Kim Kardashian, ne l’appelez plus jamais grosse

Les récent clichés de Kim Kardashian, enceinte de huit mois provoquent un déchaînement de mauvaises critiques à son égard. Mais aujourd’hui, la future maman est en couverture du magazine US Weekly, en bikini et prouve qu’elle prend soin de ses formes.

Toute héritière chérie par son clan et son amoureux, Kim Kardashian n’en est pas moins une jeune femme sensible. De sa présence au gala du Met Ball lundi à New York, les esprits les plus acerbes ne retiennent que sa robe florale Givenchy, la mettant assez peu en valeur. Un choix de tenue que Kim Kardashian assume pleinement et que le styliste de la maison française Ricardo Tisci soutient.

Mais sa plus belle revanche, la sulfureuse businesswoman la tient avec la Une du magazine US Weekly sorti ce jeudi. En maillot de bain deux pièces, la future épouse de Kanye West affiche bien sur son ventre très arrondi, mais aussi des jambes fermes et douces et une poitrine généreuse mais pas plus qu’à l’accoutumé. Ce cliché montre ainsi une Kim Kardashian au meilleur de sa forme lors de ses récentes vacances en famille en Grèce.

Même si le fessier particulièrement proéminent de la trentenaire fait parti de son personnage, elle n’a jamais cessé de pratiquer le sport depuis le début de sa grossesse. Les paparazzis américains shootent régulièrement la brunette en tenue de running, se rendant à salle d’entraînement préférée.
Kim Kardashian a récemment partagé son envie de retrouver sa silhouette de jeune fille en publiant des photos d’elle plus mince, sur les réseaux sociaux. Nul doute qu’après l’arrivée de bébé, Kanye West retrouvera la « hot mama » dont il est tombé amoureux.

Ben Affleck : tout va bien avec Jennifer Garner!

Fraîchement oscarisé pour son troisième film Argo, Ben Affleck était hier la star de l’émission Saturday Night Live, à la télévision américaine. Comme le veut la tradition, il a entamé l’émission avec un long monologue, qu’il a dédié à sa femme, l’actrice Jennifer Garner.

Trois enfants, une carrière au top et une histoire d’amour qui dure depuis 10 ans. Bennifer se porte comme un charme! Et hier, en direct à la télévision américaine, le couple l’a montré à tout le pays, en lavant son linge sale en public… pour les besoins d’un sketch. Pour clore la saison du Saturday Night Live, la célèbre émission comique de NBC, Ben Affleck était l’homme de la soirée (pour la cinquième fois). Au début de l’émission, il est revenu sur son discours des Oscars, un sujet qui a fait polémique.

«Vous vous souvenez que dans mon discours, j’ai remercié ma femme, tout en affirmant que l’essence du mariage est un travail» a-t-il commencé. Devant les interrogations du public, il a poursuivi : «certaines âmes charitables» ont pris cela au sens de «travail manuel», croyant à tort que sa famille battait de l’aile. Un malentendu qu’il a voulu corriger hier, en direct.

Poursuivant toujours sur le ton de la blague, le meilleur copain de Matt Damon a ensuite donné sa vision des choses. Il a expliqué à ses fans : «vous définissez ce qui est important pour vous comme ce que vous consacrez votre temps à faire». Quelques minutes plus tard, sa compagne et ancienne collègue l’actrice Jennifer Garner montait sur la scène du studio télé pour poursuivre le show. Dans la seconde partie de ce numéro, elle a continué les explications. «Travail est un mot que nous employons tous les deux pour définir notre engagement l’un envers l’autre» a-t-elle tempéré avant d’avouer que la raison pour laquelle Ben avait employé ce mot la dépassait totalement!

