La sélection officielle pour le 67e Festival de Cannes, qui se tiendra du 14 au 25 mai prochain, a été annoncée ce jeudi. En tout, 18 films ont été sélectionnés par le jury. Parmi eux, trois films français.
Elle était attendue, elle est désormais officielle: la sélection des films en compétition pour le 67e Festival de Cannes a été annoncée ce jeudi, lors d’une conférence de presse, à Paris. Pas moins de 18 films ont été choisis pour être projetés sur la Croisette du 14 au 25 mai prochain. Parmi les longs-métrages sélectionnés, on retrouve trois films français. Après le succès de The Artist en 2011, Michel Hazanavicius revient cette année avec son nouveau film The Search. Olivier Assayas fait également partie de la compétition avec son film Sils Maria. Pour séduire le jury, le réalisateur pourra compter sur un casting de choix puisque Juliette Binoche, Kristen Stewart et Chloë Grace Moretz seront à l’affiche du long-métrage français. Enfin, Bertrand Bonello, 45 ans, sera le dernier représentant de la délégation tricolore avec Saint Laurent, un nouveau long-métrage consacré au célèbre couturier (avec à l’affiche Gaspard Ulliel, Louis Garrel…).
Pour cette 67e édition du Festival de Cannes, la compétition promet d’être serrée. En effet, les habitués Ken Loach (Jimmy’s Hall), Tommy Lee Jones (The Homesman) ou encore les frères Dardenne (Deux jours, une nuit, avec Marion Cotillard) feront partie des prétendants pour la prestigieuse Palme d’Or. Du 14 au 25 mai prochain, le monde du cinéma aura en effet les yeux rivés sur le Palais des Festivals. Pendant 10 jours, le jury, présidé par Jane Campion, enchaînera les projections du matin au soir. Le début de cet événement planétaire est d’ailleurs attendu avec impatience puisque c’est le film polémique d’Olivier Dahan, Grace de Monaco qui fera l’ouverture.
La liste officielle des films en compétition :
– Sils Maria, d’Olivier Assayas
– Saint Laurent, de Bertrand Bonello
– Sommeil d’hiver, de Nuri Bilge Ceylan
– Maps to the Stars, de David Cronenberg
– Deux jours, une nuit, des frères Dardenne
– Mommy, de Xavier Dolan
– Captive, d’Atom Egoyan
– Adieu au langage, de Jean-Luc Godard
– The Search, de Michel Hazanavicius
– The Homesman, de Tommy Lee Jones
– Deux fenêtres, de Naomi Kawase
– Mr. Turner, de Mike Leigh
– Jimmy’s Hall, de Ken Loach
– Foxcatcher, de Bennett Miller
– Le Meraviglie, d’Alice Rohrwacher Click Here: Spain Football Shop
– Timbuktu, d’Abderrahmane Sissako
– Wild Tales, de Damian Szifron
– Leviathan, d’Andrey Zvyagintsev
Sélection officielle Un Certain Regard :
– Jauja, de Lisandro Alonso
– La chambre bleue, de Mathieu Amalric
– L’incomprise, d’Asia Argento
– Titli, de Kanu Behl
– Eleanor Rigby, de Ned Benson
– Bird People, de Pascale Ferran
– Lost River, de Ryan Gosling
– Amour fou, de Jessica Hausner
– Le pays de Charlie, de Rolf de Heer
– Snow in Paradise, d’Andrew Hulme
– A Girl at my Door, de July Jung
– Xenia, de Panos Koutras
– Run, de Philippe Lacôte
– Force Majeure, de Ruben Ostlund
– La Belle Jeunesse, de Jaime Rosales
– Fantasia, de Wang Chao
– Le sel de la terre, de Wim Wenders et Juliano Ribeiro Salgado
– Loin de son absence, de Keren Yedaya
Lundi prochain, Top Chef revient sur les écrans pour son fameux “Choc des Champions”. Sur le ring culinaire: Pierre Augé, vainqueur de la dernière édition et Jean Imbert, le tenant du titre qui a remporté le challenge en 2013 face à Naoëlle.
