Newcastle legend Solano arrested after breaking Peru coronavirus curfew

The 45-year-old was given a ticking off by the authorities and offered his apologies after the incident

Ex-Newcastle star Nolberto Solano was arrested in Peru after failing to abide by a curfew put in place in a bid to stop the spread of coronavirus.

COVID-19 has not taken hold in the South American nation as it has in some countries, though with a sharp rise in new cases in recent days, taking the nation’s infected to 635, there are concerns that it could become more widespread.

In a bid to halt the progress of the virus, which has infected close to 600,000 people worldwide, killing nearly 27.000, Peru has put in place a strict 8pm curfew.

More teams

Solano fell foul of the law on Thursday when he was caught out when enjoying a meal that went on longer than anticipated.

“I obviously regret this very much and I ask for forgiveness,” Solano told the radio station RPP Noticias. “I am not going to justify it. It’s very tough for everyone but the most important thing is our health, without that we can’t do anything.”

He was taken to a police station in the capital of Lima after a neighbour had spotted him and complained to the authorities. His stay was short-lived, according to local media, who reported that the assistant manager of the national team was allowed out after his misdemeanour was recorded.

There have been more than 18,000 people arrested for breaking the curfew, with Peruvian president reporting that on Wednesday 2,568 were caught out later than they should have been.

Solano is a notable figure in English football thanks largely to a spell at Newcastle, where he played with distinction in two spells. He made 230 Premier League appearances for the St James’ Park side over the course of eight years with the club, including stints from 1998-2004 and 2005-2007.

In between, he played for Aston Villa and on leaving the Geordies he joined up with West Ham.

Although the 45-year-old returned to his homeland for a period, he finished his career in England, playing short spells with Leicester, Hull and Hartlepool before finally hanging up his boots in 2012 to take up a career in coaching.

Belgian presidency eyes deal on financial reforms

Belgian presidency eyes deal on financial reforms

Leading MEP says provisional agreement is ‘likely’.

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The European Parliament and the Belgian government, which holds the rotating presidency of the Council of Ministers, are optimistic that a deal will be struck today (2 September) on a major overhaul of financial supervision in the EU. 

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The measure is the centrepiece of the European Commission’s efforts to reform banks and financial markets in the wake of the financial crisis that began in 2007. “It is quite likely that there will be a provisional agreement,” Sven Giegold, one of the Parliament’s lead MEPs on the package, said.

The reform would create a European Banking Authority, a European Insurance and Occupational Pensions Authority, and a European Securities and Markets Authority, each with binding powers over national regulators and actors. The package also includes a European Systemic Risk Board (ESRB), which would monitor threats to the EU’s economy as a whole.

The major issues to be resolved between the Parliament and the Council concern the ESRB. Sylvie Goulard, a French Liberal MEP and the Parliament’s lead on the ESRB, is adamant that the board should be chaired by the president of the European Central Bank (ECB).

Jean-Claude Trichet, the current president of the ECB, wrote to Didier Reynders, Belgium’s finance minister, on 29 July, urging that the ECB president should have the chairmanship of the ESRB. Member states, however, want the chairman to be elected by members of the ESRB’s governing board.

Limited Commission powers

Concerns exist within the Commission that the package could set a dangerous precedent by limiting the Commission’s power, granted under the Lisbon treaty, to adopt so-called implementing acts to improve the functioning of EU law. The supervisory package foresees a major role for the new authorities in implementing the reforms.

If a deal is reached, it will be endorsed by finance ministers on 7 September and the Parliament will vote on it at its plenary session on 20-23 September. This would pave the way for the authorities and the ESRB to be up and running by 1 January.

? The Belgian presidency and European Parliament are optimistic of early agreement on draft legislation on hedge funds and public equity, currently under intensive negotiation. Both sides are keen for a deal to be reached in time for it to be voted at Parliament’s 20-23 September plenary.