Pour l’honorer le soir de la grande messe du cinéma, la maman de Violet, Seraphina et Samuel aurait certainement préféré une belle déclaration d’amour. Mais le stress de son mari en aura décidé autrement. Devant la foule amusée du SNL, à New York, Ben Affleck a donc rejoué la fin de son speech en avouant à sa femme : «Je vais te dire comment j’aurai aimé finir ce discours – Je ne pourrait rien faire sans ton amour et ton soutien. Tu es mon ange, ma vie, mon monde». Des mots de poésie tellement parfaits qu’ils étaient en fait écrits sur une pancarte dans le public. Quelques rires plus tard, Jennifer Garner a quitté la scène sous les applaudissements glissant tendrement à Ben: «Tu es un sacré boulot !». Puisqu’on vous dit que tout va bien.

Le docteur Conrad Murray au chevet de Paris Jackson

Elle a voulu «attirer l’attention» selon les policiers chargés du dossier Paris Jackson. Agée de 15 ans, la fille du Roi de la pop s’est tranché les veines dans la nuit de mardi à mercredi. Une tentative de suicide qui a été très vite été court-circuitée par les secours. Son drame a beaucoup ému aussi bien le grand public que l’entourage de l’adolescente tourmentée. Le Docteur Conrad Murray a voulu réagir à l’annonce.

Avant de prendre une grosse dose d’Ibuprofène et de se couper le poignet, la jeune Paris avait déjà lancé un SOS. Jeudi, alors que le monde s’est ému de sa détresse, la fille de Michael Jackson a reçu un témoignage d’affection inattendu. Celui du Docteur Conrad Murray, qui avait administré une dose mortelle de Propofol à son père, le 25 juin 2009.

Condamné à 4 ans ferme de réclusion criminelle pour l’homicide involontaire de Michael Jackson, le médecin privé du chanteur a souhaité transmettre un enregistrement à Paris pour l’aider à s’en sortir, après sa tentative de suicide. Sur une bande audio, que s’est procuré le site américain TMZ, il propose ses services à la victime. «Je ne sais pas ce que tu traverses» explique-t-il, «mais je suis sûr que quoi que ce soit, ça doit être difficile».

Responsable de la mort du père de Prince, Paris et Blanket, le docteur fait aujourd’hui peau neuve avec ces déclarations. Dans sa lettre à la fille adolescente de Michael Jackson, il poursuit : «Je ne sais pas si je peux faire quelque chose pour résoudre ta peine ou t’aider avec ton problème mais je voulais que tu saches que je suis là pour toi. Je ne suis jamais parti».

Dans son message de 4 minutes, Conrad Murray explique qu’il aime Paris comme un père et qu’elle n’est pas seule. Et d’ajouter «Je serai toujours disponible pour t’écouter, répondre à tes questions, ou partager avec toi une pléthore de belles et savoureuses histoires inédites sur ton père». Il finit par une promesse : «Je prierai pour toi et n’oublie pas que tu es aimée».

Pour l’instant, Paris Jackson est encore hospitalisée, non loin de sa résidence californienne de Calabasas. Elle a été placée en surveillance psychiatrique pendant 72 heures après son entrée à l’hôpital. Pour seule nouvelle, sa grand-mère Katherine Jackson a publié un communiqué. La mère de Michael a assuré que «Paris va bien physiquement et reçoit les soins médicaux appropriés». Au sujet de son désir de mettre fin à ses jours, l’octogénaire répond: «Etre une personne sensible âgée de 15 ans c’est difficile, qui que vous soyez. Et c’est particulièrement difficile quand vous perdez la personne la plus proche de vous».

Vers un retour des Doors sans Jim et Ray?

La porte était restée entr’ouverte pendant plus de quarante ans. Depuis la mort du claviériste Ray Manzarek, les Doors ne sont plus que deux. Privés de leur leader Jim Morrison, depuis 1971, les rockeurs de Los Angeles projetteraient quand même de remonter sur scène, très bientôt.

Ils ne sont plus que deux: un guitariste et un batteur, les rescapés des Doors Robby Krieger et John Densmore seraient prêts à remettre le couvert officiellement, pour la première fois depuis 1973. Après la disparition dans la fleur de l’âge de leur charismatique voix Jim Morrison, les Doors avaient préféré mettre la clé sous la porte et ne s’étaient produits que très rarement sous leur célèbre nom de groupe. Aujourd’hui, quelques semaines après le décès de leur pianiste Ray Manzarek, âgé de 74 ans, les membres du club souhaitent rendre hommage à ce compagnon de route génial et mettent sur pied une série de concerts.

