Skoda expérimente une livraison d’un nouveau type

A une époque où le E-commerce est de plus en plus important, Skoda vient de lancer à Prague un projet pilote de livraisons directement dans le coffre des voitures. Opérationnel depuis quelques jours, ce service proposé avec le site Alza permet, via l’application MySkoda, au livreur (qui dispose d’une géolocalisation du véhicule) d’avoir accès au hayon pour y déposer des colis. Pour que cela fonctionne, il faut disposer de la fonction « Remote Access », disponible sur certains modèles de la gamme depuis 2019.

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Séries Mania : Florence Aubenas évoque les « va-et-vient entre fiction et réalité »

La journaliste et autrice Florence Aubenas préside le jury de la compétition « Panorama international » pour la 3e édition de Series Mania à Lille.Si elle ne se considère pas comme une « sériephile », elle se « passionne » pour ce « monde en construction ».Pour 20 Minutes, la grande reporter revient sur les liens étroits entre fiction et réalité, entre presse et industrie télévisuelle.

Grande reporter au Monde, Florence Aubenas pose habituellement son regard là où il n’y a apparemment rien à voir. L’autrice a ainsi écrit sur les femmes de ménage des ferries assurant la liaison entre Caen-Ouistreham pour Le Quai de Ouistreham (Editions de l’Olivier, 2010), sur des femmes qui se battent pour sauver leur usine dans En France (Editions de l’Olivier, 2014), sur le meurtre d’une postière dans L’inconnu de la poste (Editions de l’Olivier, 2010). Jusqu’au 2 septembre à Lille, elle va poser son regard aiguisé sur ce qui, par essence, est fait pour être vu, une sélection de huit séries issues du monde entier. La journaliste préside le jury de la compétition Panorama International de Séries Mania. « J’étais hyperfière qu’on me le propose ! », dit-elle. Une section qu’elle compare à celle du Festival de Cannes «  Un Certain Regard ».  « Une ouverture d’horizons incroyable », se réjouit-elle.

Elle n’a pourtant jamais caressé une carrière de critique de séries, un des rares exercices journalistiques qui ne la tente pas. « Je ne devrais pas le dire, je ne lis pas de critiques, ni en cinéma, ni en séries, ni en littérature », sourit-elle.

« Je ne me considère pas du tout comme une sériephile »

« Je ne me considère pas du tout comme une sériephile, mais ce qui me passionne dans ce milieu, c’est qu’il est en pleine construction. C’est un art jeune, que l’on voit en train de se fabriquer », raconte la reporter, qui regarde des séries, « dans son lit, un ordinateur sur le ventre ».

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Si elle refuse volontiers de participer à des jurys dans ses domaines, « le journalisme et l’écriture du réel », parce qu’elle serait alors « à la fois, juge et partie ». « Je me sens à l’aise de juger un domaine dans lequel je ne suis pas forcément investie comme professionnelle », confie-t-elle.

En discutant avec Florence Aubenas, on sent que le journalisme chez elle est quelque chose de viscéral et, même si elle n’en fait pas explicitement mention, on sent qu’elle a aussi accepté cette mission pour satisfaire son insatiable curiosité et aller observer de près le microcosme des professionnels des séries, qu’elle perçoit a priori comme un « laboratoire ».

« Aujourd’hui, il y a un va-et-vient entre fiction et réalité »

L’habituée des conférences de rédaction a hâte de participer aux délibérations et de confronter son point de vue avec ceux des « très grands professionnels » qui forment son jury, à savoir l’acteur autrichien Lucas Englander (Parlement), le scénariste israélien Ron Leshem (Euphoria, No Man’s Land), la réalisatrice Laïla Marrakchi (Le Bureau des légendes, The Eddy) et l’actrice Linh-dan Pham (Mytho, Or de lui).

Le Festival international des séries ne s’est pas trompé en choisissant Florence Aubenas. Les liens entre réel et fiction, le monde des séries et celui de la presse sont de plus en plus étroits. Dr Death, sélectionné dans la section Panorama et qui démarre le 12 septembre sur Starzplay, qui s’inspire de l’histoire vraie de Christopher Duntsch, un neurochirurgien Texan reconnu coupable pour fautes professionnelles graves ayant entraîné la mort de plusieurs patients, s’inspire d’un podcast et du travail d’enquête de la reporter américaine Laura Beil.

« Aujourd’hui, il y a un va-et-vient entre fiction et réalité. On va utiliser pour raconter la réalité – raconter, et non pas fictionnaliser le réel – des moyens qui peuvent être ceux de la fiction. Une façon de raconter, une façon de filmer, un mode de narration comme choisir tel personnage pour vous guider. La fiction reprend le réel, et cela a toujours été le cas », commente-t-elle.

