inject you with something that will kill you,’ these are valid rumors to people. They believe it because they’ve had a history where all those things actually happened.”

“The history of medical experimentation by the West in Africa is a deeply troubled one,” medical ethicist Harriet A. Washington told the Real News. “There are many, many incidents that would give rise to a logical fear of the healthcare system.” She cited examples of secret sterilization carried out by a doctor during the Apartheid era, a doctor in Zimbabwe giving overdoses of anesthetics under the guise of testing them, and another doctor at a university in South Africa that did medical experimentations on breast cancer patients.

The WHO describes Ebola as “one of the world’s most virulent diseases,” with a fatality rate of up to 90%.

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To hear more about the current Ebola situation, watch the full segment from Democracy Now!: