Rayonnante dans la comédie 20 ans d’écart (le 6 mars en salles), la jeune femme de 35 ans s’autorise à aller là où ses désirs la mènent.
Gala: Alice, le personnage que vous incarnez dans 20 ans d’écart (ce mercredi en salles), a renoncé à ses rêves, à ce qu’elle est, pour se conformer à ce qu’on attend d’elle. Avez-vous dépendu du regard des autres?
Virginie Efira: Oui. Après l’adolescence, j’ai commencé à faire du théâtre en Belgique, de la télévision, je me suis mariée et on me disait «Sois toi!» Je trouvais ça absurde, parce que je ne savais pas très bien qui j’étais justement et probablement que ce n’était pas très intéressant. Alors je faisais ce qu’on me demandait de faire, j’allais là où on me disait que j’avais de la valeur. Et puis, il y a eu un déclic, j’ai compris que pour être heureuse, il fallait renoncer à être quelqu’un d’exceptionnel, faire simplement avec ce que l’on est. J’ai décidé d’être un tout petit peu à l’écoute de soi. (…)
Gala: Et cela vous a amené à «essayer la maternité», comme vous dites?
V. E. : Au début, j’étais beaucoup dans une certaine mise à distance –d’où cette expression – mais au fur à mesure des semaines, je perds totalement cette ironie-là. Il y a quelque chose d’infiniment heureux qui s’est installé. Cela peut paraître très prétentieux de dire ça, mais c’est comme si avant je me sentais minuscule, et là, je me sens très grande! (Elle sourit) Vous savez, quand je parle de la maternité, ça me renvoie à un sketch de Florence Foresti ou à toutes ces unes de magazine du genre «Maman, mon plus beau rôle», je m’entends parler et j’ai envie de me censurer à chaque fois!
(…)
La suite de cette interview exclusive dans Gala, ce mercredi en kiosque.
Après Fort Boyard sur France 2 en 2009, Eva Longoria participe à nouveau à une émission française, cette fois-ci sur D8.
Ça sent le record d’audience pour le magazine. Avec comme invitée Eva Longoria, l’ex-Gabrielle Solis, le Grand 8, l’émission girl power de D8 risque de faire un joli score ce lundi 13 mai à 10h55.
Laurence Ferrari, Roselyne Bachelot, Audrey Pulvar, Hapsatou et Elisabeth Bost vont pouvoir jouer les Desperate Housewives avec l’ex de Tony Parker. La présence inattendue de la star? Le Global Gift Gala qui revient à Paris pour sa quatrième édition, milite pour la place des enfants et des femmes dans le monde en termes d’éducation et d’entreprenariat. L’actrice a choisi l’association Gregory Lemarchal et The Great Initiative (une fondation pour le droit des femmes) pour reverser une partie des fonds récoltés.
S’il est de notoriété publique que les stars américaines ont leurs petits caprices et leurs exigences, ce n’est apparemment pas le cas de la brunette. Laurence Ferrari a ainsi confié au magazine Télé Loisirs que l’actrice n’avait eu aucune exigence particulière si ce n’est de pouvoir parler de ses engagements caritatifs. Les quatre animatrices espèrent pouvoir la faire parler de son après Desperate Housewives, de ses projets et de cuisine puisqu’elle adore ça.
Espérons que ces confidences entre filles donneront lieu à quelques infos croustillantes, sur sa relation amoureuse par exemple!
Neuf ans de mariage et toujours pas une once d’hésitation. Gwyneth Paltrow est une femme comblée aux côtés de Chris Martin, son chanteur de mari. A 40 ans d’ailleurs elle estime que l’épouser a été sans doute la meilleure décision de sa vie
Elle est Américaine, il est Anglais, ensemble et avec leurs 2 enfants ils vivent une belle histoire entre Londres et Los Angeles, à l’abri des regards indiscrets. Très fière de leur réussite Gwyneth Paltrow évoque par moment des « tempéraments artistiques » difficiles à accorder mais ne changerait pour rien au monde sa situation maritale. Avec Chris, leader des Coldplay, elle explique au magazine Good Housekeeping (en français bonne ménagère) qu’elle a pris la « meilleure décision de sa vie » en lui passant la bague au doigt. Un bonheur qu’elle cultive depuis 9 ans, et qui a vu naître deux enfants Apple et Moses.