Couteaux aiguisés, casseroles cirées, ingrédients prêts à être découpés… L’heure est à la bataille pour deux des gagnants de l’émission Top Chef. Le 28 avril, M6 proposera son émission spéciale, le “Choc des Champions” qui opposera Jean Imbert, qui a décroché le gros lot en 2008 – en couple avec l’ex miss France Alexandra Rosenfeld, et Pierre Augé, grand victorieux de cette année.
C’est en direct que les deux candidats vont s’affronter autour d’un menu complet composé à partir des produits les plus consommés par les Français: une entrée à base de tomates, un plat chaud à base de bœuf et de pommes de terre, un dessert à base de pommes. Le jury de Top Chef sera présent pour juger chaque assiette et attribuer un point à celle qu’il préfère mais le public aussi aura son mot à dire : le temps de cette soirée, les téléspectateurs seront « le 5ème juré » et pourront, via un vote audiotel ou sms, voter pour l’assiette qu’il préfère et attribuer un point supplémentaire au candidat de leur choix.
À l’issue de ces trois manches culinaires, le meilleur candidat sera sacré champion des champions. Il remportera le trophée et la somme de 10 000 euros. Découvrez la bande-annonce.
Jerry Hall, top-modèle international, n’a jamais renié ses origines texanes, bien au contraire. L’ex-épouse de Mick Jagger a sillonné le monde pour son métier, mais a toujours trouvé le temps de revenir à ses racines. Choisie par British Airways comme image de la nouvelle ligne directe Londres-Austin inaugurée par la compagnie, elle a accepté de nous rencontrer au cours de ses vacances pour nous livrer tous les secrets de l’un de ses lieux de villégiature favoris.
Cette liane blonde d’1m 82, à la carrière remarquable a de quoi en intimider plus d’un. Egérie Mugler, mannequin à la renommée internationale, elle a été en couverture de quarante magazines, dont Vogue, Cosmopolitan… Ce n’est pas tout, après des apparitions au cinéma notamment chez Tim Burton, elle est aujourd’hui sur les planches. Elle prépare d’ailleurs une adaptation théâtrale de Blanche Neige, dans laquelle elle incarnera, en décembre prochain, la méchante reine. Intimidante, on vous dit.
Mais Jerry Hall a l’art de mettre à l’aise ses interlocuteurs. Au Driskill Hotel d’Austin, où nous avons rendez-vous, elle plaisante et trinque avec tout le monde, s’extasie sur la vue qu’offre la suite. Et n’est surtout pas avare de confidences sur son pays, sur les gens d’ici qu’elle trouve à la fois charmants et étranges, sur ce qu’il faut absolument avoir fait quand on visite Austin. Suivez le guide!
Gala: Vous qui avez beaucoup voyagé et qui vivez à Londres, vous retrouvez ici, “comme à la maison”?
Jerry Hall: Oui, je suis chez moi. J’ai passé quelques semaines ici avant notre rencontre, c’est toujours un grand plaisir, et une chance. J’adore revenir dans mon pays, ma région. Mes enfants se sentent bien ici. Mon fils de 16 ans passe pas mal de temps avec moi dans la villa que nous avons près du lac, il va nager tous les jours! C’est vraiment des vacances super.
Gala: Quelle est la première chose que vous faites quand vous arrivez ici?
J.H.: Je cours dans un restaurant de barbecue! Je me régale de ces fameuses saucisses épicées. Mais la première chose que je fais quand je sors de l’aéroport, c’est généralement un plein de courses chez WholeFoods. C’est un magasin de produits bios, qui a été créé ici, et qui est maintenant présent dans la plupart des pays (nous en avons maintenant un à Richmond, à Londres, ça a changé ma vie). Ensuite, nous passons par un restaurant de barbecue, pour bien sentir que nous sommes au Texas, et nous rentrons ensuite à la maison que nous avons depuis un an à Lake Austin. Si je peux, je plonge directement dans le lac. C’est vraiment parfait, le lac se situe sur une aquifère, donc nous profitons d’une eau pure. Là où je suis nous avons des tortues et des cygnes, des carpes qui sautent parfois au-dessus de l’eau. Toute cette faune autour de nous, c’est génial.