Authors:
Jim Brunsden 

VIDEO. Attentats de Christchurch : des hakas réalisés en hommage aux victimes

Danser et chanter en mémoire des victimes. Dès le lendemain des attentats contre deux mosquées à Christchurch (Nouvelle-Zélande), vendredi 15 mars, les hommages se sont multipliés dans le pays et à l’étranger, à la mémoire des 50 victimes de ces attaques terroristes. Dans la ville et en Australie, ces hommages ont pris la forme du haka, cette danse chantée traditionnelle des îles du Pacifique sud, rendue célèbre par les All Blacks, l’équipe de rugby néo-zélandaise. Samedi, près de la mosquée Al-Noor, l’une de celles visées, de nombreux Néo-Zélandais sont venus déposer des fleurs en mémoire des victimes. Un homme s’est éloigné de la foule pour réaliser un haka, seul dans la rue. D’autres habitants ont fait comme lui, près des mosquées et du mémorial aux victimes. Le lendemain, c’est un gang de motards, le “Black Power”, qui a fait cette traditionnelle danse maorie près des lieux de l’attentat. Cette forme d’hommage a traversé les frontières. En Australie, dimanche, les habitants de la ville de Surfers Paradise ont organisé un haka sur une plage en mémoire des victimes de Christchurch. Plus de 400 personnes étaient présentes, selon la page Facebook de l’événement. Click Here: st kilda saints guernsey 2019

Katie Holmes: le succès d’abord, le p’tit deuxième après

Certes, Katie Holmes aimerait faire un nouveau bébé. Tom Cruise et la petite Suri sont aux anges, mais ils devront attendre. Car Katie veut d’abord tourner le film de ses rêves. Alors, patience!

«Je suis une femme qui croit qu’elle peut tout avoir!» Autrement dit, mener une brillante carrière d’actrice et être une vrai maman poule pour Suri 3 ans.
Désormais les choses sont on ne peut plus claires pour Katie. Si Tom Cruise est impatient de donner un petit frère ou une petite sœur à Suri, Katie l’est aussi, mais pas à n’importe quel prix.
Le succès lui manque et elle souhaite retrouver le haut de l’affiche, le temps d’un film au moins.

En devenant Madame Cruise, Katie a inexorablement attiré les caméras et les flashes, mais ce qu’elle souhaite est surtout vivre pour elle-même, s’épanouir et connaître le succès en tant qu’actrice.

Son dernier film, Mad Money, avec Queen Latifah et Diane Keaton est quasiment passé inaperçu. Loin de se décourager, Katie Holmes tourne N’Ayez Pas Peur Du Noir, en Australie sous la direction de Guy Pearce.

Et si tout se passe bien, si elle a enfin cette sensation d’avoir décroché un rôle à sa mesure, peut-être (re)jouera-t-elle le rôle qu’elle affectionne particulièrement: maman.

Jeudi 6 août 2009

VIDEO. Inde : un survivant sorti d’un bâtiment effondré après 62 heures

Un miracle. Un homme a été sorti vivant, vendredi 22 mars, au bout de 62 heures de calvaire, des décombres d’un bâtiment qui s’est effondré mardi en Inde, faisant au moins 17 morts, ont annoncé les autorités locales. Les secouristes recherchent toujours 10 disparus dans les tonnes de ruines de cette structure à plusieurs étages en construction, qui s’est affaissée il y a quatre jours dans le district de Dharwad, dans l’Etat du Karnataka (sud).Une vidéo publiée sur Twitter par un haut responsable de la police de cette région, M.N. Reddi, montre des sauveteurs en casque jaune extirpant sous les hourras un homme d’une cavité, dans l’amas poussiéreux de béton et d’acier.

