Vous ne jurez que par le monde édulcoré de la poupée Barbie? Un monde rose et féminin, aux poupées parfaites et tout sourire, qui roulent dans des voitures de sport aux côtés de leurs Ken gominés? Vous allez adorer la dernière folie de Mattel: un café-restaurant entièrement dédié à la poupée.

Rendez-vous à Taïwan pour découvrir la nouvelle lubie du géant Mattel. Pour la première fois, l’entreprise dédie un espace de restauration à sa cultissime poupée blonde: le Barbie Café. Un lieu qui respire la poupée Barbie entièrement décoré de rose, où des portraits de la blonde format XXL ornent les murs comme autant d’autels dédiés à la divinité de plastique. Situé à Taipei, capitale taïwanaise, au cœur d’un centre commercial très fréquenté, ce nouveau lieu de la hype kawai va servir à promouvoir Barbie en tant que marque… de mode!

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Car là-bas, tout n’est qu’offrandes pour Barbie, et/ou coups de cœur pour ses fans. Les employées du lieu sont vêtues de rose bonbon de la tête aux pieds, avec leur t-shirt flocké d’un B qui veut dire Barbie. Tiare, top, et même tutu, le jouet de notre enfance se mue en marque mode. Et Taïwan n’a pas été choisi par hasard pour y installer ce lieu inédit: «Nous avons choisi Taïwan parce que les restaurants à thème y sont très populaires, confie Iggy Yip, manager senior de la marque en Chine. Nous sommes très confiants sur le fait que le café Barbie va promouvoir notre image de marque.» Il faut dire que la poupée Barbie est une vraie rock star en Chine, et que Mattel espère bien y attirer des fans du reste de la Chine, du Japon ou encore de Hong-Kong. Côté restauration, les curieux pourront se repaître de nourriture sucrée et rose, exclusivement.

Le Barbie Café ne remporte cependant pas tous les suffrages. De nombreuses féministes – qui mènent un combat de longue haleine contre cette poupée – sont scandalisées par cette énième folie. «Je ne peux pas imaginer quelque chose de plus nauséabond qu’un restaurant à Thème Barbie», fulmine Rhiannon Williams, éditrice du site féministe The Vagenda Magazine qui dénonce un modèle féminin dépassé. Mais prenons les choses avec légèreté: une boutique-spa-café avait déjà ouvert ses portes à Shanghai en 2009, pour mieux fermer deux ans après.

Pour ses premiers pas sur le réseau social de photographie, Instagram, Madonna nous plonge dans son intimité. Des clichés un peu gênants…

Elle n’a rien perdu de son sens de la provocation. Madonna, 54 ans, se renouvelle dans son propre domaine. L’interprète de Like a Virginmontre tout, désormais sur Instagram.

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Abonnée au réseau social depuis à peine quelques heures, la diva nous a déjà fait partager deux photos surprenantes. Dimanche, alors que l’on s’attendait peut-être à la voir en pleine activité de mère de famille, Madonna, toute frangée, a préféré prendre la pose, un cocktail au bord des lèvres. Une photo accompagnée du commentaire suivant «À votre santé motherfuckers! Je suis sur Instagram». Une arrivée très remarquée sur le site de micro-blogging…

Les fans de la star peuvent s’accrocher. Après Madonna au bistrot, Mado toute en eau. Sur son second cliché intime, la chanteuse apparaît en sueur, visiblement ravie de sa dernière séance de sport. La encore, elle commente: «addict à la sueur»…

Une Madonna transpirante qui déroute les fans de l’icône. Les commentaires s’étonnant de cette «drôle de photo» se suivent. Après le retour du soutien-gorge à pointe, ses provocations envers le FN ou plus récemment ses insultes adressées à son public chilien, la star ne sait plus quoi inventer pour se faire remarquer.