Gala: Depuis quand venez-vous dans cette maison?
J.H.: Nous l’avons achetée il y a un an et demi. Mais avant, j’avais un ranch à Lone Oak, un peu plus au nord. Je n’ai jamais cessé de venir ici au Texas, dont je suis originaire. C’est vrai que maintenant que nous avons cette maison sur le lac, nous venons au moins cinq fois par an.
Gala: Vous venez ici pour vous ressourcer?
J.H.: Oui, vraiment, nous nous reposons, nous nous baignons, nous faisons du canoë – nous pouvons même aller faire quelques petites courses en canoë, ce qui est assez agréable. Mon fils James est musicien et il est passé plusieurs fois au grand festival de musique local: le South by Southwest (Jimmy Jagger sortira son premier album en septembre chez Universal ndlr). Mes filles Georgia et Elisabeth passent aussi au moins une fois par an ici. Elles sont tous les deux mannequins et voyagent beaucoup, donc c’est important pour elle de se poser un peu. Avec elles, nous allons au Lake Austin Spa (notre photo ci-dessous), où nous nous faisons chouchouter toute la journée. Et nous adorons faire du shopping ici parce qu’il y a pas mal de boutiques très originales: vous savez sûrement que la devise de la ville c’est “Keep Austin Weird” (Qu’Austin reste bizarre) parce qu’ils aiment ce qui est un peu étrange.
Gala: Vous parliez de vos filles et Georgia dit de vous que vous lui avez inculqué les solides valeurs du Texas. Quelles sont-elles?
Les enfants ici sont très polis, ils ont des manières, ils disent “yes sir, yes mam”, c’est mignon. Ils ont appris à rendre service à leurs parents, grands-parents, et même aux étrangers. Ils ont de la conversation.
J’ai tenté de faire en sorte que mes enfants aient des bonnes manières, et c’était très important pour moi qu’ils soient hospitaliers. Ici nous apprenons très tôt à recevoir. Les enfants sont habitués à voir beaucoup de monde chez eux parce que les gens organisent des dîners, ouvrent spontanément leur maison. Les enfants ont l’habitude d’être au contact des adultes et de suivre leur conversation.
Ça fait partie de la culture texane de savoir recevoir.
Gala: Austin est une ville très différente du reste du Texas, comment l’expliquez-vous?
J.H.: La ville est très vivante, très jeune, il y a six universités, mais la ville reste à taille humaine, il n’y a pas plus d’un million d’habitants pour l’instant. Les villes principales du Texas sont Dallas et Houston, de très grandes villes (6 millions d’habitants, 8 millions d’habitants) et l’atmosphère n’y est pas la même. Austin est une ville démocrate: personne ici n’a voté pour George Bush! Alors qu’à Dallas et Houston, oui! C’est drôle d’ailleurs, parce qu’il y a ici une galerie George W. Bush! On aime rire à Austin, il y a par exemple cet événement intitulé Spamarama. Vous connaissez ces conserves de viande dégoûtantes appelées Spam? Eh bien ils organisaient un grand concours pour voir qui allait manger le plus de ces mixtures. C’est un peu immonde, mais très drôle!
Et moi, ce que j’adore, c’est qu’il y a beaucoup de hippies. Ils organisent tous les ans en Avril un événement autour de l’anniversaire de Bourriquet (Eeyore’s birthday) ! Des milliers de gens se retrouvent, se déguisent, portent les oreilles de Bourriquet, l’âge de Winnie L’ourson. C’est un festival de musique, on peut y manger des produits locaux, et tous les bénéfices sont reversés à des organisations caritatives.
