PHOTO – DALS – Le touchant message d’Hapsatou Sy après son élimination, pour son « père immigré » et sa « wondermaman »

Alors que son départ de l’émission Danse avec les stars fait polémique, la business woman, auteure et chroniqueuse pour la télévision Hapsatou Sy a partagé sur les réseaux sociaux un message d’amour à ses parents vibrant d’espoir quant à son avenir.

C’est son père qu’elle remerciait alors qu’elle venait juste d’apprendre son éviction, injuste selon certains téléspectateurs, de l’émission Danse avec les stars. Dans l’émotion, Hapsatou Sy a eu quelques mots pour celui qui voulait offrir un avenir meilleur à ses enfants : « Je remercie mon papa, je sais que tu me regardes du Sénégal. Je t’aime tout en haut des collines et jusqu’au ciel. » Après l’émission, elle confiait vouloir passer du temps avec sa famille, sa fille Abbie et son compagnon Vincent Cerutti.

Hapsatou Sy a depuis posté sur le réseau social Instagram un message apaisé d’amour envers ses proches, de joie quant à son parcours et d’espoir en l’avenir : “Ma vie est un conte de fée. Sortie de ce milieu modeste qui était le mien, j’ai puisé ma détermination dans l’histoire de mon papa, immigré, venu en France pour offrir un avenir meilleur à ses enfants. C’est chose faite papa. C’est chose faite maman. Toi la wonderwoman avec tes 8 enfants sous le bras, qui faisait des ménages et des gardes d’enfants en plus pour que l’on ne manque de rien. Je vivrais chaque seconde de ma vie pour honorer vos parcours. Pour que vous ne manquiez plus jamais de rien. Moi la petite Hapsatou, j’ai vraiment l’impression d’être l’une des gamines les plus riches de France. Parce que la richesse, ce n’est pas l’argent, ce sont les valeurs transmises par nos parents, les forces puisées dans nos douleurs, la détermination et la rage d’y arriver ! Je ne lâche rien, ce n’est que le début. Je continue de rêver, mais surtout de réaliser mes rêves. L’échec est une réussite différée m’a dit un jour une femme formidable, elle avait bien raison.”

Une merveilleuse aventure qui s’arrête. Danse avec les stars fut une parenthèse enchantée dans ma vie. Le premier à qui je souhaite adresser mes remerciements est mon partenaire Jordan Mouillerac. Merci de m’avoir permis de découvrir cette autre femme que je suis aujourd’hui ! Tu as été un formidable pédagogue, coach et chorégraphe. Un sublime danseur à la grâce incroyable ! Tu iras loin ! Merci à toute l’équipe TF1 et particulièrement à Frederic Pedrazza qui a cru en moi et m’a donné cette chance. Merci à mes parents et toute ma famille pour votre soutien. Merci Papa, Merci maman pour cette liberté qui est la mienne. Merci à mon homme pour son soutien sans faille. Merci à toute mon équipe. Avec eux j’ai créé ma marque de cosmétiques HapsatouSy, une marque authentique, pour les beautés engagées de soins capillaires, maquillage et soins. Une marque dont toutes les égéries sont des femmes qui réalisent leurs rêves ou portent des combats exemplaires. Ma vie est un conte de fée. Sortie de ce milieu modeste qui était le mien, j’ai puisé ma détermination dans l’histoire de mon papa, immigré, venu en France pour offrir un avenir meilleur à ses enfants. C’est chose faite papa. C’est chose faite maman. Toi la wonderwoman avec tes 8 enfants sous le bras, qui faisait des ménages et des gardes d’enfants en plus pour que l’on ne manque de rien. Je vivrais chaque seconde de ma vie pour honorer vos parcours. Pour que vous ne manquiez plus jamais de rien. Moi la petite Hapsatou, j’ai vraiment l’impression d’être l’une des gamines les plus riches de France. Parce que la richesse, ce n’est pas l’argent, ce sont les valeurs transmises par nos parents, les forces puisées dans nos douleurs, la détermination et la rage d’y arriver ! Je ne lâche rien, ce n’est que le début. Je continue de rêver, mais surtout de réaliser mes rêves. L’échec est une réussite différée m’a dit un jour une femme formidable, elle avait bien raison. Merci à vous tous pour votre énorme soutien qui me rend ivre d’amour. Hapsatou