Lorsqu’on évoque Une affaire française, série sélectionnée au Festival de la Fiction TV de La Rochelle à voir prochainement sur TF1, qui reviendra sur l’affaire Grégory, Florence Aubenas met en garde : « Les intentions doivent être très clairement affichées. Oui, c’est l’affaire Gregory, non, ce n’est pas l’affaire Grégory. Souvent, on prend des histoires vraies où il y a aussi un enjeu d’innocence et de culpabilité, des enjeux judiciaires. Il ne faut pas plaisanter avec cela. On parle de personnes réelles, de statut judiciaire, de “est-ce qu’on est coupable ou innocent ?” Là, il faut qu’il y ait des lignes rouges assez clairement tracées. »

Et d’insister : « D’un côté, il y a des gens qui peuvent être choqués. La famille Villemin a dit : “On ne nous a même pas consultés”. A la fois, ils s’en sont emparés, c’est une histoire publique qui dure depuis des années et je comprends bien l’intention. Et à la fois, on comprend bien celle de cette famille qui a droit au répit. »

« Etre proche du monde de Hollywood »

Ce va-et-vient entre fiction et réalité va encore plus loin, lorsqu’un journaliste comme David Simon adapte son travail d’investigation, Baltimore, sous la forme d’une série avec The Wire. Partout dans le monde, la presse fait face à d’importantes difficultés économiques, notamment pour financer le travail d’investigation, long et coûteux, tandis que les investissements dans la fiction ne cessent d’accroître.

« Et les Américains disent, ce qui nous a sauvés, c’est cela. C’est d’être proche du monde de Hollywood, des adaptations, de la série. Aujourd’hui, beaucoup de journaux américains sont financés par le fait que des articles ou des journalistes, leurs reportages ou leurs investigations deviennent des séries, explique Florence Aubenas. En France, on va vers cela, la plupart des journaux dont Le Monde sont sollicités. »

Le financement du journalisme trouvera-t-il son salut dans la fiction ? « De quelles manières tisser des passerelles de façon que le contenu soit rémunéré ? Je suis profondément journaliste, j’aime la presse écrite, et je pense que c’est bien que le contenu soit rémunéré. Les journalistes doivent s’en saisir », estime Florence Aubenas.

Et de conclure : « Je trouve très intéressantes les passerelles qui sont en train de se créer entre ces différents mondes et ces différentes façons de travailler. C’est réellement une grande chance, et pour les téléspectateurs, d’avoir des endroits plus riches, avec justement, un journaliste, qui va avoir conscience de ces lignes rouges que n’a pas forcément un pur auteur. Tout le monde a à y gagner. C’est une direction très intéressante. »

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Nice : Mylène Farmer fera aussi passer sa tournée des stades par l’Allianz Riviera

Une douzième date européenne s’ajoute à sa huitième tournée, programmée dans deux ans. En plus des rendez-vous déjà annoncés en juin, Mylène Farmer se produira à l’Allianz Riviera, à Nice, le samedi 29 juillet 2023, a indiqué le stade ce lundi.

Cette nouvelle tournée, baptisée Nevermore, traversera neuf villes en France, Suisse et Belgique, mais s’arrêtera également en Russie pour plusieurs dates. Deux concerts sont prévus au Stade de France, le 30 juin et le 1er juillet 2023.

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La prévente de ces concerts est prévue, dans un premier temps, sur le site Internet de la tournée dès le vendredi 1er octobre, à 10 heures. L’ouverture de la billetterie dans les points de vente habituels est, elle, programmée à partir du lundi 4 octobre.

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Reims-PSG : « Kylian est notre joueur »… Paris ne veut pas lâcher le joyau Mbappé

Kylian Mbappé a signé les deux buts du succès du PSG à Reims, ce dimanche soir (0-2).L’attaquant de 22 ans veut rejoindre le Real Madrid — un désir réciproque — mais il a montré un engagement irréprochable dans un match marqué par les grands débuts de Lionel Messi en Ligue 1.Son entraîneur Mauricio Pochettino a tenu des propos très clairs au sujet de Mbappé sur Amazon Prime Video.

La Ligue 1 n’avait jamais été autant suivie dans le monde avant ce dimanche soir. En Espagne, comme ailleurs, on a bien entendu scruté les premiers pas de Lionel Messi sous le maillot du PSG à Reims (0-2). Mais à Madrid, c’est surtout la prestation de Kylian Mbappé, auteur des deux buts du match, qui a retenu l’attention. Pour un joueur qui ne cache pas ses envies d’ailleurs, de Real en particulier, on a déjà vu plus boudeur que ce Kyky-là.