Gala: Où faites-vous donc votre shopping ici?
J.H.: Je vais souvent chez Uncommon Objects. Ils vendent des bibelots et des antiquités, toujours très bizarres. J’ai par exemple acheté un tatou empaillé, oui, je sais, c’est n’importe quoi! Je vais l’accrocher au mur! J’achète aussi beaucoup de « tramp art », des sculptures faites par des vagabonds dans les années 30. J’en fait la collection. J’ai aussi acheté une lampe dont le socle est une paire de bottes de cowboys. Cette boutique est une galerie d’art. D’art étrange, mais d’art.
Gala: Vous avez bien sûr une paire de bottes de cowboys?
J.H.: J’en ai huit paires! Bien sûr! J’en porte depuis que j’ai 8 ans, c’est normal ici. On les porte très tôt quand on vit à la campagne parce qu’il y a des serpents partout et huit espèces de serpents mortels. Et au-delà de ça, ici, on les porte pour le style, et parce que c’est pratique pour monter à cheval.
Gala: Qu’est-ce qui vous manque le plus quand vous n’êtes pas au Texas?
J.H.: Il y a plein de choses: le fait de regarder le ciel et de voir tant d’étoiles, il fait souvent très beau ici – en décembre dernier il faisait 18 degrés – et le ciel est souvent plus dégagé ici. Le fait de regarder au loin et de ne pas voir une seule maison à l’horizon, le fait de se retrouver au milieu de nulle part en peu de temps. On ne trouve pas ça facilement en Europe. C’est vraiment agréable d’avoir l’impression d’un contact proche avec la nature. Et j’adore les gens. Tout le monde est très tolérant ici. J’étais aussi très amie avec Ann Richards, qui était gouverneur au Texas jusqu’en 1995. Elle est décédée malheureusement en 2006. C’était une femme super, elle conduisait une Harley Davidson, son mari écrivait des pièces, j’ai pu rencontrer des gens supers, cultivés… Ils ne se prennent pas au sérieux, ils plaisantent tout le temps. La vie est courte, et ici, on sait en profiter!
Propos recueillis par Camille Choteau
Remerciements à British Airway, au Driskill Hotel d’Austin et à Austin Eats Food Tours (sur Instagram: @austineatsfoodtours )
Conchita Wurst a fait le bonheur des téléspectateurs et des jurés de l’Eurovision avec sa chanson Rise Like a Phoenix, qui lui a valu une victoire ce samedi. Une première place que personne ne conteste… mais qui ne plaît pas du tout à Christine Boutin. La tête de liste de Force Vie pour les élections européennes à venir lui dit « non ».
« Malaise devant Conchita Wurtz, image d’une société en perte de repères, niant la réalité de la nature humaine. Non à cette Europe-là. » Habituée des sorties intolérantes et insupportables, Christine Boutin n’a pas failli à sa réputation lors de la victoire de Conchita Wurst, le personnage scénique de femme à barbe créé par le chanteur Thomas Neuwirth.
Remontée, la femme politique n’a pas hésité à inclure son parti Force Vie dans sa déclaration, et à insister sur le mot « Europe ». Avec cette attaque postée sur Twitter pendant l’Eurovision, Christine Boutin souligne les idées qu’elle compte défendre en cas de victoire aux élections européennes, l’intolérance en tête. Le discours de Conchita Wurst était pourtant très clair: « Ce n’est pas seulement une victoire pour moi mais pour ceux qui croient en un avenir sans discrimination, fondé sur la tolérance et le respect. Cela transcende les frontières. » Un idéal bien éloigné du malaise dérangeant de Christine Boutin.