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Ivanka Trump, plus puissante que sa belle-mère Melania Trump : nouveau coup dur pour la First lady

Melania Trump a peut-être le statut de First lady, elle n’est pas la plus influente pour autant. Le magazine Forbes a dévoilé son classement des 100 femmes les plus puissantes, l’épouse du président américain s’est fait coiffer au poteau par sa belle-fille, Ivanka Trump. Aïe…

Le classement Forbes des 100 femmes les plus puissantes du monde est tombé. Sur la plus haute marche du podium, on retrouve, pour la onzième fois, la chancelière allemande Angela Merkel, en poste depuis bientôt 12 ans. En deuxième place, Theresa May, la Première ministre du Royaume-Uni. L’Américaine Melinda Gates, épouse du milliardaire Bill Gates, ferme le podium. Le clan Trump est aussi représenté dans ce classement : on retrouve Ivanka à la 19e place. La fille et conseillère du président américain surpasse ainsi la First Lady, et de loin : Melania Trump ne figure même pas dans ce Top 100… Gros coup dur pour l’épouse du « commander in chief ».

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Le magazine Forbes n’a d’ailleurs pas manqué de souligner le rôle joué par Ivanka Trump, qui occupe autant les médias qu’aurait pu le faire une Première dame outre-Atlantique. « Elle est devenue de facto une First Lady, vu que sa belle-mère Melania a choisi de rester dans l’ombre, justifie la publication. On ne sait pas exactement quelle influence elle exerce sur son père », tempère Forbes, avant de reconnaître ses actions marquantes, notamment son discours devant l’Assemblée générale des Nations unies dénonçant le trafic d’êtres humains. La rivalité entre Melania et Ivanka ne date pas d’hier : les deux femmes se détestent. En déclassant ainsi sa belle-mère, la fille du président, qui aurait aimé être First Lady, lui fait un joli pied-de-nez.

VIDEO – Quand Melania Trump se fait voler la vedette par un chanteur pour minettes

En voyage officiel avec son époux Donald Trump, la First Lady a connu une petite mésaventure. Elle s’est fait voler la vedette par un chanteur très connu en Corée du Sud.

Après un voyage au Japon, Donald Trump et son épouse sont arrivés en Corée du Sud. L’occasion pour eux de s’entretenir avec le président sud-coréen Moon Jae-In et de participer à une conférence de presse dans la résidence présidentielle, la Maison Bleue. Melania Trump a également assisté à l’événement « Girls Play 2 », pour promouvoir les bienfaits du sport pour les femmes et l’organisation des Jeux olympiques d’hiver qui auront lieu en 2018. Durant cet échange, la First Lady a vécu un petit moment de solitude… Alors qu’elle se trouvait au milieu d’une foule composée d’écolières, ces dernières ont commencé à s’exclamer de façon hystérique. Si au départ Melania Trump pensait que cette agitation lui était destinée, il n’en était rien. Derrière la First Lady se trouvait Choi Minho, un chanteur très connu en Corée du Sud, issu de la K-pop. A 25 ans, l’artiste enchaîne les projets : il a notamment été danseur, comédien mais aussi mannequin. Le jeune homme est désormais l’un des membres du groupe SHINee. Face à la situation, Melania Trump a tenté (en vain) de cacher sa gêne.

Une séquence immortalisée qui a évidemment suscité l’hilarité des internautes : « Je ne peux pas m’empêcher de rire, elles ne se soucient même pas de Melania Trump », peut-on lire. « Les filles sont plus contentes de voir Minho que Melania Trump », a ajouté un autre internaute. Plus tard dans la soirée, le couple présidentiel a regagné la Maison Bleue pour un dîner d’Etat.