En juin dernier, John Densmore, pourtant farouchement opposé à l’idée d’un come-back, avait déclaré dans le Times: « J’ai dit à Robby (Krieger) récemment: ‘Pourquoi ne pas nous réunir dans un futur proche et jouer quelques chansons des Doors en l’honneur de Ray (Manzarek) avec de super musiciens locaux’? ». Une proposition alléchante et une très grosse surprise pour les fans. Et pour cause, le batteur avait jusqu’alors empêché ses acolytes de remonter le groupe dans les années 2000 à coups de procès, et avait apposé son véto pour l’utilisation du répertoire (Love me two times, LA Woman, Light my fire…) pour la publicité.

La nouvelle était d’abord restée sans suite. A présent, dans Rolling Stone, on vient d’avoir la confirmation, de la bouche de Robby Krieger, le guitariste en personne. Les Doors seront bien de retour! « Nous allons faire au moins un show pour Ray et lui faire nos adieux » a-t-il expliqué au magazine américain. Et d’ajouter: « C’est soit un début soit une fin, je ne sais pas ». Il faut croire que ce n’est pas encore The End pour la bande du roi lézard.

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Lana (ex Larry) Wachowski fait son Coming Out [VIDEO]

Apparue officiellement sous ses nouveaux traits dans la vidéo de présentation de “Cloud Atlas”, qu’elle a réalisé aux côtés de son frère Andy Wachowski et Tom Tykwer, Lana (ex Larry) a toujours refusé de commenter sa transformation physique. Jusqu’à un Coming Out public, au cours d’un dîner de gala devant 600 personnes, et dans un bouleversant discours fleuve de 25 min.

Apparue officiellement sous ses nouveaux traits dans la vidéo de présentation de Cloud Atlas (voir ici), qu’elle a réalisé aux côtés de son frère Andy Wachowski et Tom Tykwer, Lana Wachowski (ex Larry) s’est non seulement toujours refusée à commenter sa transformation physique, y compris pendant ces dernières années où la rumeur courrait à Hollywood, mais avait même fait modifier son contrat chez Warner, pour y faire figurer une clause de refus de contact avec les médias.

 

Si la vidéo de présentation de Cloud Atlas est donc sa première apparition officielle sous ses nouveaux traits, Lana Wachowski a fait le 20 octobre dernier son “vrai” Coming Out en public, au cours d’un dîner de gala à San Francisco organisé par Human Right Campaign devant 600 personnes. Récipiendaire d’un Prix soulignant le courage d’assumer publiquement sa transsexualité, Lana Wachowski s’est alors fendu d’un puissant discours fleuve de 25 min, d’une sincérité et d’une franchise rarissime à Hollywood. Vous pouvez découvrir ci-dessous la vidéo de ce discours, capté en exclusivité pour le Hollywood Reporter. Attention, c’est en VO uniquement, mais il existe la transcription par écrit en anglais.

 

Pour la transcription du discours, c’est par là.

OP avec The Hollywood Reporter

Photos – Elodie Gossuin: les temps forts de sa vie dans Gala

Elle est à nouveau enceinte. De jumeaux! Et nous fait part de son bonheur dans les colonnes de Gala. Elodie Gossuin est l’une de nos fidèles. Depuis ses débuts elle raconte son histoire dans Gala. Rétrospective.

En 2001, elle est élue Miss France et devient la petite fiancée des Français. Grande, ultra-féminine, le regard plein de caractère, son visage fait la Une de tous les magazines et dans Gala, en 2003, elle présente celui qui fait battre son cœur: Bertrand.

Puis vient le temps des projets. Bertrand et Elodie sautent le pas et se marient en 2006. Elle prend le nom de son époux, et se fait désormais appeler Elodie Gossuin-Lacherie. La jolie blonde tombe enceinte. Surprise! Elle attend des jumeaux. Sa première photo officielle avec ses deux bouts de chou Rose et Jules en 2007 sera également réservée aux lecteurs de Gala. So cute.