Aujourd’hui, Jean-Pierre Pernaut souffle les bougies du 25e anniversaire de son JT de 13h. Une longévité record pour un journal dont le succès ne faiblit pas malgré les nombreuses critiques et railleries dont il est l’objet. JPP reprenait à l’époque le siège d’Yves Mourousi qui lui aussi a marqué de son empreinte le rendez-vous d’information de la mi-journée.

6,3 millions de téléspectateurs, 45,3% de parts de marché, 25 ans, un 13h… voilà les chiffres de la vie de Jean-Pierre Pernaut qui n’a pas besoin de les jouer au Loto pour rafler la mise. Le jackpot, il l’a déjà touché avec le succès incroyable de son journal de la mi-journée. Incroyable par sa constance et les sommets d’audience qu’il atteint semaine après semaine. Depuis 25 ans, JPP trace sa route aux commandes du JT de 13h de TF1, sans se soucier des moqueries et autres critiques dont il est l’objet depuis ce quart de siècle.

Populaire, voire populiste, est le terme qui revient le plus souvent pour qualifier un rendez-vous d’information qui s’intéresse davantage aux préoccupations quotidiennes de ses téléspectateurs qu’à l’actualité internationale. Mais à force de reportages sur les fabricants de pipes, les sonneurs de cloches ou autres métiers rares, le journal de Jean-Pierre Pernaut a conquis un large public, celui de la France profonde, loin des élites parisiennes.

Le 22 février 1988, le journaliste prenait la suite d’Yves Mourousi, dans un style totalement différent de son prédécesseur, adepte des coups d’éclats et des mises en scène. Aujourd’hui, JPP a 62 ans, son journal 25 et leur belle histoire commune ne semble pas près de s’arrêter.

Et si Diego Maradona signait à Montpellier? Ce qui était une information complètement improbable ces dernières heures s’avèrerait de plus en plus crédible. Diego serait en effet apte à discuter d’un contrat avec le club français.

« Pour emmerder le PSG, j’ai envie de faire venir Diego Maradona. Avec lui, on fait la une de tous les journaux ! J’y ai pensé oui, mais je ne le vois pas entraîner Montpellier. Je n’ai pas les moyens des Qataris pour le faire venir ». Lundi dernier, sur l’antenne de RMC, le président de Montpellier Louis Nicollin, faisait une boutade qui, a pris en l’espace de quelques heures une tout autre tournure.

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Énervé par le traitement médiatique réservé au PSG et à ses joueurs vedettes (David Beckham, Zlatan Ibrahimovic), l’homme fort de Montpellier a semble-t-il trouvé la parade pour que l’on parle de son club au budget presque dix fois moins important que celui de l’équipe de la capitale (33 millions contre 300 millions d’euros).

Maradona à Montpellier? C’est fort possible selon Youssef Haijoub, directeur de l’agence de marketing sportif et d’organisation d’événements SGM qui gère les droits d’image de Maradona en France. « Diego nous a dit ce matin qu’il était d’accord pour discuter avec Montpellier d’une éventuelle proposition à la durée et l’envie du club. Maradona aujourd’hui veut du concret, il veut entraîner, c’est un guerrier. Il veut venir à Montpellier », a expliqué hier soir l’agent à l’AFP et Infosport+.

Youssef Haijoub qui estime à 75% la probabilité pour que le transfert se fasse s’est même montré plus précis. « La proposition a été envoyée par fax, a-t-il ajouté. Il n’y aura pas de grand problème parce qu’il y a des sponsors qui sont derrière, il y aura un budget qui va être mis en place. On va discuter, dans les prochains jours il y aura peut être un rendez-vous entre Diego Maradona et le président de Montpellier pour tout définir et pourquoi pas voir Maradona l’année prochaine à Montpellier. »

Pas peu fier de son coup médiatique, « Loulou » Nicollin, lucide, n’est néanmoins pas décidé à se plier aux exigences de la star du football argentin, récemment papa pour la cinquième fois. Ce ne sera pas possible à moins qu’il vienne comme Beckham et qu’il reverse l’intégralité de son salaire, nuance-t-il. S’il demande le minimum d’un entraîneur de L1 (30 000€), je signe demain matin. Même s’il veut une villa et une voiture avec chauffeur, il n’y a aucun problème. Un entraîneur à 100 000€ ? Si je fais ça, je ne m’appelle plus Nicollin”.