Crédits photos – BestImage

Critiquée après sa séquence sans maquillage à la télévision, Sara Forestier réagit

En refusant de se faire maquiller et coiffer lors d’une interview diffusée dans le magazine Stupéfiant ! sur France 2, le choix de Sara Forestier a suscité de nombreuses réactions parmi lesquelles celle de Raphaël Enthoven. L’actrice et le philosophe débattant alors sur la question des « masques » via les réseaux sociaux.

Ni coiffée, ni maquillée. Lundi soir, alors que le magazine culturel de France 2 Stupéfiant !, consacrait son numéro au harcèlement des femmes dans le monde du cinéma, Sara Forestier a accepté de s’exprimer sur la question et ce, en apparaissant face à Léa Salamé au naturel. L’actrice de 31 ans expliquant ainsi voulant s’en prendre à cette « injonction à être sexy » imposée par la société et notamment les hommes : « J’adore le maquillage, j’adore la féminité, j’aime les nus, mais j’ai un problème avec l’injonction. Il y a cette injonction à être toujours sexy, glamour. Or, une femme ce n’est pas que ça », a-t-elle ainsi lancé. Une apparition sans fard sous les projecteurs et des propos qui ont suscité une cascade de réactions parmi lesquelles celle de Raphaël Enthoven. Le philosophe indiquant au micro d’Europe 1 : « L’erreur de Sara Forestier est de croire qu’elle n’est pas maquillée quand elle n’est pas maquillée. (…) Mais c’est la caméra qui maquille, pas le maquillage ».

Une analyse à laquelle la réalisatrice de M (en salles le 15 novembre) a rétorqué sur les réseaux sociaux, en s’adressant directement à l’ex-compagnon de Carla Bruni : « Je n’ai jamais parlé de superficialité dans le maquillage. Ni de véracité dans le no make up. Je parlais de la notion de choix. Et d’injonction. Puisque pour vous tout est posture la mienne a le mérite d’avoir été choisie. Vous auriez eu meilleur intérêt à philosopher sur la notion d’injonction. Car la philosophie peut servir à nous interroger sur ce qui est acquis dans l’inconscient collectif et qui peut devenir une pression ressentie parfois. » Puis de préciser à nos confrères d’Allociné : « J’ai simplement voulu montrer d’une certaine manière qu’on avait perdu l’habitude de voir des visages nus à la télévision (…) C’est aussi ça, la vraie nudité ».

Au présentateur du magazine Philosophie sur Arte d’inviter via Twitter l’actrice à lire le développement de sa pensée dans un longue publication sur Facebook : « Mon propos est de dire qu’un masque en cache toujours un autre. C’est une intuition de Nietzsche (par ailleurs, grand misogyne – ce qui n’a rien à voir) aux yeux de qui, pour cette raison, “tout ce qui est profond aime le masque“. Qu’est-ce que ça veut dire ? Que si vous balayez les apparences, ce n’est pas la vérité qui apparaît, mais l’apparence de la vérité ! De la même manière, si vous enlevez le maquillage, ce n’est pas le visage lui-même qui apparaît, c’est l’image du visage démaquillé. Mon travail consiste à penser l’actualité à partir de grands textes. Et inversement. ». Une analyse lue par Sara Forestier ; l’actrice césarisée décidant alors de conclure le débat avec une pointe d’humour : « Merci Raphaël pour ces 740 mots et ces 3252 lettres. Ma réponse sera un nouveau masque en trois lettres : LOL. Rire certifié 100% naturel. M sort le 15 novembre en salles chers lecteurs de tweetos. »

Christophe Castaner à la tête d’En Marche : quand il parlait de la « dimension amoureuse » de sa relation avec Emmanuel Macron

Jusqu’ici porte-parole du Gouvernement et secrétaire d’État aux Relations avec le Parlement, Christophe Castaner sera éu samedi à la tête du parti La Répubique En Marche. L’occasion de revenir sur le lien unique qui lie l’homme politique au président de la République.