Et comme tous les autres couples, monsieur et madame Martin bossent dur pour y arriver. « Peu importe ce qui se passe dans notre mariage, j’ai choisi le meilleur père » a-t-elle confié il y a peu. Ses enfants sont sa « meilleure réalisation » et elle est chaque jour un peu plus bluffée par leurs progrès. Dans les colonnes du magazine américain, l’ex de Brad Pitt se réjouit: « Je suis vraiment chanceuse d’avoir deux enfants en bonne santé, et j’aime les élever et regarder ces êtres humains étonnants commencer à se révéler et à être eux-mêmes ». Dans son grand projet éducatif –qu’elle détaille souvent sur son blog perso Goop– Gwyneth sait qu’elle peut compter sur la présence de Chris pour chérir sa famille. Répondant aux questions de son interview, elle se prend à rêver: « [Un samedi idéal serait] de dormir tard et puis d’avoir un jour vraiment tranquille en famille, cuisiner, rire et passer le temps ».
Une déclaration publique que l’interprète de Fix you a sans doute apprécié. Par média interposé, le musicien assure toujours que sa rencontre avec l’actrice oscarisée a été comme « gagner la loterie ». Un « pas de géant » pour le « loser » qu’il était, évoque-t-il. L’héroïne de Shakespeare in Love a vraisemblablement touché le gros lot. Une fierté qu’elle affiche jusqu’au bout de son sac. Pour la traditionnelle fête du 4 juillet, jour férié dans son pays d’origine, celle qui a été élue plus belle femme du monde flânait dans les rues de Londres avec un cabas brodé à ses initiales. Sur la toile, on peut lire très distinctement GPM, pour Gwyneth Paltrow Martin. Idéal pour faire du shopping avec sa tribu.
Europe’s concessions to David Cameron over his proposal to curb migrants’ benefits are “not yet strong enough,” the British prime minister said Friday in an interview with the BBC.
Cameron is in Brussels to meet European Commission President Jean-Claude Juncker as the two try to break the impasse over the prime minister’s attempt to renegotiate the terms of Britain’s membership in the bloc. Cameron was scheduled to meet with European Parliament President Martin Schulz later Friday, and with European Council President Donald Tusk on Sunday.
Legal teams from Europe and the U.K. have discussed using an “emergency brake” to allow a four-year ban on migrants claiming certain benefits if the U.K. proved its public services were strained due to migration.
Cameron also told BBC Radio Scotland that Brussels was proposing something “totally different” to previous offers.
“There is going to be a lot of hard talking but it is encouraging that what I was previously told was impossible is now looking like it is possible,” Cameron said.
Conservative MP John Redwood, who favors a Brexit from the EU in the upcoming referendum, told the BBC Friday that the “emergency brake” idea was “an insult to the U.K. and not a serious offer.”
As revealing as Günther Oettinger’s recent ruminations on race and sex may have been about his worldview, even more telling was the European Commission’s reaction to them.
Asked during a press briefing last week about the speech during which Oettinger characterized the Chinese as “hustlers” and “slant-eyes” (Schlitzohren und Schlitzaugen, in German) and made cracks about Walloons, gay marriage and professional women, Juncker spokesman Margaritis Schinas said the Commission had no comment. He referred reporters to what he called the “rather detailed” explanation the commissioner had provided to Germany’s Die Welt a few days previously.
In fact, Oettinger’s explanations were far from detailed, amounting to a mealy-mouthed defense of language that was clearly beyond the pale. He told the newspaper he had been speaking loosely and using “slang.” What he didn’t do was apologize.