Alors Diego qui était encore il y a peu l’entraîneur le mieux payé au monde (avec un salaire mirobolant de 12 M€ par an offert par le club de Al Wasl) est il prêt à avoir un salaire 35 fois moins important par amour du jeu? La balle est dans son camp!

Elle avait interprété son rôle au cinéma dans La Dame de Fer, qui lui avait valu un Oscar, Meryl Streep a réagi à la disparition de Margaret Thatcher dans les colonnes du quotidien anglais Daily Mail. Elle a salué une femme d’honneur, de courage et de conviction qui a fait beaucoup pour les femmes.

«Je tiens à exprimer mes condoléances respectueuses à sa famille et ses nombreux amis» a déclaré l’actrice américaine Meryl Streep à l’annonce du décès de Margaret Thatcher. Hier, l’ancien chef du gouvernement britannique a succombé à une attaque à l’age de 87 ans alors qu’elle souffrait depuis plusieurs années de la maladie Alzheimer. Depuis, au Royaume-Uni, l’opinion publique est encore partagée sur la question de son héritage. Seules quelques déclarations publiques –dont celles de la Reine Elizabeth et du Premier Ministre David Cameron– ont encensé la femme politique qui croule toujours sous les critiques, 20 ans après une fin de mandat tragique, entaché par un bilan social controversé.

Mais à l’heure des funérailles de la baronne, Meryl Streep veut dépasser les clivages. Pour elle, Maggie était avant tout «une pionnière, volontairement ou involontairement, pour le rôle des femmes dans la vie politique». L’héroïne de Mamma Mia veut rendre hommage à son courage et sa fermeté et saluer une femme qui a gagné son statut «non pas parce qu’elle avait hérité d’un poste, en tant que fille de ou veuve de, mais par la force de ses propres efforts».

Première de la classe dans une autre catégorie, la propriétaire de 3 Oscars reconnaît à la Tory un parcours politique admirable: «Etre parvenue, légitimement, dans les rangs de la politique britannique – un système de classe sexiste à l’époque – comme elle l’a fait et avec la façon dont elle l’a fait, est une réussite formidable». Une prouesse qui mérite les honneurs ne serait-ce que pour avoir donné «aux femmes et aux jeunes filles partout dans le monde une raison de supplanter leurs fantasmes de princesses avec un rêve différent».

Souvent perçue comme une femme glaciale qui n’acceptait pas les compromis, Margaret Thatcher soulève encore aujourd’hui les critiques du monde ouvrier. A ses détracteurs Meryl Streep a souhaité répondre que la chef de file du parti Conservateur «inspirait la crainte par sa force personnelle et de marbre». Un sang froid qui lui a permis de survivre aux attaques tout au long de sa carrière. «Avoir résisté à la haine et au ridicule – inédit à mon avis – qu’on lui portait alors qu’elle n’était pas un meurtrier de masse, et avoir réussi à garder ses convictions, ses idéaux et ses idées – qui semblent aujourd’hui erronées – sans corruption, je vois cela comme la preuve d’une sorte de grandeur» a assuré sa cadette de 24 ans.

Pour ultime épitaphe, l’interprète de La Dame de fer a aussi dit de Lady Thatcher: «C’est difficile d’imaginer la part de notre histoire contemporaine qui n’a pas été affectée par les mesures qu’elle a développées au Royaume-Uni à la fin du 20ème siècle».

Invitée du Petit Journal de Canal + en début de semaine, Catherine Deneuve a laissé entre qu’elle était perplexe face à l’adoption du mariage pour tous. Une position inattendue.