>Les premières vacances des jumeaux en vidéo, c’est par ici!

Avec Elodie, on suit toutes les étapes de la vie d’une mère. Et être maman de jumeaux, ce n’est pas facile tous les jours: «le chamboulement a été d’autant plus intense qu’ils étaient nos premiers bébés. Il y a eu beaucoup d’angoisse, beaucoup d’inquiétude. La peur de mal faire, de manquer d’instinct maternel.» nous raconte-t-elle en 2009.

Ses secrets, ses moments de doute, Elodie les évoque sans tabou: ses fans font également partie de sa vie, elle a besoin de partager avec eux.

Les premières vacances des jumeaux, un Noël en famille… Autant d’opportunités pour de jolies séances photos, qui resteront dans les archives familiales. Car malgré des tensions que le couple a dû surmonter, la famille d’Elodie est plus soudée que jamais. En 2010 elle confiait déjà qu’elle pourrait à nouveau tomber enceinte: «En tout cas, mon mari serait le plus heureux des hommes! De mon côté, vu tout ce que ça implique de fatigue et d’investissement personnel, et sachant que je fêterai mes trente ans à la fin de l’année, il ne faudrait pas que cela tarde trop. Mais si nous avons la chance de pouvoir à nouveau donner la vie, peu importe

combien, ils seront tous accueillis avec joie! »

Trois ans plus tard, elle nous offre ce joli cadeau: une nouvelle séance photo en famille. Les jumeaux ont bien poussé, et son ventre a bien grossi. Elodie attend non pas un… Mais deux heureux événements. Félicitations

La nouvelle affaire Ségolène Royal

Ségolène Royal n’apprécie pas du tout l’article que Le Point lui consacré et le dit sur Twitter. La présidente de la région Poitou-Charentes dément les propos qui lui sont prêtés où elle disait notamment «au gouvernement je leur ferais de l’ombre» ou reprochait à Martine Aubry d’être coupable de «pompage d’idées».

«Stupéfaction à la lecture de l’article du Point et des reprises qui en sont faites.Je démens catégoriquement les propos qui me sont prêtés. Chacun sait que ce n’est ni mon état d’esprit ni mon niveau de réflexion et ce genre de pseudo scoop est carrément médiocre». C’est par ces quelques mots postés sur Twitter que Ségolène Royal donne encore plus d’écho à un article du Point qui paraît ce jeudi.

L’hebdomadaire rapporte en effet des propos tenus par la présidente de la région Poitou-Charentes dans une interview qu’elle leur a accordée. Il faut dire que Ségolène Royal s’y exprime en des termes peu élogieux pour ce qu’il est convenu d’appeler ses camarades socialistes, même si on ne détecte aucune once de camaraderie dans ses propos.

Ainsi, au sujet d’une éventuelle entrée dans le gouvernement, sujet qui revient régulièrement mais qui se révèle épineux pour François Hollande à plus d’un titre, Ségolène Royal s’est faite une raison et lance: «J’ai un charisme, de l’aura, du poids. Au gouvernement, je leur ferais de l’ombre». Elle en profite pour rappeler qu’elle a «subi une succession de frappes» qui ont contribué, malgré elle, à sa popularité dans l’opinion publique. «Les gens m’ont vue souffrir, être trahie. Et résister. Je suis un personnage sécurisant» analyse-t-elle.

Dans cette interview, Ségolène Royal montre qu’elle n’a rien perdu du punch qu’on a pu lui connaître parfois, mais ses deux plus gros uppercuts, elle les destine non pas à des personnalités de droite, mais aux socialistes. Martine Aubry pour commencer, son ancienne rivale au PS pour le poste de premier secrétaire et qu’elle accuse d’être une voleuse. «Un pompage d’idées inconscient. C’est à mourir de rire, c’est énorme» lance-t-elle avant d’ajouter «elle ne se rend même pas compte qu’elle pille». Quant au congrès de Reims de 2008, au cours duquel Ségolène Royal a perdu face à Martine Aubry dans une élection qui a fait polémique, elle déclare: «Je n’aurais pas dû me laisser voler le congrès de Reims. J’aurais dû imposer un rapport de force».

