Month: January 2020

Spin-off de la saga “X-Men”, le projet d’adaptation de “X-Force” se serait trouvé un scénariste, et peut-être un réalisateur.

Après le “rêve” formulé la semaine dernière par Hugh Jackman de voir réunis Wolverine, Spider-Man et les Avengers en dépit des questions de droits (répartis entre la Fox, Marvel/Disney et Sony), voici un autre projet de super-héros assemblés qui semble pouvoir plus rapidement (et réellement) prendre forme. La Fox aurait ainsi mandaté Jeff Wadlow, réalisateur de Kick-Ass 2, pour écrire le scénario d’une adaptation de X-Force, série dérivée de la saga X-Men, voire éventuellement réaliser le projet. A ce stade, la question est d’ores et déjà de savoir quels personnages (nouveaux mutants et personnages de la saga X-Men) feront au final partie du casting : à quelques jours du Comic Con de San Diego, et alors que Wolverine s’apprête à faire son retour en salles, nul doute que cette annonce savamment calculée va faire phosphorer les fans…

La BA de Wolverine, le combat de l’immortel :

Wolverine : le combat de l’immortel

AG avec The Hollywood Reporter

Mise à jour 7h00 :Trois semaines après les attentats qui ont endeuillé Paris et le Bataclan, où ils se produisaient le 13 novembre, les rockers californiens du groupe Eagles of Death Metal sont montés sur scène lundi soir à Bercy à l’invitation de U2 et de son leader Bono. Découvrez les images de notre reporter Alexandre Maras.

Ils ne se seront pas fait attendre trop longtemps. Rapidement après les attentats du 13 novembre qui ont fait 130 morts et plus de 350 blessés à Paris, les musiciens des Eagles of Death Metal avaient exprimé leur volonté de jouer à nouveau dans une salle parisienne. « Je veux être le premier groupe à jouer quand le Bataclan rouvrira », avait déclaré le chanteur du groupe, Jesse Hugues, lors d’une interview vidéo diffusée sur Vice. « Nos amis sont venus pour voir du rock and roll et sont morts. Je veux y retourner pour vivre ». Pour lutter contre la terreur imposée par les terroristes,le groupe avait lancé une campagne incitant les artistes à reprendre leur chansonI love you all the time, dont les fonds iraient aux victimes du terrorisme. La rumeur enflait ces derniers jours, elle s’est confirmée hier soir: en attendant la possible réouverture de la salle mythique, en 2016, le groupe californien a accepté l’invitation de U2, lundi soir à Bercy.

Les fans de U2 ont assisté à un concert exceptionnel : une fois le spectacle terminé, la foule a frissonné en voyant monter sur scène le groupe des Eagles of Death Metal, sur scène trois semaine après le drame. « On leur a volé leur scène, nous voulons leur offrir la nôtre, » a expliqué Bono qui les décrit comme des “amis troubadours dont la vie restera à jamais liée à Paris.« Ensemble, ils ont entonné en cœur People have the power, de Patti Smith, devant un publié ému aux larmes. U2 s’est finalement retiré de la scène, pour laisser place nette au groupe de musique rescapé, devenu un symbole de résistance. Les Eagles of Death Metal ont ensuite pu chanter leur titre phare I love you all the time. »Merci à U2 pour nous donner cette opportunité. Nous t’aimons Paris,” a lancé au public Jesse Hughes, le chanteur du groupe tout de blanc vêtu, avant de quitter la scène avec le reste des musiciens sous les applaudissements de la salle pleine à craquer.

Notre reporter Alexandre Maras était sur place, regardez…

Bono introduit les Eagles of Death Metal

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Accolade sur scène entre les Américains des Eagles of Death Metal et les membres du groupe irlandais U2, lundi soir à Bercy

Jesse Hughes savoure ses retrouvailles avec le public parisien

De l’évolution de son personnage à Jim Carrey, en passant par le nouveau réalisateur, Aaron Taylor-Johnson nous parle de “Kick-Ass 2” !

Lors de la promotion d’Anna Karenine, en septembre dernier, Aaron Taylor-Johnson nous avait confié que Kick-Ass prendrait encore cher dans sa deuxième aventure ciné, et c’est effectivement le cas. Un fait donc l’acteur nous a parlé à Londres, en évoquant aussi le changement de réalisateur, l’évolution de son personnage ou encore son travail avec Jim Carrey, nouveau venu le plus marquant de ce Kick-Ass 2, en salles le 21 août.