Elle est une icône intergénérationelle, autant adorée par les hommes que par les femmes, mais si Catherine Deneuve fait l’unanimité par son talent, ses prises de positions risquent aujourd’hui d’entacher son aura. D’habitude discrète sur ses attachements politiques, l’actrice a voulu, lundi soir faire entendre son opinion. A Yann Barthes qui l’interrogeait au sujet du mariage pour tous elle s’est dit « perplexe ». Catherine Deneuve aurait préféré « qu’on améliore beaucoup le pacs et qu’on favorise l’adoption ».

Mais ça n’est pas tant sur le projet de loi de Christine Taubira que l’héroïne de Jacques Demy s’interroge. Catherine Deneuve trouve « bizarre » de savoir que des homosexuels souhaitent tant se marier. Selon elle toujours, « a notre époque on se marie beaucoup et on divorce beaucoup ». L’ouverture au mariage pour tous qui engagera inévitablement des divorce risque donc de rentre, pour la comédienne, la situation « effrayante ».
La recrudescence « d’enfants de divorcés » semble être le point principale de la réflexion de l’actrice.

Les réactions aux propos de Catherine Deneuve ne se sont pas faites attendre. Les leader de la Manif pour tous ont salué sur Twitter la prise de position de la star et son « refus de céder à la pensée unique ». Quant à l’historien Giuseppe di Bella, favorable au mariage pour tous, il s’est exprimé dans un post ouvert à Catherine Deneuve pour lui redire « l’importance d’avoir cette liberté fondamentale qui (nous) a toujours été interdite ».

Premier film de et avec Louis-Do de Lencquesaing, “Au Galop” est une chronique familiale drôle et subtile. Rencontre avec le réalisateur et son actrice Marthe Keller, qui n’a pas sa langue dans sa poche…

Louis-Do de Lencquesaing et son actrice Marthe Keller nous parlent d’Au galop et de leur relation mouvementée. On y apprend en effet que l’actrice a d’abord refusé le rôle parce qu’elle ne supportait pas l’attitude du réalisateur…

Voir notre interview :

Après cinq albums studio, Jenifer revient à ses premières amours. Cette ancienne candidate de la Star Academy fait un bond dans le passé et sort Ma déclaration, une compilation des succès de France Gall.

Elle s’est accordé une petite pause dans son boulot de jurée de The Voice aux côtés de Garou, Louis Bertignac et Florent Pagny, mais Jenifer n’est jamais vraiment loin d’un micro. La chanteuse de 30 ans avait sorti son dernier album – L’Amour et moi – en 2012. Elle revient donner de la voix le 3 juin prochain sur Ma déclaration, un opus hommage à France Gall.

Pour en assurer la promotion, la Niçoise a déjà mis en écoute deux titres sur la toile. Il s’agit de Si maman si et de Résiste. Demain, les fans pourront aussi écouter La déclaration d’amour sur son site officiel, la célèbre ballade composée par Michel Berger. Plus que quelques semaines avant de découvrir le reste de la sélection. En attendant, on sait que le premier extrait n’est autre que Poupée de cire poupée de son. La chanson populaire plaira sans doute aux jeunes et aux moins jeunes groupies de Jenifer. Composée par Serge Gainsbourg en 1965, elle avait remporté le Concours de l’Eurovision la même année, sous les couleurs du Luxembourg.

En dix ans de carrière, Jenifer s’est imposée comme la chouchoute du public français, ses apparitions à la télévision sont suivies de près et ses albums se vendent comme des petits pains. Lauréate d’un concours de chant en 2001, elle n’hésite pas à chanter les chansons de ses idoles en tournée. Avec Ma déclaration, elle a l’occasion de rendre hommage à une icône glamour qui pourrait bien lui porter chance.

Muse de Claude François, de Serge Gainsbourg, de Julien Clerc et de Michel Berger, la baby pop a interprété les tubes de toute une génération accro à Salut les copains, à ses cheveux blonds ébouriffés et à ses robes cintrées Courrèges. France Gall est chevalier de la légion d’honneur depuis 2013.

La fille du King of pop vient de se voir refuser l’entrée de la clinique qui devait l’accueillir suite à sa tentative de suicide. Alors que la fillette de 15 ans peine à se remettre de son mal-être, son oncle Jermaine Jackson suggère un traitement de choc.