Sur ces images, l’homme titube en arrivant à la lumière du jour et s’appuie sur ses sauveteurs pour marcher. Quelque 54 personnes ont été sorties vivantes des décombres de ce chantier, où sont mobilisés près de 400 secouristes. Les victimes sont principalement des ouvriers du nord de l’Inde, venus dans la région pour y trouver du travail. “Les rescapés ont été emmenés à l’hôpital et cinq personnes ont été arrêtées” en lien avec l’effondrement, a déclaré à l’AFP Srikant, un responsable des services d’urgence.La police a engagé des poursuites pour homicide involontaire contre le responsable du chantier, qui figure parmi les personnes interpellées. Les effondrements de bâtiments sont fréquents en Inde. Les constructeurs sont souvent accusés d’utiliser des matériaux de mauvaise qualité pour réduire les coûts ou de corrompre des fonctionnaires pour qu’ils ferment les yeux sur le non-respect des normes de sécurité. La sécurité des employés est peu prise en compte sur les sites.

L’armée lâche Bouteflika : “C’est une énorme surprise, je pense que l’armée va précipiter un peu les choses”

“C’est une énorme surprise (…) je pense que l’armée va précipiter un peu les choses”, a réagi Omar Belhouchet, directeur de publication du quotidien El Watan mardi 26 mars sur franceinfo, après la prise de parole du chef d’état-major de l’armée algérienne, demandant au Conseil constitutionnel de déclarer le président Abdelaziz Bouteflika inapte.franceinfo : Est-ce que c’est une surprise pour vous ?C’est une énorme surprise. On ne s’y attendait vraiment pas. On savait que l’armée, ces deux dernières semaines, avait pris ses distances avec le président Bouteflika, mais on ne pensait pas qu’aujourd’hui, il y aurait une telle déclaration publique pour demander à ce que le Conseil constitutionnel tranche sur la capacité ou non du président actuel, à pouvoir gouverner.Est-ce que vous y voyez une décision de l’armée ou bien une décision concertée avec les proches du président Bouteflika pour sortir de la crise ?C’est difficile à dire mais je pense que jusqu’à maintenant, les proches du président Bouteflika font de la résistance, le clan présidentiel ne veut pas lâcher, les proches et les oligarques qui le soutiennent, veulent maintenir ce président en poste. On le voit, on le décortique tous les jours à travers la presse nationale, donc je ne crois pas qu’il y ait entente avec l’armée, représentée par chef d’état-major, et le courant présidentiel. Je pense que c’est une surprise et elle va énormément peser dans le débat, au moment où, tous les jours, il y a des millions d’Algériens qui demandent à ce que le président ne poursuive pas son ‘job’ à la tête de l’État. Un ‘job’ qu’il est incapable de faire d’ailleurs.L’article 102 de la constitution, invoqué dans le discours du général Salah [le chef d’état-major de l’armée algérienne], est une demande au Conseil constitutionnel. Il faut savoir que cette demande a été formulée par l’ensemble de la classe politique durant tous ces deniers mois, pour certains hommes politiques, ça fait des années qu’ils demandent au Conseil constitutionnel de s’intéresser à l’état physique du président. La population le demande aussi depuis des mois et des mois. Maintenant, c’est une demande de l’armée, bien entendu l’armée a du poids, elle pèse dans le contexte politique, je pense qu’elle va précipiter un peu les choses.Est-ce que l’armée a écouté les manifestants ?Elle a d’abord commencé par critiquer il y a un mois ce mouvement populaire, en disant qu’il fallait faire attention aux dérives, au risque d’avoir à nouveau la Syrie ou la Libye et puis la colère des millions d’Algériens à l’égard des militaires, les a fait reculer. Ils ont adopté un ton totalement différent avec le peuple ces deux dernières semaines, en disant que l’armée comprend maintenant ses revendications. Jusqu’à cette sortie totalement inattendue. Ce n’est pas un passage en force, c’est une demande très forte, pour que le Conseil constitutionnel prenne ses responsabilités et voit de plus près l’état de santé du président Bouteflika. Est-ce que le clan présidentiel aura assez de capacités pour résister à cette demande de l’armée ? Nous le verrons dans les prochains jours.Est-ce qu’il faut craindre une reprise en main de l’armée après cette déclaration ?Ça va être très difficile pour les militaires de reprendre en main un processus qui concerne aujourd’hui des millions d’Algériens. Si l’armée a agi aujourd’hui, c’est que quelque part, ils craignent que les manifestations aillent plus loin et qu’il y ait une déstabilisation provoquée par le clan présidentiel.Click Here: new zealand rugby team jerseys