Détendu avant le match, complètement impliqué pendant, l’international français a partagé son bonheur avec ses coéquipiers et devant les supporteurs parisiens après son coup de boule de la 15e minute, sur un caviar de Di Maria. Très remuant à la pointe de l’attaque, auteur de quelques accélérations fatales « made in Bondy », il s’est montré opportuniste à la réception d’un nouveau bon centre, d’Hakimi cette fois, pour achever le suspense peu après l’heure de jeu.

Au vu de sa soirée à Auguste-Delaune, difficile d’imaginer Mbappé plier les gaules et quitter la capitale d’ici mardi minuit et la fin du mercato. Même si le Real Madrid peut encore hausser son offre actuelle d’un montant total de 180 millions d’euros, pour un joueur certes hors normes, mais auquel il ne reste qu’une année de contrat…

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« Kylian est notre joueur, a lâché l’entraîneur parisien Mauricio Pochettino sur Amazon Prime Video après la rencontre, façon Touchez pas au grisbi. Vous savez que l’industrie du foot est remplie de rumeurs. Notre président [Nasser Al-Khelaïfi] et notre directeur sportif [Leonardo] sont très clairs, il est avec nous. Je suis très heureux d’avoir Kylian, l’un des joueurs les plus importants dans le monde. C’est un cadeau de l’avoir avec nous. »

Donc c’est bon ? Mbappé va rester à Paris et y former une association de mangemorts pour les autres défenses de L1, avec Neymar et Messi, qu’il a systématiquement cherché après l’événement planétaire qu’a représenté l’entrée en jeu de la Pulga ?

On n’y mettrait pas notre main à couper. Parce que l’on parle de foot, un sport dans lequel un Cristiano Ronaldo s’engage à Manchester United lorsqu’on l’attend à City, et où un Lionel Messi finit par quitter précipitamment le Barça alors qu’on s’attendait à le voir batifoler au Camp Nou jusqu’à 40 piges bien tassées.

D’ailleurs, interrogé sur l’avenir à très court terme de l’attaquant français, Marquinhos s’est montré quant à lui très prudent. « Comment on peut savoir ? a glissé le capitaine du PSG, toujours sur Amazon Prime Video. On n’essaie même pas de lui demander. Il a ses objectifs. Nous, on veut vraiment qu’il reste. Si c’est le cas, il va beaucoup nous aider. » Heureusement pour les nerfs des dirigeants, joueurs et supporteurs du PSG comme du Real, le mercato va bientôt fermer.

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« Game of Talents » : Jarry prend la tête d’un show « spectaculaire et poétique »

Ce vendredi, TF1 confie les clés de sa soirée à Jarry et sa nouvelle émission intitulée Game of Talents.Présentée comme un divertissement d’enquête, l’émission fait s’affronter deux équipes de trois personnalités. Au travers d’indices, elles doivent associer un talent à la bonne personne.« Il y a vraiment des talents artistiques avec de la poésie, de l’étonnement, de la peur parfois mais aussi des talents WTF et drôles », se réjouit Jarry auprès de 20 Minutes.

Fin avril, ça s’agite devant la Seine musicale de Boulogne-Billancourt. Des voitures, des techniciens mais aussi des animaux se font entendre à notre arrivée sur le lieu de tournage de Game of Talents. Pas de doute, nous sommes au bon endroit. Avant de pouvoir accéder à la salle, passage obligé sous une jolie tente blanche pour un prélèvement naso-pharyngé. En pleine épidémie, Fremantle est parvenue à faire venir des artistes du monde entier et c’est la grande fierté de la société de production.

Pour cela, les performeurs et performeuses ont dû se plier à une quarantaine en arrivant depuis le Canada, les Etats-Unis, l’Allemagne, l’Irlande, les Pays Bas ou encore la Russie. Après une session de répétitions la veille, ils et elles vont pouvoir fouler la scène de cette nouvelle émission présentée par Jarry.

Une mission : rassembler toute la famille

Le principe ? Des artistes se présentent face à deux équipes de trois personnalités. Celles-ci ont pour mission d’attribuer le bon talent à la bonne personne. Qui est un équilibriste de l’extrême ? Lequel est un dresseur de rats ? Qui a la tête d’un avaleur de sabre ? Au total, dix numéros sont présentés au public pendant la soirée.

Afin d’obtenir la bonne réponse, les célébrités se basent sur des magnétos proposés avant chaque prestation. Jarry s’y met en scène dans toutes les postures, qu’il soit en pleine session de yoga ou en séance face à une voyante, dans le but de dévoiler des indices. Point positif, contrairement à Mask Singer où ils peuvent être tirés par les cheveux, ceux de Game of Talents sont plus accessibles. Puisque le programme ambitionne de réunir toute la famille, certains reconnaîtront des paroles d’une chanson de Wejdene pendant que d’autres se tourneront plutôt sur des indices liés aux films de Sylvester Stallone.

