Month: January 2020

Découvrez la bande-annonce de la comédie “16 ans… ou presque”, dans laquelle Laurent Lafitte incarne un avocat trentenaire redevenant subitement un adolescent de 16 ans. Pour le meilleur et pour le pire !

© UGC Distribution

Et si Laurent Lafitte redevenait un ado immature et plein d’acné ? Dans la comédie 16 ans… ou presque, en salles le 18 décembre prochain, l’acteur incarne un avocat et philosophe trentenaire pas très fun. Mais un jour, il est pris d’étranges pulsions et se découvre quelques boutons d’acné. Le diagnostic tombe : il souffre d’un syndrome rare de puberté tardive. Emporté par un tourbillon hormonal, et en compagnie de son frère et sa bande, il va découvrir la jeunesse qu’il n’a jamais eue. Découvrez la bande-annonce de 16 ans… ou presque ci-dessous.

Clément Cuyer

La bande-annonce de “16 ans… ou presque” :

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16 ans… ou presque

« C’est pas sympa de faire ça aux copains ! » A l’annonce du décès de Jean-Pierre Coffe, Pierre Perret livre son cri du coeur à notre collaboratrice Marie-Caroline Malbec.

Ah ! Jean-Pierre, je le connais depuis trente ans, nous avions beaucoup d’affinités.

Je me souviens d’un voyage en Irlande avec lui et une bande de joyeux drilles, tous amateurs de bonne cuisine, et de vins. Ç’avait déconné sec !

On s’est revus régulièrement au cours de toutes ces années, souvent au cours d’émissions, il adorait mes chansons, surtout celle sur les stations de métro « Bercy Madeleine ».

A chaque fois, il hurlait de rire, j’aimais ça chez lui, cette spontanéité, cette joie de vivre.

Il y a eu aussi quelques Grosses Têtes, inoubliables.

Nous n’étions pas intimes, mais on s’appréciait, en symbiose sur tous les problèmes de la malbouffe, contre la merde qu’on veut nous faire bouffer !

Il a gueulé, il a bien eu raison et ça a été utile.

Nous discutions avec bonheur de la vie. Autodidacte, il aimait la littérature, la poésie, l’art, la cuisine.

Sous ses dehors extravagants, il était très pudique, il cachait une grande sensibilité.

Il avait cette incroyable énergie de vie, il était audacieux et créatif, il réalisait un projet, se plantait et rebondissait toujours pour repartir sur autre chose, inlassablement.

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Il a vécu pleinement, mais il est parti trop tôt, on ne fait pas ça aux copains ! Il va nous manquer, le salaud.

Paix à son âme. »

Pierre Perret

propos recueillis par Marie-Caroline Malbec

Crédits photos : PJB/SIPA

Le réalisateur de “Control” a recruté Robert Pattinson et Dane DeHaan pour son nouveau long métrage, “Life”.

© Stone Angels / © Sony Pictures Releasing France

L’amitié entre l’acteur américain James Dean et le photographe Dennis Stock : c’est le sujet du prochain long métrage d’Anton Corbijn, intitulé Life. Le réalisateur de “Control” et “The American” y dirigera le tandem Dane DeHaan / Robert Pattinson, le futur Harry Osborn de The Amazing Spider-Man 2 se glissant dans la peau de la star de la “Fureur de Vivre”, l’ex Edward Cullen de “Twilight” incarnant son complice.

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Avec ComingSoon

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Mardi soir, Gilles Verdez en visite surprise dans la loge de Joey Starr, a essuyé un coup du rappeur. Suite au buzz généré par l’incident, le juré de la Nouvelle Star s’explique.

Il est des gens qu’il vaut mieux ne pas trop chatouiller. Joey Starr est de ceux-là. Il en est d’autres qui perçoivent mal les limites. Gilles Verdez est de ceux-ci. Alors quand le chroniqueur de Touche pas à mon poste est allé taquiner le rappeur dans sa loge de la Nouvelle Starhier soir, la rencontre a été violente. Chahuté, Joey Starr a demandé à plusieurs reprises à Gilles Verdez de le laisser tranquille. Le trublion de TPMP n’a pas su s’arrêter, et s’est fait gifler, sortant de la pièce précipitamment et le visage en sang.

Cyril Hanouna, aux commandes de l’émission, a repris l’antenne. Scandalisé, il a demandé les excuses du rappeur sous peine de perturber la diffusion de la Nouvelle Star quelques minutes plus tard. Sans doute occupé à préparer son intervention dans l’émission de télé-crochet, le rappeur ne s’est pas manifesté, mais la prod a publié un tweet pour apaiser les tensions: “La production de la Nouvelle Star regrette l’incident qui s’est déroulé.” Insuffisant pour Cyril Hanouna et son équipe qui ont d’ores et déjà annoncé qu’ils refusaient de présenter TPMP ce mercredi. Un peu plus tard dans la soirée, une fois la pression redescendue, Joey Starr s’est exprimé à son tour.