“I think we have to listen to what Günther Oettinger has to say,” Schinas told reporters, adding he didn’t want to make any “value judgements.” “I cannot say anything else. That’s what there is.”
In most corners of the democratic world, a senior politician caught on video using racial stereotypes would merit some sort of official response. A government might defend, reject or even apologize for the remarks in an effort to “get ahead of the story.”
Not so in Brussels.
The European Commission, a political body that claims to represent the interests of more than 500 million European citizens across 28 countries, responded to racist comments of one of its most senior members by simply saying nothing.
Welcome to Jean-Claude Juncker’s no-spin zone.
Under pressure
Instead of transparency, accountability or even a desire to obfuscate, the Commission’s communication is driven by simple paralysis. The multipolar crises it has faced of late have taken a heavy toll. Instead of dealing with Oettinger in short order by undertaking the obvious — either firing him or forcing an immediate apology — the Commission seized up.
If Schinas thought he could get away with dodging the question, he was wrong. The Brussels press corps would have none of it. Another reporter followed up.
“I would like to know if President Juncker is in control … Is Mr. Juncker in charge?” the reporter asked.
Schinas’ curt response: “Yes.”
In the end, the only revealing piece of information Schinas divulged proved damning: Despite the uproar over Oettinger’s remarks, Juncker hadn’t even discussed the matter with his commissioner.
That didn’t last for long. By Juncker’s own telling, he sat down with Oettinger mid-week to reprimand him. He said he told the German commissioner, whom he’d just promoted, to apologize and refrain from commenting on issues outside his core area of responsibility.
Oettinger complied with the first part, at least, issuing a written apology on Thursday.
Oettinger, a regular presence in German media, has ignored the admonition not to stray beyond his brief as digital commissioner, however. Over the weekend he injected himself into the debate over Germany’s planned highway toll, telling a German newspaper he stood ready to help defend it against lawsuits in the European courts.
It’s no secret that Juncker’s Commission is under pressure. From the near collapse of the CETA trade deal with Canada and the refugee crisis to Brexit, it has had little to celebrate of late.
‘Small saint’
The resignation the week before last of Commission Vice President Kristalina Georgieva added to the gloom. Georgieva, who is headed for the World Bank, had complained for months to colleagues and others about the machinations inside the Commission. That the respected economist regards solving world hunger as a more viable project than the EU should be cause for alarm, one Brussels wag said.
As the Oettinger episode illustrated, the Commission has adopted a stone-faced attitude to bad news.
That reaction has hardened the impression in Brussels and beyond that the Juncker’s Commission suffers a bunker mentality and has lost touch. Indeed, in his recent public statements Juncker has alternated between between false modesty and delusions of grandeur.
“When I see how I’m described, I don’t recognize myself anymore,” Juncker told Austria’s Der Standard in a recent interview. “I’m presented as a powerful man in Europe. But I have the feeling, I’m just a small saint in a big church.”
Asked if he felt like Sisyphus, Juncker replied: “No, Sisyphus never brought a stone to the top. I’ve taken many stones up the mountain.”
Tough talks ahead as MEPs and EU states seek to bridge budget gap.
MEPs and member countries meet for talks on the EU’s 2016 budget on Friday, hoping to bridge a gap between their positions of more than €4 billion.
The two sides have until November 18 to strike a deal. If they fail, it’s back to the drawing board with the European Commission asked to draw up a new proposal as the basis for negotiations.
Europe’s migration crisis has become a controversial issue in the talks. The EU has drawn up grand plans at a series of summits on migration this year; plans that they will have to pay for.
Every year, the EU puts aside money from cartel fines and custom duties, and uses it to reduce the contributions that member countries have to make to the EU budget. That amounts to €2.3 billion this year and MEPs on Wednesday called on member countries to earmark that cash for helping refugees from Syria and Africa.