Chaque jour, notre chroniqueur ciné raconte son festival…
Qu’elle semble lointaine, l’époque où on reprochait à Cannes d’offrir des sélections de films mortifères, prise de chou ou à «trame narrative lente», comme on dit entre nous pour rire, tout en restant politiquement correct. La quinzaine qui nous attend regorge de variété. La sélection qu’a dessinée Thierry Frémaux, c’est le printemps du film de genre : western, polar, fantastique, guerre. Comme dans les bonnes vieilles vidéothèques. Comme souvent, il manquera au mieux une bonne comédie. Mais Woody Allen ne peut pas revenir chaque année. Pourtant, regardez bien, dans les interstices des premiers films présentés, l’humour est omniprésent. Même les plus graves a priori. Dans Timbuktu par exemple, où Abderrahmane Sissako l’utilise pour dire le ridicule provoqué par certaines exigences religieuses. Dans Party girl aussi, où le quotidien d’une vieille entraîneuse de cabaret, loin de se complaire dans le sordide, nous pousse, au contraire, à rire.
Vous avez toujours rêvé d’être tel Roger Federer sur les courts, élégant et prompt à jouer le coup parfait avec grâce ? C’est désormais presque possible, avec Google Glass ! Le tennisman a chaussé les fameuses lunettes connectées le temps d’un entraînement – idéal pour découvrir les sensations du champion.
Pas de repos pour Roger Federer : après la naissance de sa seconde paire de jumeaux, le mythe vivant du tennis est vite retourné sur les courts. Au passage, il a effectué une petite halte chez Google dans la Silicon Valley : là-bas, il a posé sur son nez les Google Glass, des lunettes équipées notamment d’une caméra. Idéal pour que le quatrième du classement ATP partage sa vision du sport qui l’a rendu célèbre.
La vidéo est un peu indigeste, tremblante, mais c’est un véritable plaisir de voir la raquette du joueur comme il la voit lui-même lors d’un match. Difficile de faire mieux côté immersion ; en quelques images on entre directement dans le jeu – ne manquent finalement que les sensations physiques pour avoir l’impression d’être devenu, ne serait-ce qu’un instant, Roger Federer. Google étendra peut-être cette bonne idée à d’autres sportifs ; pourquoi pas Novak Djokovic (qui deviendra lui aussi bientôt papa) ou David Beckham, le footballeur fan de basket ?
Fiancée depuis un an à Wladimir Klitschko, Hayden Panettiere est enceinte, selon les informations de US Weekly.
L’adolescente cheerleader de Heroes a bien grandi depuis l’arrêt de la série. Elle attend son premier enfant avec son fiancé Wladimir Klitschko. C’est un proche qui a annoncé la nouvelle au magazine US Weekly. Leur relation n’a pas toujours été de tout repos. Depuis leur rencontre en 2009, l’actrice de 24 ans et son boxeur chéri ont traversé plusieurs ruptures passagères avant de se retrouver définitivement au printemps 2013.
Dans une interview accordée à Glamour en 2013, la star de la série Nashville avouait son désir de fonder une famille le plus vite possible : “J’ai vécu beaucoup de choses pour mon âge. Je me sens plus vieille que je ne le suis et je sens que je suis née pour être mère.” Un vœu aujourd’hui exaucé. “La maternité est à la fois belle et excitante”, avait-elle ajouté.
Sur le plateau de la présentatrice Ellen DeGeneres, Hayden Panettiere imaginait même déjà à quoi ressemblerait sa progéniture, amusée. “Wladimir a les pieds arqués et moi les genoux qui se touchent. Je pense donc que mes enfants auront les jambes droites et une taille normale, ni trop grande ni trop petite.” Le juste milieu entre son 1,53 mètre et les presque 2 mètres du futur papa.
Interviewée par le magazine Fader, à quelques jours de la sortie de son nouvel album Ultraviolence, Lana Del Rey a réagi aux critiques féministes parfois faites à l’encontre de ses chansons ou de ses clips (on y voit souvent des hommes la tenir par la gorge) : pour elle, le féminisme est un concept sans intérêt.