Lorsqu’il s’est dit prêt à briguer la position de délégué général du parti La République En Marche (LREM), le 25 octobre 2017, Christophe Castaner se savait déjà adoubé par le chef de l’État. Quelques jours plus tôt, Emmanuel Macron avait en effet apporté son soutien à l’ancien maire PS pour qu’il prenne sa succession à la tête du parti. Demain, samedi 18 octobre, à Lyon, arrive enfin le grand jour pour le porte-parole du Gouvernement. Seul candidat en lice, Christophe Castaner sait d’ores et déjà que son accession à la plus haute place du parti politique ne sera entravée par rien ni personne. Le Conseil national, réuni pour l’occasion, sera appelé à voter à mains levées.

Il faut dire qu’Emmanuel Macron voit en cet allié un homme de confiance. Séduit par le candidat Macron, Christophe Castaner a été l’un des premiers homme politiques français à rejoindre son mouvement. Membre du Parti Socialiste, il quitte alors sa famille politique pour en créer une nouvelle au bras de celui qu’il espère un jour voir accéder à l’Élysée. Le père de famille ne nie d’ailleurs pas être tombé sous le charme de l’actuel président de la République: J’assume cette dimension amoureuse, confiait-il ainsi cette année au journal Le Point. Mon niveau d’exigence envers moi-même est tel que si je dois avoir un chef, je dois avoir de l’admiration pour lui. Et Emmanuel est fascinant. Tout l’est chez lui: son parcours, son intelligence sa vivacité, sa puissance physique même…“. L’époux de Brigitte Macron a visiblement apprécié.

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

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God Help the Girl : rencontre avec le réalisateur Stuart Murdoch

A l’occasion de la sortie du film musical “God Help the Girl”, rencontre avec son réalisateur Stuart Murdoch qui vient nous parler de ce projet très personnel.

AlloCiné : Qu’est-ce qui vous a décidé à passer à la mise en scène ? Etait-ce un projet que vous murissiez depuis longtemps ?

Stuart Murdoch : Oui ça a pris beaucoup de temps. J’ai initialement eu l’idée du film en 2003. Cela a commencé avec la musique, en écrivant des chansons pour plusieurs chanteuses. J’ai pensé faire un album pour ces chanteuses et j’ai réalisé que la chanteuse principale était un véritable personnage. J’ai laissé murir le projet dans ma tête et très rapidement j’ai imaginé trois personnages et cela s’est transformé en film.

 L’histoire est construite à partir de plusieurs chansons de votre projet musical God Help the Girl. Etait-il difficile de construire un scénario à partir de quelques chansons ?

Stuart Murdoch : Après avoir écrit trois ou quatre chansons, j’ai tout de suite su que c’était un film. Je n’avais jamais dans ma vie écrit aucune ligne de dialogue, donc cela s’est révélé être une expérience intéressante pour moi. Pendant l’écriture, je n’essayais pas de penser à l’histoire ni même aux chansons mais davantage aux personnages. J’ai écrit par le biais du point de vue des personnages. J’ai laissé les personnages s’exprimer dans ma tête et j’ai peu à peu sculpté leur parole pour qu’elle s’accorde aux chansons.

L’esthétique du film est assez rétro, God Help the Girl baigne dans une atmosphère nostalgique des années 70/80. Comment justifiez-vous ce choix ? Est-ce une époque que vous affectionnez tout particulièrement ?

Stuart Murdoch : Ce n’est pas tant que je sois nostalgique de cette période mais plutôt qu’il est pour moi inévitable de mentionner cette période tant ma sensibilité artistique s’est façonné grâce à mon amour des films et de la musique des années 70 et 80. Ce n’était donc pas un choix conscient. Il faut également tenir compte du fait qu’à partir du moment où vous décidez de filmer en 16 mm, que vous n’utilisez que peu d’éclairage et que vous réalisez une comédie musicale, l’ensemble aura forcément une esthétique assez rétro.

Ironiquement, la comédie musicale n’est pas un genre cinématographique que j’aime particulièrement.

Comment votre choix s’est-il porté sur Emily Browning pour interpréter le personnage d’Eve ? Sachant que le film contient certains éléments autobiographiques, vous êtes-vous retrouvé en elle ?