Abdelaziz Bouteflika : la fin d’un règne

Des élections d’ici juilletLa liesse s’empare alors des rues d’Alger (Algérie). Feux d’artifice et concerts de klaxons. La contestation populaire vient de l’emporter. “On est contents, on est très fiers et c’est la victoire, la victoire du peuple“, confie une manifestante. Pour la première fois en 20 ans, l’Algérie n’a plus de président. Mais pour beaucoup ce n’est pas assez, c’est tout un système qu’ils veulent voir disparaitre. Mais la transition prévue a déjà du mal à convaincre. De nouvelles élections devraient être organisées, au plus tard début juillet.Le JT

  • JT de 20h du mercredi 3 avril 2019 L’intégrale

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    “Ils imitent les humains” : deux gorilles posent pour un selfie avec un garde forestier

    Debout sur leurs deux pattes, le torse bombé et le regard planté vers l’objectif : deux gorilles du parc national des Virunga, en République démocratique du Congo, ont posé avec Mathieu Shamavu, un garde forestier, sur un selfie publié jeudi 18 avril par un groupe Facebook (en anglais) dédié à la lutte contre le braconnage. Elevés par les humains Ces deux gorilles, orphelins à l’âge de quelques mois après que leurs parents ont été tués par des braconniers, ont été secourus par des rangers et ont grandi dans le sanctuaire Senkwekwe, un centre pour gorilles orphelins dans le parc national des Virunga – et “la seule installation au monde pour les gorilles de montagne orphelins”, précise le site du parc. Les grands singes sont en effet victimes de réseaux de braconniers qui cherchent à s’emparer des bébés gorilles pour les vendre comme animaux de compagnie en Asie, quitte à tuer les adultes qui les protègent.Pour Innocent Mburanumwe, le directeur adjoint du parc, ces deux gorilles considèrent les rangers qui s’occupent d’eux comme leurs parents. “Ils imitent les humains”, explique-t-il à la BBC (en anglais), et se tenir sur deux pattes est leur manière “d’apprendre à être des êtres humains”. Cependant, les voir debout n’est pas quelque chose de commun, fait-il remarquer : “J’ai été très surpris de voir ça… C’est très drôle. C’est très curieux de voir comment un gorille peut imiter un être humain et se tenir debout.”Difficile lutte contre le braconnage Sur son compte Twitter, le garde Mathieu Shamavu a déjà partagé plusieurs photos avec les animaux dont il s’occupe.

    Mais au-delà de ces adorables clichés, le métier de garde, dans le cadre de la lutte contre le braconnage, est très dangereux. Le parc national des Virunga rend ainsi régulièrement hommage aux rangers tués en exercice. En vingt ans, ils sont plus de 130 à avoir péri dans ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

    EU accounts improved, but still imperfect

    EU accounts improved, but still imperfect

    Improvements in regional policy spending marred by deterioration in agriculture and rural development

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    The European Union’s auditors today gave their most favourable verdict yet on how the EU budget is spent, but still refused to give a clean bill of health.

    Spending on cohesion policy – largely the regional aid programmes – was, as last year, the most problematic, but the level of errors underlying the transactions has been much reduced.

    That improvement is, however, offset by some deterioration elsewhere. According to estimates by the auditors, the level of errors underlying spending on agricultural and rural development was worse during 2009 than in 2008. The error rate for spending on education and citizenship policies has also deteriorated, but those policies amount to only 1% of EU spending, so the overall effect is less serious.