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Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale, ne trouve pas davantage grâce à ses yeux. Normal puisqu’elle visait son poste au perchoir. «Ça n’aurait pas été mauvais pour le pouvoir que ce soit moi, la présidente de l’Assemblée. J’aurais fait vivre le Parlement. Il aurait dû être plus présent pour soutenir le gouvernement la première année». Quant à Arnaud Montebourg, il «se prend pour un acteur américain», et Delphine Batho, limogée du gouvernement, est «une manipulatrice politique». Il y en a vraiment pour tout le monde.

Difficile d’imaginer que Le Point ait autant déformé les propos de la socialiste, mais celle-ci les réfute. En attendant, Ségolène Royal est une nouvelle fois au cœur de la polémique et fait parler d’elle.

Bernadette Chirac : « Un président de la République célibataire, cela doit être difficile »

Dans une entretien accordé à l’hebdomadaire Paris Match, Bernadette Chirac s’est à nouveau exprimée sur la situation de François Hollande et Valérie Trierweiler.

Première dame pendant douze ans Bernadette Chirac, est visiblement très sensible au sort qui a été réservé à Valérie Trierweiler ces derniers jours.

“Elle vient de traverser une grande épreuve, explique-t-elle dans le dernier numéro de Paris Match. Bien sûr, en tant que femme, j’ai une pensée amicale pour elle. Mais je n’ai pas à porter un jugement sur cette situation. C’est une question qui la regarde, et elle seulement.”

La présidente de l’opération des Pièces jaunes, toujours très appréciée des français (À la question posée par Le Parisien « Parmi toutes les conjointes de présidents de la Vème République, laquelle avez-vous préféré ou préférez-vous? », 46% des Français ont voté pour elle), remarque aussi dans cet entretien : « qu’être un président de la République célibataire, cela doit être très difficile. La charge et la responsabilité sont très lourdes. Dans ce cas précis, le chef de l’État devra recruter des collaborateurs spécialement choisis pour surveiller la bonne marche du palais de l’Élysée ».

Dans une interview à Europe 1 le 21 janvier, l’une des coqueluches des Guignols de l’Info, avait déjà fait part de sa sollicitude envers l’ancienne compagne de François Hollande. « Je ne l’ai pas eue récemment au téléphone parce que je ne veux pas être indiscrète, expliquait-elle. Elle est probablement très fatiguée. Si elle a été à l’hôpital pendant huit jours, ce n’est sûrement pas sans raison. Mais en revanche, je lui ai écrit un petit mot. »

Un petit mot que Valérie Trierweiler n’aurait toujours pas lu à en croire les informations du Parisien qui expliquait en début de semaine que le palais de l’Elysée ne semblait pas être disposé à faire suivre son courrier.

Hillary Clinton Fuels 2020 Buzz with Beyoncé Quote About Taking Power

Hillary Clinton on Tuesday kicked up more 2020 buzz after posting a quote from pop megastar Beyoncé about the need to take power, praising the sentiment and adding, “Beyoncé speaks the truth.”

The failed presidential candidate posted the quote from the “Halo” singer on Instagram on Tuesday. It read, “Power’s not given to you. You have to take it.”

“@Beyonce speaks the truth,” Clinton wrote as her caption alongside the hashtag #GutsyWomen — an homage to her latest children’s book.

Clinton’s comment was met with a load of backlash from commenters.

“Or in your case, buy it,” one user wrote.

“This seems to be contradicting the principles of democracy!” another reminded the failed Trump challenger.

“And you have stolen yours,” another commented. “Corruption is your power.”

However, there were also many users who praised Clinton for essentially courting Beyoncé’s fan base, which refers to itself as the “Beyhive.”

“Take that White House, Hillary!!” one wrote, with another adding, “I hope Beyoncé is the first woman president.”

The post also fueled speculation surrounding the possibility of a 2020 run, which Clinton has teased in recent weeks. Earlier this month, President Trump tweeted that “Crooked Hillary” should join the race “to try and steal it away from Uber Left Elizabeth Warren” as long as she explains “all of her high crimes and misdemeanors including how & why she deleted 33,000 Emails AFTER getting ‘C’ Subpoena!”