Stuart Murdoch : Non ! (rires) on a étudié le profil de plus d’un millier de personnes pour ce rôle. Il était très difficile de trouver cette personne qui existait dans ma tête, cet esprit qui chantait ces chansons. Elle se devait d’être écossaise mais on a fini par choisir une actrice australienne ! Mais je pense qu’elle a fait un excellent travail et qu’on a pris la bonne décision. Je dois cependant avouer que j’étais sûr pour les rôles de James (joué par Olly Alexander) et de Cassie (jouée par Hannah Murray) mais pas pour celui d’Eve. J’ai fini par interviewer Emily Browning via Skype en téléconférence avec les autres acteurs et elle était très calme. Son calme et sa solidité m’ont en fait beaucoup aidé à pallier mon manque d’expérience dans la mise en scène et je me suis beaucoup reposé sur elle par la suite.

Quel a été le plus grand défi sur le tournage ?

Stuart Murdoch : Mettre en scène ! (rires) Faire face à une équipe chaque jour et leur dire quoi faire. Je savais personnellement ce que je voulais car j’ai imaginé ce film pendant des années mais il m’a fallu adopter le langage pour donner des instructions précises sur le mouvement des caméras par exemple. J’étais à l’aise avec les acteurs, je savais ce qu’ils devaient faire, c’est donc l’aspect strictement technique qui  pouvait parfois me poser problème.

 

Vous avez tourné le film à Glasgow, votre ville natale. On a le sentiment que vous avez voulu faire ressortir le côté romantique et bohème de la ville. Etait-ce une volonté de montrer une facette différente de Glasgow ?

Stuart Murdoch : C’était naturel pour moi de montrer cet aspect de la ville, ce n’était pas là un choix conscient. C’était naturel  parce que j’ai vécu dans le quartier dans lequel se déroule l’action du film pendant trente ans et je sais que c’était un très bel endroit qu’il était facile de le mettre en valeur.

God Help the Girl est un film musical. Est-ce un genre cinématographique que vous appréciez tout particulièrement ? Pourriez-vous nous citer quelques exemples de films musicaux qui ont pu vous influencer ?

Stuart Murdoch : Ironiquement, ce n’est pas un genre cinématographique que j’aime particulièrement. Je ne suis pas un grand fan de comédies musicales mais vous pouvez parfois avoir une certaine arrogance et vous dire que vous allez faire une comédie musicale que vous allez apprécier. J’ai un gros égo (rires).  Mais il y a des centaines de films que j’adore et qui font partie de moi. Parce que je suis en France, je pense en ce moment beaucoup à Truffaut et Godard, ça peut paraitre cliché mais j’aime beaucoup par exemple Une femme est une femme de Godard ou Baisers Volés de Truffaut. J’ai été également beaucoup influencé par les films de John Hughes tels que Breakfast Club et Rose Bonbon. J’aime aussi beaucoup Grease qui est une très bonne comédie musicale. Je suis également fan du film Charlie et la Chocolaterie de 1971, c’est un mélange de comédie et d’aventure mais il contient aussi quelques chansons magnifiques. J’apprécie aussi tout particulièrement le film des Beatles : Hard Day’s night (Quatre garçons dans le vent). 

 

Dans votre film, la musique semble être le remède à tous les maux. Etait-ce le message que vous vouliez délivrer, que la musique et la créativité peuvent être des outils pour soigner le corps et l’âme ?

Stuart Murdoch : Je pense que cela est un fait. Vous m’avez demandé si le film était autobiographique, l’élément le plus autobiographique est que la musique soigne, elle m’a soigné. C’est devenu en quelque sorte ma raison de vivre, mon inspiration quand j’étais plus jeune. La musique devient une religion pour le personnage d’Eve, ça la sauve.

Vous m’avez demandé si le film était autobiographique : l’élément le plus autobiographique est que la musique soigne, elle m’a soigné.