« C’est une émission intergénérationnelle et c’est exactement mon public, indique Jarry à 20 Minutes. J’essaye de faire des spectacles de 7 à 97 ans et je veux faire des émissions qui réunissent les 7 à 97 ans. » Selon lui, il ne s’agit pas d’un format « qui cloisonne » mais qui s’adresse à tout le monde. « Ce n’est pas vulgaire, ce n’est pas offensant. C’est drôle, c’est feel-good, c’est spectaculaire mais aussi poétique. »

Des talents « WTF et drôles »

S’il a accepté de participer à ce show, c’est parce que Jarry a aimé l’éventail de talents qui défilent sur la scène. « Il y a vraiment des talents artistiques avec de la poésie, de l’étonnement, de la peur parfois mais aussi des talents WTF et drôles », se réjouit-il. Sur ce point, si l’on devait faire la comparaison avec une autre émission, Game of Talents ressemblerait davantage à Incroyable Talentqu’au Plus grand cabaret du monde en raison de certaines prestations ou l’aspect comique prend le pas sur l’artistique. Plusieurs numéros sont effectivement spectaculaires, d’autres invitent moins au voyage. Mais chut, pour garder la surprise, on ne peut pas tout vous révéler.

L’animateur dit s’être totalement investi dans ce programme, notamment via les magnétos indices. Pour cela, il a fallu mettre les bouchées doubles et tourner une vingtaine de séquences (pour les deux numéros enregistrés) en trois jours. Deux auteurs ont écrit les sketchs avant de les confier à Jarry qui se les est appropriés. « C’était important de les incarner parce que c’était aussi ma manière de personnaliser le format et de mettre en avant l’acteur que je suis », confie-t-il. Un rôle qui le distingue du présentateur de la version originale espagnole.

« J’ai vraiment pu faire ce que j’avais envie de faire »

Grâce à Game of Talents, Jarry prend une nouvelle fois du galon sur TF1. Cet été, l’humoriste a animé deux nouveaux numéros de Good Singers et on le retrouvera dans les mois à venir en tant qu’enquêteur dans la troisième saison de Mask Singer. « Je n’étais pas du tout angoissé par la présentation du concept, je me suis autant amusé que les invités », assure celui que le public a pu découvrir il y a près de dix ans sur France Télévisions.

Malgré ces années d’expérience, « en termes de présentation, pour la première fois, j’ai vraiment pu faire ce que j’avais envie de faire en télé », ajoute-t-il. L’animateur a notamment écrit lui-même ses textes en amont afin de se détacher au maximum de son prompteur. « J’ai appris l’émission comme j’apprends mes spectacles et je m’amuse au travers de ça », commente Jarry.

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« Good Singers, c’est un peu plus droit, je suis un peu plus cadré, un peu plus dirigé. J’aurais envie de m’écarter encore plus de tout ça. Je pense que la télé essaie de respecter plein de codes et de ne choquer personne alors que moi, je pense qu’elle pourrait être un peu plus transgressive », conclut le visage de TF1. Il ne reste plus qu’à convaincre la chaîne de lui laisser (encore plus) quartier libre pour ses projets à venir.

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Moose On Hating His Name Originally, EC3 Joining WWE, Differences Between NFL Locker Room And Wrestling

Impact Wrestling star, Moose, recently spoke with Chris Van Vliet about a variety of topics including how he originally felt about his name. Below are some highlights with a h/t to Rajah.com for transcribing.

Moose originally hating his name:

“A teammate of mine gave it to me during my football days. Hated it. Couldn’t stand it. Hated everybody who called me Moose and now Moose makes me money.”

Thoughts on EC3 joining WWE:

“I talk to him everyday. I’m so happy for him, he’s doing great things with the company he’s with now. Everybody knew he was going to be a star wherever he goes. He looks like a Greek god and he talks great on the mic and his in-ring work is great. We all knew he was going to do great things.”

Differences between NFL locker room and a wrestling locker room:

“It’s definitely different. You’ve got to understand, in an NFL locker room we probably had the best looking locker rooms with TVs all over the place and you can get comfortable. In a wrestling locker room, you might come in and you might be changing outside and with no curtain. There’s definitely a big difference there but for the love of wrestling, you go through it.”

Letting fans down at Impact vs Lucha Underground:

“It was probably the most buzzed and most talked about show of that weekend. When you get two big companies with Lucha Underground and Impact Wrestling joining forces and producing a good show, there’s tons of dream matches that people want to see. Unfortunately I didn’t give the fans the match they wanted to see. I think a lot of people wanted to see a one-on-one match up with me and Matanza Cueto and instead we were in a 6-way together.”

Source :

Chris Van Vliet

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