'Alisson has no fear' – Liverpool coach reveals what makes Brazilian one of the world's best

John Achterberg gets to work with the former Roma goalkeeper on a daily basis at Anfield and has explained what makes him so good

Alisson is one of the finest goalkeepers on the planet because the Liverpool star has “no fear” and is capable of making the difficult look “easy”, says Reds coach John Achterberg.

Jurgen Klopp invested heavily in a new No.1 during the summer transfer window of 2018, with a record-breaking £65 million ($78m) deal done with Roma for Brazil international Alisson.

The 27-year-old won the Premier League Golden Glove and Champions League crown during his debut campaign at Anfield.

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A reliable last line of defence has also helped Liverpool to close in on a first domestic title in 30 years during the 2019-20 season.

Given the struggles the Reds had endured between the sticks prior to Alisson’s arrival, the South American has proved to be a final piece in the puzzle.

Achterberg gets to work with a world-class talent on a daily basis and considers him to boast all of the qualities required to sit at the top of the global game.

Liverpool’s goalkeeping coach told the club’s official website of Alisson: “He is a goalie who has no fear – if he does something, he sticks to his decision.

“In his mind, he knows what to do and he doesn’t hesitate. That is natural goalkeeping, having no fear, reading the game and deciding.”

Alisson has kept 31 clean sheets through 58 Premier League appearances, while also contributing one assist.

Achterberg added on a man who is considered to embody everything that a modern-day goalkeeper should be: “If Ali receives the ball, he is always looking to counter and restart the game quickly, in keeping with our way of playing.

“Mo [Salah] and Ali have had eye contact, they’re looking at each other, and Ali knows he has made the move and then has the quality to put the ball out into his path. When Ali cuts a corner or cross out, the first thing he is looking at is if there is the possibility of a quick restart with a throw or a side-volley. 

“One of his big strengths is to stay calm in the high-pressure moments and making what look like natural, easy decisions, but they’re not easy because you always need perfect solutions and decisions. It’s a quality he has.

“Some reactions of a goalkeeper are instinctive, of course. It can be a split-second decision, but the main thing is your mind always has to be in an attacking mode, never take it off deciding whether you can reach the ball before anyone else, for example. 

“If it’s a 50/50 or a 60/40, am I fast enough to get there to win it? That’s a mindset, but also a quality he has too, because he has the speed and reacts for it. It is a combination of everything in this moment.”

Algérie : Abdelkader Bensalah est nommé président par intérim pour trois mois

Abdelkader Bensalah a été nommé président de l’Algérie par intérim, annonce la télévision nationale algérienne, mardi 9 avril. Le Parlement algérien s’est réuni pour lancer ce processus d’intérim, une semaine après la démission d’Abdelaziz Bouteflika. Abdelkader Bensalah, président de la chambre haute et incarnation d’un “système” dont les Algériens veulent se débarrasser, doit assurer l’intérim à la tête de l’Etat pendant 90 jours.Pendant cette période, une élection présidentielle, à laquelle Abdelkader Bensalah ne pourra pas être candidat, doit être organisée. “Je vais travailler à concrétiser les intérêts du peuple, a-t-il déclaré devant le Parlement. C’est une grande responsabilité que m’impose la Constitution.”Mardi matin, à Alger, des centaines d’étudiants descendus dans la rue scandaient “Dégage Bensalah !” et “Système dégage”, devant la Grande Poste. Président depuis près de dix-sept ans du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, 77 ans, est un pur produit du régime algérien et un fidèle d’Abdelaziz Bouteflika. Les partis d’opposition ont boycotté la réunion du Parlement, refusant de valider la nomination d’Abdelkader Bensalah.Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Libye : au moins 121 morts et près de 600 blessés dans les combats près de Tripoli