Propos recueillis par Maxmilien Pierrette – Montage : Laura Pothier

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Nouvelle vedette de TF1, Alessandra Sublet a du mal à convaincre en interne, en dépit des bons scores de sa première émission.

Son arrivée n’a pas fait que des heureux. Quelques jours après son premier prime sur l’antenne de TF1, Alessandra Sublet serait au centre de nombreuses animosités au siège de la chaîne comme le révèle le magazine Closer. Malgré des audiences plus que satisfaisantes – 4,3 millions de téléspectateurs – et une première place nationale le 4 décembre, la maman de deux enfants n’a pas atteint les objectifs des dirigeants avec son émission Bercy fête ses 30 ans. Non seulement sur les réseaux sociaux, les internautes n’ont pas été tendres avec les prestations, souvent enregistrées, des artistes invités mais Alessandra Sublet a dû faire face à l’attitude étrange de certains e ses invités. Notamment Patrick Bruel qui n’a pas hésité à lui lancer des piques par deux fois. Avec Johnny Hallyday, l’ambiance n’était pas non plus à fête pour cause d’une ancienne querelle entre eux. En 2013, alors à la présentation de C à vous sur France 5, elle avait critiqué l’autobiographie du rockeur préféré des français.

Dans les couloirs de TF1, l’animatrice de 39 ans ne fait pas l’unanimité. Elle serait accusée de se la jouer “très perso, très star”, faisant des pieds et des mains pour “se voir confier des grosses émissions prestigieuses”.

Du côté de ses anciens collaborateurs de la boîte de productions Troisième Oeil (C à vous, Un Soir à la Tour Eiffel), elle n’a pas laissé le meilleur des souvenirs. “Elle nous a tourné le dos sans prévenir personne ! C’est ingrat, un jour, cela se paiera”, affirme l’un d’eux. Un autre ajoute : “Elle a pris la grosse tête mais c’est une coquille vide. Elle a besoin d’être encadrée pour être bonne à l’antenne. Sinon, ses lacunes se voient trop.” Une impopularité dont la jolie brune, mère de deux enfants, ne se doutait certainement pas…

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Son génie musical, ses looks excentriques, ses amours sulfureuses… C’est en les exposant que David Bowie, éternel « Rebel Rebel », se sera peut-être le mieux cacher. (Re-)découvrez quelques faits parmi les mythes le concernant.

Les yeux vairons. Un œil bleu, l’autre marron ? Non, bien que maître de l’ambiguïté, de la confusion des genres, des styles, des sons et des couleurs, David Bowie n’aura pas bénéficié d’une indécision de la génétique. Son regard, double, si étrange et terriblement séducteur, est l’heureux résultat d’une bagarre, à l’adolescence. Frappé à l’œil par un certain George Underwood, camarade de classe, à l’âge de quinze ans, David Robert Jones, de son vrai nom, s’en relève avec la pupille de son œil gauche écrasée et dilatée à jamais. Sans rancune, pressentant au contraire que le monstrueux peut devenir sublime, Bowie plongera son regard dans l’objectif de la petite brute qui l’a abîmé pour ses premières pochettes de disques.

Mon frère, ce fantôme. Si l’aliénation physique et mentale est une récurrence dans l’œuvre de Bowie, c’est parce que le petit David a grandi à l’ombre d’un demi-frère aîné schizophrène, Terry. La musique, le jazz notamment, les rapproche. Les murs des institutions spécialisées derrière lesquels on enferme Terry et la folie dans laquelle ce dernier sombre deviendront des barrières infranchissables. Ce qui n’empêche pas David d’invoquer son frère sur les albums Hunky Dory, The man who sold the world ou encore Scary Monsters. Terry n’est pas encore tout à fait mort. Malgré son suicide en 1985, il ne le sera d’ailleurs jamais vraiment pour son cadet. En 1993, Bowie sortira le single Jump they say, ode jazzy à ce frère qui le hante.

Dans la peau de Cloclo. Précédant Paul Anka, qui en fera un standard planétaire sous le titre My Way, David Bowie fut le premier à qui l’on proposa de traduire en anglais le tube Comme d’habitude de Claude François. Nous sommes en 1968, quelques mois après la déferlante du titre sur les ondes françaises. Il faut faire vite. Bowie ne dispose que de dix jours pour rendre sa copie. Comme d’habitude devient Even fools learn to love ( traduire : « mêmes les imbéciles tombent amoureux »). La tentative restera inachevée. L’Anglais préfère passer à autre chose. Même si, pour certains, son cultissime Life on Mars déroule une progression d’accords similaire à celle du standard de Cloclo.