Sur les réseaux sociaux, il n’a pas publié d’excuses à proprement parler, mais a expliqué son geste malheureux. “J’ai été surpris dans ma loge pendant ma préparation à l’émission, ma réaction a été un réflexe à une attitude et des gestes qui m’ont dérangés.”Le rappeur au sang chaud, pas du genre à se mettre à plat ventre, a toutefois justifié son emportement dans ce qui ressemblait à des regrets, mais a mis en évidence la maladresse du chroniqueur. “Cette intrusion insistante n’était pas prévue. Ces gestes inappropriés ont ravivé ma blessure à l’épaule du concert d’hier soir.” Ce petit mot a fait réagir de façon mitigée. Certains fans s’indignent, écoeurés du personnage qu’ils estiment intolérant, d’autres le soutiennent et fustigent bien sûr le comportement de Gilles Verdez.

Pour l’heure, Cyril Hanouna et son équipe n’ont pas fait d’autres déclarations à propos du maintien de l’émission et n’ont pas réagi non plus au message de Joey Starr. Gilles Verdez de son côté visiblement remis et visant depuis le début à ne pas attiser les tensions, a publié un message de remerciements sur son compte Twitter pour le soutien qu’il a reçu de la part de ses “collègues et amis”.

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Enora Malagré est la reine du clash. Dans l’émission Touche pas à mon poste, dans le bande de de Cyril Hanouna, elle n’hésite jamais à dire ce qu’elle pense, au risque de provoquer la colère de certains invités, et de leurs soutiens. C’est ce qui vient de se passer ces derniers jours. Elle n’a pas aimé le livre de Nabilla, et Thomas Vergara, le compagnon de la bimbo, n’a pas aimé les remarques contre sa compagne. Il lui répond, avec humour, sur Twitter.

Thomas Vergara, l e chevalier de sa princesse Nabilla, ce n’est pas qu’un conte de fée, c’est la réalité. La starlette et son amoureux sont en train de vivre leur quatrième année d’amour. Un amour passion, mais un amour sincère, plus fort que tout. Et pour sa dulcinée, le grand Thomas est prêt à tout, même à prendre les armes des réseaux sociaux pour attaquer ceux qui s’en prendraient à elle.

C’est ce qui vient d’arriver à l’animatrice Enora Malagré. La blonde, chroniqueuse de l’émission Touche pas à mon poste, a critiqué Nabilla au sujet de son dernier livre, Trop Vite. Cette publication, qui signe le retour de Nabilla dans l’arène médiatique, est « un four » d’après la chroniqueuse, qui toujours selon ses dires, ne se vend pas. Sur le retour de la bimbo dans l’émission, elle va même plus loin en disant que”tout le monde s’en fout”.

Il n’en fallait pas plus pour que le compagnon de Nabilla ne sorte son smartphone et ne décide de contre-attaquer sur les réseaux sociaux. Il reproche à Enora Malagré de « mentir aux français » et se moque gentiment d’elle sur Twitter, en lui prescrivant une cure de « mythoprane » (ndlr: jeu de mot et montage photo mêlant mythomane et le médicament doliprane).

Il faut dire que les histoires entre Enora Malagré et Thomas Vergara ne datent pas d’hier. Elle lui avait réclamé, devant la justice, 20 000 euros de dommages et intérêts pour avoir divulgué une photo d’elle seins nus sur internet. Mais cela ne freine pas Thomas Vergara, qui publie une autre photo dans la foulée. Et il ne s’agit pas d’un montage cette fois, mais du classement des ventes des livres, publié par L’Express. L’ouvrage de Nabilla se classe quatorzième des ventes, preuve selon lui que le livre est un succès en librairie, et donc qu’Enora Malagré est bien une « menteuse ». Il manie l’ironie, en disant: « Quel échec ce livre! »

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De quoi renforcer un peu plus l’amour qui unit Nabilla et son défenseur. Enora Malagré, elle, n’a pas encore réagi à cette attaque directe, mais on peut compter sur son franc parler pour lui répondre très prochainement…

Depuis le 7 novembre 1988, Julien Lepers est le présentateur de Questions pour un champion sur France 3. Ce soir et demain, l’animateur sera deux dernières fois aux commandes du jeu culte du service public. Dès lundi, Samuel Etienne le remplacera.