Clinton replied, “Don’t tempt me. Do your job.”

Her recent remarks on PBS NewsHour furthered speculation. Clinton told the outlet that she could “obviously” beat Trump “again.”

“Maybe there does need to be a rematch. I mean, obviously, I can beat him again,” she said. “But, just seriously, I don’t understand. I don’t think anybody understands what motivates him, other than personal grievance, other than seeking adulation.”

Political commentator and former Bill Clinton adviser Dick Morris said this week that there is a chance the former secretary of state will launch another presidential bid.

“I think it’s always possible that Hillary runs,” Morris said during an appearance on The Cats Roundtable on Sunday. “You know, John, there’s a test you can do at home. Just put your fingers on her wrist, and if you feel a pulse, you know she’s going to run.”

This is far from the first time Clinton has tried to use the Grammy-winning singer to boost her political and cultural status. Clinton made an appearance at Jay-Z’s “get-out-the-vote rally” in Cleveland, Ohio, in 2016, where Beyoncé delivered a passionate speech in support of the then-Democrat nominee.

“We have to vote. The world looks to us as a progressive country that leads change. Eight years ago, I was so inspired that my nephew, a young black child, could grow up knowing his dreams could be realized by witnessing a black president in office,” Beyoncé said. “And now, we have the opportunity to create more change. I want my daughter to grow up seeing a woman lead our country and know that her possibilities are limitless.”

“We have to think about the future of our daughters, of our sons, and vote for someone who cares for them as much as we do,” she added. “And that is why, ‘I’m with her.’”

Apple fight tests Europe’s operating system

Apple Chief Executive Tim Cook is at least half-right when he describes as “political” the European Commission’s demand that Ireland should claw back €13 billion in forgone taxes from the American computer giant. The decision, he told Irish radio, had no basis in law or the facts of the case.

Margrethe Vestager, the European commissioner for competition, denies that the decision is politically motivated. The European Court of Justice, she claims, is not interested in politics, just the facts.

Yet there is no denying that the Apple case is profoundly political in its consequences and has now set in train a very political battle for the backing of Europe’s finance ministers. Vestager has put into play — in the most high-profile way possible — the question of who runs Europe.

Not everyone perceives the struggle in those terms. The Irish government and its supporters dispute the Commission’s move into investigating tax rulings, the agreements made between a national tax authority and an individual company (which have previously resulted in adverse judgments against Starbucks in the Netherlands and Fiat in Luxembourg). They would argue that Vestager has raised the question of who runs Ireland.

And the United States Treasury Department has set out in a white paper its objections to Vestager’s recent tax investigations, complaining that the European Commission is laying claim to money that might be owed to the U.S. tax authorities. It implies that the EU is interfering with who runs the U.S.

* * *

The EU-U.S. tensions are, however, a distracting decoration. Although it is tempting to see Vestager’s decision as continuing a tradition of European competition commissioners trying to cut American giants down to size (Mario Monti blocked GE’s takeover of Honeywell; Monti, Neelie Kroes and Joaquín Almunia pursued antitrust cases against Microsoft), that would be to ignore other nuances in the Apple conflict.

First of all, Vestager’s target is the national governments of the EU. Her message is that tax competition cannot and should not mean a complete free-for-all. That is the same message she previously delivered by way of similar state aid rulings to the Netherlands, Luxembourg and Belgium — but the sums involved in the Apple case are so great as to make other countries sit up and take notice. More than previous cases, this one raises the question of how much tax income other countries might be missing out on because of Ireland’s tax ruling. And her message is that if the EU does not stand united, the only beneficiaries will be the multinationals playing fiscal arbitrage.

The message is not in itself a new one. The EU’s debate about what constitutes fair or unfair tax competition has flared at various moments in the past — in 1998-1999 over Ireland’s corporation tax and in 2009 over Slovakia’s tax rates for car companies, for instance.