Alors que Beyoncé, par exemple, prend le chemin du féminisme et défend cette position, Lana Del Rey a décidé d’emprunter une autre voie. La surprise musicale de 2011/2012 a en effet dévoilé que la lutte contre le patriarcat ne l’intéressait pas. “À mes yeux, le féminisme n’est pas un concept intéressant. Je suis plus intéressée par le voyage dans l’espace par exemple, par ce que l’on va faire avec toutes ces possibilités d’exploration intergalactique.”
La tête d’affiche du festival Rock en Seine en remet même une couche : « Quand des gens me parlent du féminisme ça m’agace, je me dis ‘Oh mon Dieu !’ C’est vraiment quelque chose qui ne m’intéresse pas du tout. » La chanteuse ne va toutefois pas aussi loin que Lily Allen, qui déclarait en mars estimer que « les femmes sont les ennemies des femmes » : Lana Del Rey a sa vision du féminisme, qu’elle oppose à celle qu’elle n’apprécie pas et qui l’agace.
« À mes yeux, explique-t-elle, une vraie féministe est une femme qui se sent assez libre pour faire absolument tout ce qu’elle veut. » Une définition proche de celle donnée il y a quelque temps par Katy Perry, peut-être un peu réductrice et occultant la portée plus globale du combat féministe.
Le Syndicat des Réalisateurs Américains a dévoilé ses nominations cinéma… Parmi les cinq réalisateurs en lice, Steven Spielberg, Ben Affleck et Kathryn Bigelow.
La saison des récompenses est officiellement lancée outre-Atlantique. Après les nominations aux SAG et PGA (voir notre article) que l’on vous annonçaient il y a quelques jours, c’est au tour du Syndicat de réalisateurs de dévoiler la liste de ses prétendants. Ben Affleck (Argo), Steven Spielberg (Lincoln), Kathryn Bigelow (Zero Dark Thirty), Tom Hooper (Les Misérables) et Ang Lee (L’ Odyssée de Pi) sont les cinq nommés de cette 65ème saison. Rappelons que les nominations aux DGA sont souvent un très bon indicateur pour les nominations aux Oscars. Nominations qui devraient tomber ce jeudi… La 65ème cérémonie des DGA se tiendra le 2 février prochain à Los Angeles. En attendant, découvrez la bande-annonce de Zero Dark Thirty, dans nos salles le 23 janvier prochain.
Peu connu en France, Bastian Baker jouit en Suisse d’une grande notoriété. Un statut qui lui offre aujourd’hui l’opportunité de rejoindre le club prisé des ambassadeurs de la marque Omega.
On n’est jamais mieux servit que par soit même. Chez Omega l’idée à fait son chemin. L’horloger suisse déjà fort d’une écurie d’ambassadeurs internationaux à fait appel pour sa nouvelle campagne à un représentant helvète. Bastien Baker née à Lausanne devient le nouveau visage (et poignet) des montres Omega.
La griffe s’est fait un plaisir d’officialiser la nouvelle sur son site internet avec photo à l’appui. On y découvre le jeune homme, vraisemblablement, assis sur une barque amarrée sur un calme lac suisse. Un cliché 100% helvète.
Le jeune chanteur de 23 ans peut être fier de cette collaboration. Il s’est d’ailleurs dit heureux “de représenter des valeurs communes d’engagement sur la qualité et l’ouverture sur le monde”. Bastian Baker rejoint effectivement un club international d’ambassadeurs, entre autre composé de Cindy Crawford, Nicole Kidman, George Clooney et Daniel Craig. Son statut de surperstar de la chanson en Suisse lui a permis d’atteindre ce prestigieux grade et son joli sourire à fait le reste du travail.
En France, Bastian Baker reste méconnu du grand public. Son passage éclair dans Danse avec les stars ne lui a pas permis d’asseoir son statut de Justin Bieber francophone, comme la production l’annonçait. Il a pourtant gagner en France une amie précieuse, elle aussi ambassadrice de charme: Marine Lorphelin, Miss France 2013.