Une page de la télévision va se tourner samedi aux alentours de 18h30 sur France 3! Après 8300 émissions et 28 ans d’antenne, Julien Lepers va quitter la présentation de Questions pour un champion.À noter que l’ultime Questions pour un champion version Julien Lepers ne comportera pas de séquence d’adieux ou de remerciements aux téléspectateurs puisqu’il a été enregistré il y a plus de deux mois.

“Je n’ai même pas eu le temps de dire au revoir à mes équipes et à mon public. (…) Pas un regard, pas un merci, pas de pot de départ !”, a regretté Julien Lepers lors des nombreuses interviews accordées au Grand Journal, à Ç à Vous, aux Enfants de la télé, à Europe 1 parmi d’autres. Qualifié d’ingérable par la patronne de France 3, Dana Hastier, Julien Lepers a tenu à rétablir sa vérité dans un entretien accordé au Parisien ce matin. «Si j’étais ingérable, aurais-je pu tenir vingt-huit ans et 8 300 émissions, remarque-t-il. Et est-ce que j’ai jamais saboté quoi que ce soit? Dire cela, c’est une atteinte à mon honneur professionnel. Même en télé, on n’est pas obligé d’humilier les gens. Ce qui me fait le plus mal, c’est que la fin est complètement ratée. Et à travers moi, c’est tous les téléspectateurs qui n’ont pas été respectés.»

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L’animateur profite de cette interview pour évoquer son avenir. «Je croule sous les demandes, se réjouit-il. Je jouerai dans la comédie musicale Hopes en Belgique à partir du 12 avril et à partir de fin septembre, je partirai en tournée avec La Garçonnière, une pièce avec Fiona Gélin.» À 66 ans, Julien Lepers n’exclut pas non plus de refaire de la télé. «Il y a des discussions importantes, mais je ne sais pas encore, indique-t-il au Parisien. J’ai été arrêté en plein vol. Il faut tourner la page après ce choc immense, mais l’avenir est magnifique.»

Depuis quatre ans, Alex Lutz et son compère Bruno Sanches font rire le public du Grand Journal avec la pastille Catherine et Liliane. Mais s’il pense chaque année arrêter d’incarner Catherine, le comédien a bien d’autres projets en tête pour son tandem de secrétaires de rédactions.

« Tous les ans, je veux arrêter. » Malgré le succès, malgré les rires du public, Alex Lutz l’assure : chaque année, il pense devoir cesser d’incarner Catherine dans sa pastille Catherine et Liliane, avec Bruno Sanches. « Mais tous les ans, on trouve le moyen de les réinventer, confie-t-il au Parisien. Cette année, on a fait venir des copains, Laurent Lafitte, Line Renaud… » Un artifice qui lui a permis de résister une saison de plus dans le Grand Journal, et qui a fait naître d’autres idées pour le duo de secrétaires de rédaction qui commentent à leur façon l’actualité.

« On a très envie de les mettre sur scène mais pas au cinéma », précise le comédien devenu réalisateur l’année dernière avec le film Le Talent de mes amis. « C’est bien qu’on ne voie pas la baraque à Meudon ou leurs maris, qu’on ne voie pas leurs jambes… Faut pas gâcher le truc, estime-t-il. Il faut garder la relation qu’elles ont, une relation de collègues. Si on les inscrivait dans une histoire au cinéma, on abîmerait ça. »

Alex Lutz, qui travaille sans cesse sur « la sincérité » de ses personnages, explique par ailleurs le succès de Catherine et Liliane par leur côté réaliste – et le fait que tout le monde se retrouve dans ce tandem. « Ce qui me touche, c’est qu’il y a un attachement. Elles ont quelque chose de rassurant, d’immuable, comme ces bonnes femmes qui ne comprennent pas leur époque mais se battent pour rester dans le coup, décrit-il. On est tous comme Catherine et Liliane : on fait semblant de comprendre les infos, mais en fait on ne pige rien. »

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Crédits photos : Swan Gallet/WWD/Shutter/SIPA

Près de quinze ans après le succès de la comédie musicale d’Elie Chouraqui, le metteur en scène promet le retour des Dix commandements, et ça ne plaît pas vraiment à Pascal Obispo et Daniel Levi, compositeur et interprète des titres.

“J’avais créé Les dix commandements en 2000 parce que c’était l’aube du troisième millénaire.” a récemment expliqué Elie Chouraqui dans les colonnes du Parisien. La comédie musicale avait été un véritable succès, avec au total près de 2,5 millions de spectateurs venus applaudir la troupe, et plus de deux millions d’albums vendus. On comprend la tentation du metteur en scène de relancer le spectacle, ce qui devrait être effectif dès le mois de novembre prochain, avec trois dates à l’Accorhotel Arena de Bercy. Après les attentats parisiens à la fin de l’année dernière, Elie Chouraqui a eu envie de retrouver le “message d’espoir, d’ouverture et de générosité qui fait du bien” qu’il considère comme les fondements de ce show.