« Elle était la princesse de papa » expliquait Prince Jackson, fils aîné de Michael Jackson la semaine dernière à la barre du procès AEG. Du haut de ses 15 ans, Paris Jackson se retrouve livrée à elle-même depuis 4 ans et la disparition de son célèbre paternel. Un drame qui bouleverse une nouvelle fois sa famille depuis qu’elle a tenté de mettre fin à ses jours. Alors que sa maman, l’ex-infirmière Debbie Rowe ne baisse pas les bras et projette d’emmener Paris passer l’été en Suisse, son oncle Jermaine a exposé aux caméras de TMZ sa solution.

Pour l’ex-Jackson 5, la jeune victime n’est pas à prendre au sérieux puisqu’elle est en pleine crise d’adolescence. Trop gâtée, la fille de Michael ne serait pour l’instant pas disposée à se soumettre à l’autorité. De fait, son tonton flingueur assure que la terrible tentative de suicide n’est rien d’autre qu’une réaction disproportionnée à un nouveau refus. Selon les premières rumeurs, Paris avait pris la décision de se couper les veines avec un couteau de cuisine après qu’on lui a interdit d’assister à un concert du chanteur de métal Marilyn Manson.

Pour sa santé, Jermaine Jackson recommande un recadrage express de sa nièce. Il explique: « (Paris) doit apprendre qu’il y a des règles quand on grandit en étant adolescent ». Elevé d’une main de fer par le patriarche Joseph Jackson, pas toujours tendre avec sa progéniture, le frère aîné de Bambi opte pour la discipline et la rigueur. Et d’ajouter: « Je pense que… les choses auraient pu lui être imposées de manière plus forte ». Une façon de critiquer du bout des lèvres le laxisme dont ont fait preuve Michael, puis Katherine et TJ (les tuteurs des trois enfants de MJ : Prince, Paris et Blanket) depuis 15 ans.

The European Commission offered new proposals Wednesday for overhauling the way the EU deals with refugees, calling on countries to act quickly to discourage “asylum shopping.”

The measures include stronger management of borders and development of legal methods for asylum-seekers to reach Europe. The Commission offered different options for reforming the Dublin regulation, which requires that refugees are registered in the country of arrival.

First Vice President Frans Timmermans called the current system, which has led to burdens on a few countries where migrants arrive, “not sustainable.” He said he hoped that the European Parliament and EU countries will agree on a legislative proposal for changing it before the summer.

“Such reforms are a necessary complement to the actions undertaken to reduce irregular flows to and within Europe, and protecting our external borders,” said Dimitris Avramopoulos, the European migration commissioner. Avramopoulos said a key aim of the reforms is to stop “asylum-shopping” that occurs when refugees move among EU countries in search of the best conditions to apply for asylum.

But it is not going to be easy. Both the Dublin reform options include a permanent refugee relocation scheme, an idea strongly backed by Germany but opposed by many Eastern European countries. In one plan, the relocation scheme is triggered immediately; in the other, it begins only after arrivals have reached a certain level.

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The mandatory aspect of the relocation plans set off heated political debates last summer, when the EU decided to impose them over the objections of several countries. In December two of those countries, Hungary and Slovakia, took the EU to court over the mandatory relocation mechanism. An EU official said Wednesday that the new proposals are on a different legal basis than the earlier mechanism, and so would not be affected by a negative court ruling.

The Commission also set out options for creating what it called “stronger and smarter” control of external border management and internal security in the EU, by improving data systems and sharing of information.

“Border and law enforcement authorities in the EU must have appropriate access to all the existing databases when needed to help them do their specific jobs,” Timmermans said.

In the meantime one of the key EU proposals for enhancing external border controls is moving forward. On Wednesday EU countries agreed to begin negotiations with the Parliament on a Commission proposal made in December for an EU border guard. EU leaders agreed to finalize the proposal by the summer.