That money “would enable us to build a better future in those countries and prevent wars,” said Portuguese conservative José Manuel Fernandes, one of the MEPs leading the budget talks.
But there is no guarantee that member countries will follow the Parliament’s advice. “We took notes of the Parliament’s claim,” said a diplomat from Luxembourg, which holds the rotating presidency of the Council of Ministers, adding that transferring that money directly to helping refugees is not possible under EU budget rules.
The Council is playing hardball on the budget, at least in part because of frustration that the Parliament is not doing enough to cut staff. All EU institutions agreed in 2013 to reduce staff numbers by 5 percent by 2017, but the Parliament intends to increase the number of civil servants and contractors by 5.4 percent.
The Parliament is cutting staff in its secretariats, but is increasing the number of political advisers and staffers working for the political groups — almost all of whom are paid out of the Parliament’s budget. The decision to increase staff numbers was backed by the two largest groups, the European People’s Party and the Socialists and Democrats.
Another strain on finances is the Parliament’s newest group, the far-right Europe of Nations and Freedom, which took €3 million from the coffers.
The “obsession of MEPs to increase staff weakens their position [in the budget talks],” said a diplomatic source.
There is a vast gulf between the two sides over the size of the budget — a gap of €4.2 billion. The total budget will be in the region of €145 billion.
Another split is over the so-called Juncker Plan — officially the European Fund for Strategic Investments — which aims to raise €315 billion in mostly private sector cash over the next three years to boost projects in energy, infrastructure, research and technology.
To attract private investors, part of that money is to be diverted from planned research and infrastructure projects. Although MEPs reluctantly approved the idea in June, the official position of the Parliament is to restore the money to its original position.
This article was updated to correct the nationality of MEP José Manuel Fernandes, who is Portuguese.
Functionaries try to keep functioning amid Brussels terror threat.
Much of central Brussels was quiet Monday as many residents of the city remained at home during a third day under Belgium’s highest-level terror alert.
But the European Parliament in Strasbourg was the scene of travel chaos Monday afternoon as MEPs and their assistants arrived from around Europe and some 3,000 people in total attempted to gain entry for this week’s plenary session amid heightened security measures.
Kaja Kallas, an Estonian liberal MEP, tweeted “Welcome to Strasbourg! Goodbye Schengen” in disgust at the way the throng was being dealt with at the Parliament’s secure entry points.
The scenes resembled an earlier crush Monday morning at the main Brussels train station, Gare du Midi, where hundreds of MEPs were crammed on a platform attempting to board a chartered Thalys train that whisks them directly to Strasbourg for monthly Parliament plenary sessions.
Known as “the gravy train,” the special Thalys, like many other train services this morning, was delayed. This created huge crowds of VIPs on the platform on a day when Belgian authorities and many European national governments warned people to stay away from crowded public places.
“The situation seemed surreal, if not dangerous,” a parliamentary assistant told POLITICO. “It’s clear the situation was not handled well … and that the authorities in the European Parliament had absolutely not prepared for the situation. There was a complete lack of appreciation for the seriousness of the situation.”
Belgian cameraman Daniel Demoustier, who filmed the scenes, described them as “total chaos” on Twitter.
Less than four kilometers away in the city’s “European Quarter,” where the main EU institutions are based, official Brussels tried to keep functioning as normal — except for the armored vehicles on the streets and armed guards outside buildings.
Zealous security measures also provoked a backlash in the Parliament’s Brussels building, which has for months run a tighter security regime than the other EU institutions, including passport checks even for Parliament badge-holders such as journalists. Today the searches went much further.
One European Parliament official said security guards searched his car, looking in the trunk and under the vehicle with mirrors, and then shining a light into the car interior. “It very much reminded me of going into the GDR many years ago,” he said.
The European Commission, Parliament, Council of Ministers were all working, and most surrounding shops and cafés remained open to cater to staffers. However, the Brussels Metro and European Schools — to which many Eurocrats send their children — were closed, forcing some to work from home.