Parties de cache-cache avec Marlene Dietrich. En 1978, alors qu’il vient d’entrer dans sa « période berlinoise », l’autoproclamé Thin White Duke reçoit le scénario de Just a gigolo. Trois ans plus tôt, il a incarné un extra-terrestre dans L’homme qui venait d’ailleurs. Cette fois, le réalisateur David Hemmings lui propose d’incarner un officier prussien contraint de vendre ses charmes, dans une Allemagne humiliée et disloquée par le traité de Versailles en 1919. L’attribution du premier rôle l’excite bien moins que la perspective de rencontrer Marlene Dietrich, à Berlin. Hélas pour lui, la star, recluse avenue Montaigne, à Paris, n’a accepté de sortir de sa retraite qu’à condition de réciter ses dialogues dans la Ville Lumière. Magie du cinéma qui laisse supposer que l’Ange Bleu et Bowie se sont donnés la réplique sur un même plateau, alors qu’il n’en est rien. Il n’empêche. La vamp, au crépuscule de sa vie, et le caméléon, au pinacle de sa créativité, ont engagé une tendre correspondance. Alors qu’elle ne voyage plus, Marlene fait espérer à son admirateur une rencontre aux Etats-Unis. En vain. De passage à Paris, alors qu’il séjourne au Plaza Athénée, quasiment en face de l’appartement de son idole, David lui fait parvenir une lettre énamourée. Sans retour. A la mort de Dietrich, on découvrira des coupures d’articles consacrés à Bowie soigneusement consignés…

Coup d’éponge. On ne connaît pas encore la date du lever de rideau à Brodway, ni les titres des chansons, mais David Bowie aurait participé, avec Cindy Lauper, John Legend ou encore The Flaming Lips, à l’adaptation du dessin animé Bob l’éponge en comédie musicale. Effet d’annonce ou info ? L’artiste se serait pris de passion pour la drôle de créature, alors qu’il suivait, avec sa fille Alexandria, née de son mariage avec le top Iman, ses aventures subaquatiques à la télévision. En 2007, Bowie déroutait déjà les critiques rock, en doublant l’un des personnages du cartoon le temps d’un épisode… Plus courue par ses fans new-yorkais : sa comédie musicale Lazarus, inspirée du film L’homme qui venait d’ailleurs, avec le comédien Michael C. Hall (Dexter) dans le premier rôle. Une histoire, entre science-fiction et mythe évangélique, de « résurrections ». L’histoire de la vie de David Bowie ? Un précieux testament, en tous cas.

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Ces dernières semaines, le Rebel Heart Tour ne suffit pas à expliquer pourquoi Madonna fait régulièrement la une de l’actualité. Ses difficultés avec son fils Rocco font couler beaucoup d’encre, et interpellent bien au-delà: le père biologique de David, le fils qu’elle a adopté en 2008 s’inquiète.

Lourdes d’abord, a réussi à s’émanciper, exister par elle-même, se libérer de l’emprise de sa mère. Puis ce fut au tour de Rocco. Le fils chéri de Madonna en a eu marre d’être traité comme un vulgaire trophée, à 15 ans, il lui a fait savoir qu’il préférait vivre avec son père, loin d’elle, à Londres. La justice a validé. Il faut dire que depuis quelques semaines la Madone n’a rien d’une mère exemplaire. Elle en fait des caisses au sujet de ce conflit, s’affiche ivre sur scène, et en rajoute encore en dénudant une gamine de 17 ans pendant son show. Pas étonnant que Yohane se fasse du mouron. Il est le père biologique de David, 10 ans, le fils adoptif de la star, et il a été contacté par nos confrères britannique du Sun.

Depuis son modeste village du Malawi où Madonna est venue adopter David en 2008, Yohane condamne le comportement de la chanteuse en évoquant notamment ses relations avec des hommes plus jeunes. “David ne devrait pas être exposé à ce genre de choses. Ce n’est pas comme ça que nous vivons, nous avons des valeurs fortes vis-à-vis de la famille.”

Mais plus que tout, c’est le déchirement entre Madonna et Guy Ritchie au sujet des enfants qui préoccupe l’homme de 43 ans. “La façon amère et méchante de se battre pour la garde m’inquiète beaucoup. J’aimerais comprendre ce qu’il se passe dans l’intimité et pourquoi Rocco a voulu quitter sa mère et partir vivre avec son père comme ça.” Une situation qui lui échappe d’autant plus que la fratrie s’en trouve elle aussi démembrée.