Une motivation honorable qui ne suffit pourtant pas à convaincre ses anciens collaborateurs. Au lendemain de l’annonce dans la presse, Pascal Obispoà qui l’on doit les titres de la comédie musicale, a publié un message sur Twitter. Sa position est claire: “Je ne suis aucunement impliqué et solidaire du spectacle qui se présente comme le retour des Dix commandements.” Dans la foulée, Daniel Levi, tête d’affiche de la version originelle s’est fendu lui aussi d’un post Facebook peu enthousiaste du projet d’Elie Chouraqui. “Choqué d’apprendre, par les médias, et avec l’utilisation de mon nom et de mon image, la reprise prochaine du spectacle Les dix commandements. Je n’ai jamais été informé ni sollicité pour cette intention de reprise (…) Ce genre d’attitude mérite La peine maximum.”

Outre le fait qu’ils n’en aient été avertis que comme de simples lecteurs, on suppose que Daniel Levi et Pascal Obispo n’ont pas tellement apprécié d’être ainsi à la fois utilisés et évincés du projet. Car si les chansons du compositeur seront de nouveau mises en avant, le comédien lui n’a pas été invité à remonter sur scène. A sa place, Joshaa, sa doublure dans la première version. Vexant.

Pour compléter le casting, Merwan Rim, qui relayait Ahmed Mauici dans le rôle de Ramsès, en sera l’interprète principal tandis que son prédécesseur devient coach vocal… histoire peut-être de ne pas dépayser les nouvelles recrues issues de l’émission The Voice.

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A l’occasion de la sortie de son livre Bienvenue chez moi (Flammarion), Jean-Luc Petitrenaud nous présente sa fille Louise, également passionnée de cuisine.

Chez les Petitrenaud, la transmission est sacrée. Louise reprend donc avec sérieux et jubilation le flambeau que porte son père depuis bientôt 20 ans. Avec tendresse et truculence, il entraîne les téléspectateurs, chaque samedi et dimanche, dans ses « escapades gourmandes » sur France 5. Sa fille part désormais « en quête de terroir » dans l’émission de Sophie Davant, C’est au programme, sur France 2. Tous deux aiment faire partager leurs envies, la preuve en video.

Retrouvez dès demain dans Gala en kiosques l’intégralité de cette rencontre.

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Interrogé sur France Inter à l’occasion de son retour sur scène, vingt ans après Première Consultation, Doc Gyneco est revenu sur ses débuts, et en particulier sur ses surprenants choix politiques.

Vingt ans après la sortie de son album culte Première consultation, sorti en 1996, Doc Gyneco se serait-il assagi ? En tout cas, il dit avoir appris de ses erreurs, et considère que l’une de ses plus grandes désillusions est liée à la politique. Le rappeur est revenu sur ses rapports avec les politiciens au micro d’Augustin Trapenard, ce mardi 29 mars sur France Inter. « Maintenant que j’ai vu ce que c’était que ce milieu, ça va… » a-t-il commencé de sa voix traînante si reconnaissable.

A propos de son soutien à Nicolas Sarkozy, en 2007, qui en avait surpris plus d’un dans le milieu du rap et ailleurs, Doc Gyneco a lâché avec son franc-parler habituel : « Soutenu, c’est un bien grand mot… Je ne suis pas un Wonderbra. » Avant d’admettre qu’il avait fait ça un peu « pour la provoc’ ». « Dans le rap, on ne connaît pas vraiment la politique et cela ne nous intéresse pas forcément. Ce qu’on aime c’est les idées » a-t-il expliqué. Une sorte de naïveté dont il semble aujourd’hui être revenu. « Moi je me suis fait avoir parce que j’ai cru ce qu’on m’avait dit » a-t-il avoué, probablement toujours en parlant de l’ancien président.

A la question : « Quelle est votre plus grosse erreur ? » l’interprète de Vanessa a répondu après une courte hésitation « la politique ». Il avait déjà exprimé des regrets quant à ces engagement, lors d’une interview dans Next en février dernier.

Et quand, taquin, Augustin Trapenard a abordé le sujet du duo avec Bernard Tapie, C’est beau la vie, sorti en 1998, le rappeur lui a rétorqué, hilare : « Je te l’ai dit, parfois je me goure dans mes choix ! C’est pas facile d’être un visionnaire… » Visionnaire, ce mélange des genres rap et politique l’était sans doute. Et aujourd’hui, s’il devait renouveler l’expérience de chanter avec une personnalité politique, ce serait « François Hollande, évidemment ! ». L’appel est lancé.

Crédits photos : CAPMAN/SIPA