A spokeswoman for the Commission said most of the institution’s staff were “working normally” Monday. The spokeswoman said about 20 percent of Commission staff were working from home “given the circumstances,” adding that that this figure is usually around 5 percent.
Commission Vice President Kristalina Georgieva, in charge of administrative matters for the institution, notified officials and support staff that security measures had been increased, and some large EU-organized events scheduled to be held outside official premises, such as conferences, were canceled.
But elsewhere, “it’s really business as usual,” said one civil servant who was working to prepare Monday’s Eurogroup meeting of eurozone finance ministers. “Almost everybody is at work.”
“I have not felt anything, or seen anything particularly different,” said Council spokersperson Jüri Laas, who like many people in Brussels cycles to work and so was not affected by the Metro shutdown.“People are more struggling with crèches and schools closed.”
Torben Hoffeldt, a senior counselor at the Council, tweeted however that he is “One of the few persons working in Justus [Lipsius, the institution’s headquarters building] today.”
Commission staff were encouraged to use teleworking as much as possible, a move that generated mixed reactions.
One Commission official who asked to remain anonymous said that there were “few possibilities for flexi-working arrangements for people without kids and we don’t seem to see reinforced security in front of the Berlaymont.”
European Commission spokesman Margaritis Schinas told the press corps Monday that Belgian authorities said there was no specific risk against the European institutions.
“We will continue to work in calm and in serenity,” he said.
While the EU remained mostly open for business, many Brussels lobbying firms and embassies reported they were operating on a skeleton staff.
“Fifteen percent who are supposed to be here are here,” said a security guard manning the phones at the British embassy, because so few people had showed up to work. He explained he didn’t have the clearance to use embassy computers to look up contact details, so most calls to the embassy would go straight to voicemail.
One Commission official summed up the mood: “We keep business as usual and this is what needs to be done, keep living normally.”
La future destination du clan Beckham est liée au club que choisira le footballeur pour choisir sa carrière. L’année dernière, les rumeurs avaient été très insistantes concernant une éventuelle venue à Paris. Ces derniers jours, Monaco semblait avoir les faveurs du joueur anglais. Mais ce n’est finalement pas au club de la principauté que Beck signera.
“I’m moving to London for ever today”. («Je pars à Londres pour toujours aujourd’hui».)
Posté début décembre, ce tweet de Brooklyn Beckham (13 ans) est sans doute le plus sérieux indice de la future destination de sa famille. David, Victoria, et leurs 4 enfants (Brooklyn, Roméo, Cruz David, et Harper Seven) ont semble-t-il envie de retourner vivre outre-manche. Très sollicité aux quatre coins du globe (en Chine, au Moyen-Orient, en Australie ou à Monaco), le Spice Boy élimine les pistes les unes après les autres. Mi-décembre, on apprenait qu’il n’était plus intéressé par l’Australie. «J’ai eu la chance de discuter avec David et de lui demander s’il venait en Australie, confiait au site de la fédération australienne son ami propriétaire du club de Perth Glory. Il m’a regardé droit dans les yeux et m’a répondu, en toute simplicité : « Ça aurait pu être sympa, mais c’est trop loin de mes affaires ». Ça aurait été fabuleux de le recruter à Perth, mais il faut être réaliste: ça n’arrivera pas.» L’autre club qui tenait bien la corde, Monaco, n’est plus d’actualité. «Malgré un intérêt réciproque et l’envie d’avancer ensemble, les deux parties ne sont pas parvenues à trouver un accord sur les conditions, très complexes, de sa venue» explique le quotidien Nice Matin dans son édition du jour. Les pistes s’amenuisent donc mais on sait que Victoria, qui milite pour un retour à Londres, a été aperçue à plusieurs reprises visitant des résidences aux alentours de la capitale anglaise. Pisté par les clubs anglais des des Queens Park Rangers ou de Tottenham, David pourrait donc faire plaisir à son fils aîné et à toute sa famille en revenant définitivement en Angleterre, près de dix ans après son départ de Manchester.