What is new, however, is the method chosen by the Commission to push its argument — exercising its powers to police state aid. The idea has been kicking around for some time. Monti, who had been single market commissioner before taking the competition portfolio, argued that unfair tax competition and the threat it posed to the single market had to be countered by use of state aid powers.

But back then there was no willing alliance between the commissioners for the single market and competition. Those posts were held by a succession of people who were skeptical about giving the EU more power over member countries and who were by nationality protective of low-tax arrangements: Frits Bolkestein from the Netherlands, Charlie McCreevy from Ireland and Kroes from the Netherlands. And the Spaniard Almunia, who held the competition portfolio from 2010-2014, was no innovator.

In addition, Vestager is more willing than her predecessors to test the extent of the Commission’s powers, though her concerted use of state-aid inquiries looks likely to be challenged by Ireland and Apple in the European Court of Justice. That is not the only fight-back she must face down: U.S. Treasury Secretary Jack Lew wrote to Vestager earlier this year suggesting that her attack on tax rulings puts at risk the existing cooperation in international fora — in the G20 and the Organisation for Economic Cooperation and Development. Apple, too, has accused the Commission of trying to “upend the international tax system.”

* * *

What is significant about that line of challenge is that it seeks to appeal to EU finance ministers, who retain the prerogative to negotiate on tax issues in international fora. The Commission’s powers over taxation are much more circumscribed than on competition. The U.S. government is hoping that a combination of the finance ministers and Jean-Claude Juncker, the Commission president, might rein in the meddlesome competition commissioner.

Vestager stands accused of threatening a developing consensus that governments must work together to combat tax evasion. That trend was accelerated by the financial crisis, which put public revenues under severe strain, by the crackdown on money-laundering and organized crime which curtailed the room for secrecy, and by the LuxLeaks and Panama Papers revelations. The finance ministers must decide whether Vestager’s inquiries are part of that trend or run counter to it.

It’s clear where Michael Noonan, Ireland’s finance minister, stands, but it is hard at this stage to know how the various other finance ministers might react to the information being brought to light by the Commission’s inquiries.

Those who defend Ireland’s right to style itself as a low-tax economy are quick to point out that Vestager hails from Denmark, a high-tax economy. But they might also pay attention to another supposed characteristic of the Danes — a Lutheran-inspired fondness for openness and transparency.

It’s a significant feature of the state aid inquiry that Vestager gets to make public at least some of the terms of tax rulings that were previously secret between national authorities and the multinational corporations.

In doing so, the Commission may widen divisions between the finance ministers — exposing both to the ministers and to their electorates the tax revenue that is effectively not being collected. Sven Giegold, a leading German Green member of the European Parliament’s economic and monetary affairs committee, was quick to express mischievous surprise that Wolfgang Schäuble, Germany’s finance minister, was not more concerned about the loss of revenue. Until his recent wobble over Spain and Portugal, Schäuble had always taken a hard line in demanding that other national governments should reduce their budget deficits.

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Publishing details from the tax rulings should also help Vestager in her struggle to win the backing of European consumers. Her revelations that in 2014 the company was paying only €50 of tax per million euro of profit, and that Apple International in Ireland, through which the company’s revenue was channeled, had no premises and no employees in Ireland, might not cut much ice with tax lawyers and accountants, but they will play well in the court of European public opinion.

Apple may be a darling of consumer electronics, but it does not follow that consumers will give it a free fiscal pass. Nobody likes paying taxes. What they like even less is having to pay taxes while watching others escape them.

Vestager has couched her demand that Ireland must recover the state aid as one of fairness: Taxes must be paid and one company cannot be given special treatment. The claim to be an arbiter of fairness is a very important one. The underlying message is that the Irish government has failed in its duty to be fair — a duty that it owed not just to its own citizens but to the other EU member countries.

The assertion made by Wednesday’s Commission decision is that, if an individual country can’t stand up to the likes of Apple, Google, Microsoft and — lest José Manuel Barroso is forgotten — Goldman Sachs, the EU will. If not Margrethe Vestager, then who? If not the European Union, then what? Those are profoundly political questions.

Tim King writes POLITICO‘s Brussels Sketch.