 Dans le film, le personnage d’Eve lutte contre une anorexie qui la ronge ce qui donne une tonalité dramatique au récit. Il y a cependant de réels moments de comédie sur l’amitié et son épanouissement en musique. Etait-il difficile de trouver un équilibre entre les deux tonalités ?

Stuart Murdoch : Un peu. La comédie a un aspect plus doux qui était indispensable au film. La difficulté résidait dans la façon de traiter le sujet de l’anorexie qu’il faut aborder de la manière la plus délicate possible.  Je ne voulais cependant pas faire un film entier sur le sujet. Pour moi, le film est honnête, je me suis beaucoup renseigné sur ce sujet. Je voulais simplement que le film commence de façon sombre pour terminer de manière plus légère.

C’était votre première expérience en tant que metteur en scène. Est-ce une expérience que voudriez renouveler ? Avez-vous d’autres projets cinématographiques ?

Stuart Murdoch : Bien sûr que j’aimerai renouveler l’expérience, j’ai adoré faire un film. Je vais attendre pour qu’une nouvelle idée me vienne, c’est un long procédé donc il faut être absolument sûr de ce que l’on va faire. 

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God Help The Girl Bande-annonce VO

 

PHOTOS – Brigitte Macron : en talons hauts pour promener son chien Nemo, rien ne lui fait peur !

Ne sous-estimez pas Brigitte Macron et son sens de la mode. La première dame sait que toutes ses sorties sont scrutées, y compris les plus banales : alors même pour aller balader son chien Nemo, elle se pare de talons hauts.

Il faisait froid, ce lundi 20 novembre au soir. Mais malgré la fraîcheur, Nemo, le chien présidentiel, avait bien besoin de se dégourdir avec une petite balade. Et gare au mobilier de l’Élysée si d’aventure on lui refuse sa sortie nocturne : Nemo n’a pas peur des représailles, et va parfois jusqu’à uriner dans le palais présidentiel quand quelque chose ne lui convient pas. Alors Brigitte Macron a fait ce qu’il fallait : elle a enfilé une doudoune et a sorti le chien.

La première dame, connue pour son sens de la mode, ne l’a pas concédé au froid et à la nuit. À ses pieds, on peut apercevoir des bottines à hauts talons, alors qu’elle aurait bien pu sortir à plat pour ne pas s’embarrasser. Et si Nemo décidait de courir et devait être rattrapé ? Rien ne fait peur à Brigitte Macron, qui se sait ambassadrice du chic à la française en toutes circonstances… Y compris les plus triviales.

Crédits photos : Bestimage

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Babysitting 2 recrute Christian Clavier et Elodie Fontan de Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu

La suite de Babysitting dévoile son casting : autour de la bande d’origine, emmenée par Philippe Lacheau, on retrouvera notamment deux des comédiens de Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu, la jeune et jolie Elodie Fontan, et Christian Clavier !

Direction le Brésil pour la suite de Babysitting ! Autour de la bande d’origine -Philippe Lacheau, Alice David, Vincent Desagnat, Tarek Boudali et Julien Arruti-, quelques nouveaux seront au rendez-vous ! Comme l’ont révélé hier nos confrères de Télé-Loisirs, Christian Clavier rejoindra l’aventure, information qui nous a été confimée par le distributeur.

Outre Christian Clavier, un autre visage de Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu sera également au casting ! Selon les informations qui nous ont été communiquées par Universal, il s’agit d’Elodie Fontan, qui joue Laure dans la comédie  succès, l’une des quatre filles Verneuil ! Sont aussi  annoncés Charlotte Gabris, Joséphine Draï et Jérôme Commandeur.

On connait également à présent plus de détails sur l’intrigue de ce second volet : Franck, Sonia, Sam, Ernest, Alex et Estelle s’envolent pour le Brésil. Ils se rendent en vacances à l’hôtel d’Alain, le père de Sonia. Franck va profiter de ce voyage entre amis pour la demander en mariage. A l’hôtel, ils sont accueillis par Alain et Yolande, la grand-mère acariâtre de Sonia. Les garçons organisent une excursion dans la jungle avec un guide chevronné. Alain leur confie Yolande de peur qu’elle ne trouble le processus de remise du « label éco VWF ». Le soir, les garçons ne sont pas revenus. Ils ont disparu avec la grand-mère et le guide. Le lendemain matin, la caméra GoPro avec laquelle ils étaient partis est retrouvée… 

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Le tournage se déroulera au Brésil et à Paris du 12 janvier au 12 mars 2015. Babysitting 2 est coréalisé par Philippe Lacheau et Nicolas Benamou et produit par Axel Films et Madame Films. 