Invitée dans le Grand Direct des Médias ce matin sur Europe 1, l’animatrice de D&co a fait le point sur ses projets professionnel.
“#Rentrée #malade #angine MERDEUUUUUUHHH!!!”
Au vu de son dernier tweet posté il y a quelques heures, ce n’est pas au meilleur de sa forme que Valérie Damidot s’est rendue dans l’émission de Jean-Marc Morandini ce matin. Son avenir à M6 y est aussi sans doute pour quelque chose. Depuis près de sept ans, la pétillante animatrice présente D&co sur la chaîne de Nicolas de Tavernost.Problème, l’émission a vu son exposition réduite depuis la rentrée dernière suite au prolongement de 66 minutes, le magazine présenté par Xavier de Moulins. “Je ne sens pas qu’on va continuer pendant encore sept ans à faire des émissions hebdomadaires, je sens qu’on est à la dernière année, analyse l’animatrice connue pour son franc-parler. Je pense qu’on a trop bougé, trop usé l’émission hebdomadaire. (…) C’est tellement crevant, tellement usant mais j’aime faire plaisir aux gens. Je me suis fait une famille depuis sept ans avec mon équipe. Si ça s’arrête, je vais avoir de la peine. Je suis hyper fidèle, hyper droite. Je suis fatiguée et je suis usée je crois. C’est compliqué la télé, voilà. Je dois mettre trop d’affect dans ce genre de truc. Je devrais en mettre un peu moins.” Bonne nouvelle cependant pour la célèbre maroufleuse du PAF, elle a confié être en négociations avec la chaîne Téva pour une nouvelle émission.
La rupture était évoquée depuis quelques mois déjà, mais aujourd’hui c’est officiel. Carla Bruni-Sarkozy et Naïve c’est fini. Alors que l’ex-première dame s’apprête à sortir un nouvel album, les deux parties ont mis un terme à dix ans de vie commune.
C’est l’heure des grands changements pour Carla Bruni-Sarkozy. Un peu plus de huit mois après avoir quitté l’Elysée et abandonné ses tailleurs de première dame, l’ancien mannequin tourne une nouvelle page de sa vie en se séparant de sa maison de disque, Naïve. Un label qui lui avait pourtant porté chance, notamment en 2002 pour la sortie de Quelqu’un m’a dit, un album qui s’est vendu à près de deux millions d’exemplaires.
Pour son nouveau disque, qui devrait s’intituler Little french songs et paraître au printemps, Carla Bruni a en effet signé chez Barclays, label appartenant à Universal Music. Selon Challenges, l’information est officielle, le contrat a été signé le 22 janvier, mais aucun autre détail n’a filtré sur les termes convenus entre les deux parties. La rumeur d’un départ de chez Naïve courrait depuis septembre dernier, mais son patron, Patrick Zelnick, avait affirmé vouloir continuer à collaborer avec elle, peu importe les résultats décevants des deux derniers albums. «Je n’avais pas prévu que cette grande artiste allait tomber amoureuse du président de la République» expliquait-il.
Aujourd’hui, Carla Bruni n’est plus amoureuse du président de la République, uniquement de Nicolas Sarkozy, mais elle a malgré tout souhaité changer de maison de disques, un geste fort pour un artiste. Selon un proche de la chanteuse, «Carla quitte Naïve en excellents termes, elle considère que la rencontre avec Patrick Zelnick a été un conte de fées, mais comme ce fut le cas pour elle dans la mode, elle est capable de collaborer aussi bien avec des petites maisons qu’avec des multinationales».
Selon Challenges, Carla Bruni aurait besoin de la force de frappe et des équipes marketing d’Universal pour se repositionner sur le marché musical. Premier casse-tête pour la nouvelle maison de disque: faudra-t-il laisser sur la pochette de l’album le nom de Sarkozy accolé à celui de Carla Bruni?