    Payment management

    Between them, cohesion policy (32%) and agriculture and natural resources (48%) make up 80% of the EU’s spending. In both cases, the European Commission is reliant on the member states to manage the payments effectively.

    The European Court of Auditors (ECA) is required by the EU’s governing treaty to carry out a two-fold task each year: to audit the annual accounts of the EU and to audit the legality and regularity of the transactions underlying the accounts.

    On the first score, the ECA approves the accounts saying that they present fairly, in all material respects, the financial position of the EU and the results of their operations and cash flows.

    On the second score, the ECA says that that the payments for economic and financial affairs and for administrative spending pass the requirements for legality and regularity.

    But in the other policy areas, the payments are “materially affected by error” – meaning an error rate in excess of 2% – and the supervisory and control systems are only partially effective in preventing or detecting and correcting the reimbursement of overstated or ineligible costs.

    An error rate of above 5% is deemed by the ECA to be very serious. The error rate for cohesion policy was 5.5% – the only policy area above the 5% threshold – but in the previous two years the error rate had been “at least 11%”, so some significant improvements have been made.

    Vítor Caldeira, the president of the ECA, said around three-quarters of the error rate related “to serious failures of national authorities to apply the rules on public procurement”.

    The rest, he said, came from paying costs that did not meet the criteria of eligibility for reimbursement.

    The court’s report said that it found errors of 2%-5% in agriculture spending, which Caldeira said was “somewhat higher” than the review of the EU’s 2008 budget, when the overall error rate for agriculture spending was below 2%.

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    Over-declarations

    Caldeira said most errors came from over-declarations of land eligible for agricultural use in order to benefit from EU farm handouts. Of the 241 aid transactions audited under farm programmes, 27% were found to be affected by error.

    The vast majority of errors or irregularities are not fraud, and the Commission does recover some of the money where irregular payments have been made. But Kersti Kaljulaid, a member of the ECA, said it would refer two cases, one from agriculture and the other from cohesion funds to OLAF, the EU’s anti-fraud office, in the months ahead.

    Algirdas Šemeta, the European commissioner for taxation, customs, anti-fraud and auditing issues said he was pleased the auditor’s report reflected better management of EU funds.

    “There is always more that can be done and the Commission will continue its intense efforts to ensure that EU funds are properly accounted for and well spent,” he said.


    On the management of the European Development Funds that supports the African, Caribbean and Pacific countries, which are not part of the EU budget, the ECA approves the accounts and says that the underlying payments are not materially affected by error.

    Authors:
    Constant Brand 

    Van Rompuy wants to speed up economic reforms

    Van Rompuy wants to speed up economic reforms

    The Council president is not happy with progress of governance reform.

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    9/8/10, 11:29 PM CET

    Updated 4/12/14, 8:00 PM CET

    Herman Van Rompuy, the president of the European Council, will use the summit of EU leaders on 16 September to try to galvanise member states into reforming economic governance in the EU, after little progress was made this week at a meeting of a ministerial taskforce (see Page 4).

    Van Rompuy will report to EU leaders on the taskforce’s work. He will say that, while governments this week agreed rules on oversight of national budgetary plans, progress on other aspects of governance reform needs to accelerate.

    Sanctions

    Leaders are expected to discuss what sanctions should be applied to member states that break the EU’s stability and growth pact, which sets limits on the size of national budget deficits and gross national debt. They are also expected to discuss how rigorously the pact’s debt criteria should be policed.

    The ministerial taskforce was created by leaders in March. It is supposed to agree a comprehensive set of governance reforms in time for them to be endorsed by leaders at a summit on 28-29 October.

    Van Rompuy has confirmed that the taskforce will hold at least one further meeting, on 18 October, prior to the deadline. Eurozone finance ministers, however, called on Tuesday (7 September) for an extra meeting to be held before the end of September, so that they can discuss proposals on governance reform that the European Commission will present on 29 September.

    Authors:
    Jim Brunsden