La bande-annonce de Babysitting :

"Babysitting" – Bande-annonce version longue

 

A Hollywood, les Miss font leur cinéma !

Après cinq jours passés à Palm Spring, les apprenties Miss ont posé leurs valises rouges à roulettes en plein coeur de Los Angeles. A la conquête d’un rêve américain qu’elles avouent vivre éveillées !

On dit parfois que toutes les serveuses d’Hollywood rêvent d’être actrices. Que Los Angeles est la ville des « wannabe ». C’est peut-être vrai… Il est pourtant en ce moment une poignée de jolies demoiselles qui sillonnent la Cité des Anges avec un seul désir, légèrement différent : devenir Miss France.

Quoi qu’en sortant d’une visite des studios Warner, sur les hauteurs d’Hollywood, Miss Poitou-Charente lâche un enthousiaste : « Toutça me donne encore plus envie d’être actrice ! ». Avant de se reprendre : « Enfin, c’était mon rêve lorsque j’étais petite… ». Si, à l’instar de Miss Alsace, la poitevine admet “nepastrop connaître le monde de Harry Potter ” – dont les premiers films ont été produits par la Warner qui conserve quelques reliques sacrées pour les touristes (binocles rondes du héros, costumes de Quidich portés par Robert Pattinson…), elle se désole pour sa consoeur Auvergnate, retenue sur une autre activité, qui est une « très grande fan », et qui « sera folle de jalousie quand elle saura tout ce qu’on a vu! »

Arrivées dans la Capitale du Septième Art depuis 24h, les trente prétendantes au titre de Miss France ont déjà eu le temps de profiter du « Black Friday » – (soldes exceptionnelles dans tous les magasins pour célébrer le jour qui suit Thanksgiving) – dans une boutique d’Hollywood Boulevard, s’octroyer une bonne séance de sport et de détente, visiter les studios Warner, donc, et crapahuter à cheval devant les fameux Hollywood Signs (les lettres blanches qui font la fierté des Californiens).

Miss Ile de France, déjà sujette au vertige, avoue avoir un peu peur de monter sur les chevaux préparés au ranch avant la balade dans les collines. Rassurées par les demoiselles de Normandie et de Corse cavalières émérites et qui pratiquent régulièrement l’équitation (la dernière précise « depuis que je suis née ! »), la jeune femme ne se fait pas prier pour finalement rejoindre sa monture… Et c’est parti pour une heure de promenade sur les chemins de terre qui soulèvent une poussière terrible. Alors que le soleil se couche, les jeunes filles passent devant les lettres qu’elles ont si souvent aperçues « dans des films ou des séries » mais qu’elles n’imaginaient pas voir un jour de si près.

« Nous vivons un rêve éveillé! » murmure Miss Rhône-Alpes. « Nous prenons jour après jour la mesure de notre chance incroyable » renchérit sa consoeur de Provence.

L’enthousiasme n’est pas feint. A moins qu’elles ne soient déjà de très très bonnes actrices !

Crédits photos : ©Laurent Vu / SIPA PRESS

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De la “Déchirure” au “Temps des aveux” : 5 films sur la terreur Khmere rouge

De “La Déchirure” au “Temps des aveux” en salle cette semaine, rares sont finalement les documentaires et oeuvres de fictions à évoquer les terribles années de la dictature Khmère rouge, qui tua plus de 1,7 millions de personnes en moins de 4 ans.

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Au Sommaire

la Déchirure

Le Temps des aveux

S21, la machine de mort Khmere rouge

Duch, le maître des forges de l’enfer

Enemies of the People