Conscient de son mode de vie beaucoup plus sobre que celui de Madonna, Yohane se demande s’il a bien fait d’accepter l’adoption de son fils à la mort de sa femme, convaincu qu’il aurait sans doute été plus heureux même dans la pauvreté. Sans pitié vis-à-vis de la Queen of the pop, le père de David espère malgré tout que son garçon n’imitera pas Rocco et préfèrera rester avec la Madone. Il se souvient en effet qu’au moment de l’adoption, seule Madonna était concernée par l’enfant, Guy Ritchie lui, n’en voulait pas.

Crédits photos : AdMedia/SIPA

C’est le 11 décembre qu’est programmé le grand retour d’Anne Sinclair à la télévision. Son Fauteuils d’orchestre sera diffusé en prime time sur France 3. Découvrez tous les détails sur cette émission musicale qui pourrait bien n’être qu’un «one shot».

Cela fait douze ans que l’on a plus vu Anne Sinclair animer sa propre émission à la télévision. C’était Le choc des cultures, sur France 3, en 2003. C’est sur cette même chaîne que la journlaiste s’apprête à faire son grand retour. L’annonce est tombée au début de l’été, mais on connaît désormais la date de diffusion: le 11 décembre prochain. Et en prime time.

Celle qui est aujourd’hui directrice éditoriale du Huffington Post depuis ne reviendra pas parler politique, comme elle l’a brillamment fait pendant des années, mais musique classique, une de ses grandes passions. Dans Fauteuils d’orchestre, Anne Sinclair recevra le célèbre chanteur d’opéra italien Ruggero Raimondi. L’occasion de revenir sur son immense carrière, passée également par le cinéma. Ils seront entourés du ténor Juan Diego Florez, de la chanteuse lyrique Julie Fuchs et du violoncelliste Edgar Moreau. Pour tenter de toucher un plus large public, Anne Sinclair a fait appel à son grand ami Patrick Bruel. Tous ces artistes se produiront sur un plateau de 900 m2, accompagnés des 100 musiciens de l’Orchestre de Paris, dirigé par Alain Altinoglu.

Dans l’émission Le tube, sur Canal+, Anne Sinclair a expliqué sa démarche et son retour à la télévision. «Je ne reviens pas du tout, a-t-elle précisé. Je fais une émission parce qu’on m’a proposé quelque chose qui m’amuse infiniment et que j’aime depuis toujours, la musique classique et l’opéra.» La journaliste a ajouté pour conclure et mettre fin à toute spéculation: «Mais c’est pour UNE émission, donc je ne reviens pas à la télé». La direction de France 3 aimerait pourtant la convaincre de poursuivre l’aventure.

Crédits photos : Julien de Rosa / Starface

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Le 12 juin dernier, John Stamos aurait pu commettre l’irréparable. L’acteur américain était signalé par les agents de police en état d’ébriété au volant de sa voiture sur les routes de Santa Monica. Interpellé à temps, il n’avait fait aucune victime mais ses fans s’inquiétaient des poursuites judiciaires à son encontre. Les voilà aujourd’hui rassurés.

Tout semble rentrer dans l’ordre dans la vie de John Stamos après des mois d’instabilité. Son interpellation pour conduite en état d’ivresse a valu à l’acteur américain une cinquantaine de réunions d’alcooliques anonymes et des heures de psychothérapie. Dix jours après son interpellation, il a décidé de prendre sa vie en main en entrant en cure de désintoxication. Sorti fin juillet de sa cure, il a ensuite rassuré ses fans sur son état de santé et commencé à préparer sa défense en vue du procès qui lui est intenté dans le cadre de son arrestation de juin.

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C’est hier, mardi 24 novembre, que le tribunal de Los Angeles a annoncé à l’acteur qu’il échappait à une peine de prison. John Stamos écope cependant de trois ans de sursis avec mise à l’épreuve, un terme judiciaire qui place l’intéressé sous le contrôle d’un juge et le soumet à plusieurs mesures de contrôle.

Désormais soulagé, l’acteur de 52 ans va pouvoir se consacrer pleinement à sa carrière qui s’apprête à rebondir à nouveau : avec déjà un rôle dans la nouvelle série Grandfathered, il se prépare au grand retour de La Fête à la maison, une nouvelle version de la série culte dans laquelle il sera bien évidemment de la partie, vingt ans après la fin de la série.

Crédits photos : Randy Holmes/Getty

À l’occasion du lancement sur TF1 ce soir de la série Zoo, découvrez quelles bêtes inattendues sont en pension chez les stars.

Si le chien est l’ami le plus fidèle de l’homme, il ne contente pas toujours les attentes de certains propriétaires. De nombreuses personnalités du show-business ont opté pour de “simples” animaux de compagnie, mais d’autres ont jeté leur dévolu sur des espèces plus inattendues. Avec de l’argent et de l’espace, posséder une tortue géante, un singe ou des alpagas est un rêve largement accessible.

Grand défenseur de la cause animale et des risques des changements climatiques sur leur quotidien, Leonardo DiCaprio s’est entiché en 2010 d’une tortue sillonnée (ou tortue sulcata). Après son intervention lors de la conférence des éleveurs de reptiles d’Amérique du nord, le héros du Loup de Wall Street a dépensé environ 370€ pour s’offrir cet animal âgé de 10 ans . La bête pesait à l’époque 17 kilos et pourrait atteindre les 90 kilos à ses 100 ans.

L’acteur n’est pas le seul à avoir craqué pour un animal exotique. Mais ça n’est pas toujours la conscience écologique qui pousse certains à acquérir ces bêtes en voie de disparition. Comme Michael Jackson, les soeurs du clan Kardashian ont adopté en 2009 un chimpanzé prénommé Suzy. Si Kim s’est d’abord réjouie de l’arrivée dans la famille de ce singe si proche de l’homme, elle s’est ensuite plainte de la bête qui aurait volé son téléphone portable. Les Kardashian se sont finalement discrètement débarrassées de leur amie Suzy dont plus personne n’a de nouvelles…

Pour ceux qui hésiteraient encore à adopter des animaux pas comme les autres, TF1 vous propose ce soir le premier épisode de la série américaine Zoo. Au programme: la rébellion organisée des bêtes, sauvages et domestiquées, contre la domination de l’homme. La Française Nora Arnezeder se retrouve au milieu de ce casting animalier très riche.

Crédits photos : The Ring Magazine

Deux ans et demi après avoir pris sa retraite, David Beckham a fait d’étonnantes confidences dans une interview au magazine culturel britannique Radiotimes. La star anglaise révèle qu’elle prend plus de plaisir en tant que spectateur de rugby que de football.

«J’adore le rugby. J’aime le regarder, j’aime son univers. Et j’aime l’ambiance qui règne à Twickenham, des gens assis côte à côte sans aucune animosité. J’ai pris bien plus de plaisir à Twickenham à regarder du rugby qu’à regarder des matches de foot. Enfant, ce n’était jamais très agréable d’aller voir United contre Tottenham.» Cet extrait de l’interview de David Beckham à Radiotimes fait beaucoup parler depuis 24 heures.

«L’enthousiasme pour le jeu d’un public de rugby est plus fort qu’au football, où les spectateurs peuvent vite se retourner contre une équipe si ça ne marche pas comme prévu, développe l’ancien joueur du PSG (son ancien club joue ce soir à 20h45 au Parc des Princes contre le Chakhtar) . Les publics de Liverpool et Manchester sont formidables bien sûr, mais l’ambiance dans les stades de rugby est spéciale”.

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Si Becks se plait à regarder des matches de rubgy, il suit pour autant de près l’actualité du ballon rond. Au cours de son entretien au magazine culturel britannique, il s’est ainsi « écœuré » par les scandales qui éclaboussent la Fifa. «Il faudra du temps pour régler ce gâchis”, a-t-il expliqué. Redoutable businessman, le Spice Boy qui gère d’un main de maître sa reconversion, a annoncé la semaine dernière qu’il avait trouvé un terrain pour construire le stade nécessaire à la création de sa nouvelle franchise de MLS (Major league soccer, l’équivalent de la Ligue 1 outre-Atlantique) dans quartier d’Overtown à Miami. «Nous apprécions le soutien et la patience de nos supporters qui partagent le rêve de David de créer un club de soccer de classe mondiale à Miami, a indiqué le Miami Beckham United, du nom de son équipe d’investisseurs. Nous n’avons jamais été aussi proche de faire de notre rêve une réalité». Prochaine étape pour David Beckham, implanter le rugby aux Etats-Unis?