Au moins 121 personnes ont été tuées et 561 autres blessées depuis le début, le 4 avril, d’une offensive du maréchal Khalifa Haftar contre la capitale libyenne Tripoli, a indiqué l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dimanche 14 avril.Le bureau de l’organisation en Libye, qui ne précise pas le nombre des victimes civiles, a condamné par ailleurs sur son compte Twitter “les attaques répétées contre le personnel soignant” et les ambulances à Tripoli. Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (Ocha) de l’ONU a, de son côté, fait état de 13 500 personnes déplacées par les combats, dont 900 ont été hébergées dans des centres d’accueil.Des combats violents opposent depuis le 4 avril en banlieue sud de Tripoli les forces du Gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale, aux hommes du maréchal Haftar. L’Armée nationale libyenne (ANL) autoproclamée du maréchal Haftar, l’homme fort de l’est libyen, a lancé une offensive en vue de s’emparer de la capitale (nord-ouest), siège du GNA. En plus des combats au sol, les deux camps mènent quotidiennement des raids aériens et s’accusent mutuellement de viser des civils.Click Here: Cheap FIJI Rugby Jersey

Grippe A: Luc Chatel parie sur la Toile

A vos manettes contre la grippe A(H1N1)! Si se procurer un masque chirurgical est devenu mission impossible sans ordonnance et que la vaccination fait polémique, se pencher sur son clavier semble devenir un des «gestes barrières» pour éviter la contagion.

Grippe A: le fléau touche aujourd’hui le réseau

La grippe A (H1N1) vient de frapper les colonies de vacances et s’apprêterait à attaquer les cours de récré et les bureaux des sociétés. Vous êtes cloitrés chez vous? Planquez-vous derrière votre écran et combattez!

Le ministre de l’Education nationale Luc Chatel a présenté mardi, deux semaines avant la rentrée scolaire, le dispositif de prévention contre la grippe A, prévoyant information et fermetures éventuelles d’établissements. «Nous devons éviter deux écueils, la banalisation qui serait le meilleur allié de la propagation du virus et la dramatisation qui aurait pour effet d’inquiéter inutilement les familles», a déclaré M. Chatel, excluant un report de la rentrée scolaire.
En attendant, une seule attitude à adopter: surfez, et pas seulement sur Gala.fr!

Si leur école est contrainte de fermer ses portes, les élèves pourront travailler sur internet sur le site www.academie-en-ligne.fr. Des informations actualisées seront publiées régulièrement sur le site www.education.gouv.fr et le site interministériel www.pandemie-grippale.gouv.fr. Et les acharnés du Web vont pouvoir s’en donner à cœur joie sur http://www.thegreatflu.com!

Des chercheurs néerlandais ont réalisé un jeu vidéo gratuit inspiré par la grippe porcine, dans lequel le joueur doit tenter de faire face à une nouvelle pandémie.
Ce jeu est tout à fait sérieux et se base sur «ce qui est en train d’arriver en ce moment dans le monde réel», explique Albert Osterhaus, chef du département virologie du Centre médical Erasmus de Rotterdam à l’origine du projet.
The Great Flu («la grande grippe») débute par les images de patients au lit et de tombes de personnes tuées par la grippe espagnole de 1918.

Les joueurs, à la tête d’un centre fictif de «contrôle de la pandémie», s’efforcent de surveiller la progression d’un virus grippal à travers le monde et de mettre en place les mesures nécessaires de santé publique: renforcement de la surveillance, stockage et distribution de médicaments, masques et vaccins, fermetures de lieux publics comme les écoles, etc.

Les joueurs, qui peuvent lire sur une carte du monde le nombre de cas et de décès, disposent d’un budget limité. S’ils le dépassent, un message d’avertissement apparaît: «vos mesures coûtent de l’argent, faites attention».

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Les réalités politiques sont également prises en compte. Si un joueur met en place par exemple un système de surveillance coûteux et/ou contraignant, des Etats ou gouvernements ne manqueront pas de lui faire savoir: «nous suivrons vos instructions. Mais nous devons vous informer que le soutien politique à ces mesures est peu élevé. Dès lors, l’efficacité du dispositif pourra ne pas être conforme à vos attentes».

Roselyne Bachelot n’a pas encore communiqué son score. Mais on imagine que ce sera un record, évidemment…

Mercredi 19 août 2009

“Ils imitent les humains” : deux gorilles posent pour un selfie avec un garde forestier

Debout sur leurs deux pattes, le torse bombé et le regard planté vers l’objectif : deux gorilles du parc national des Virunga, en République démocratique du Congo, ont posé avec Mathieu Shamavu, un garde forestier, sur un selfie publié jeudi 18 avril par un groupe Facebook (en anglais) dédié à la lutte contre le braconnage. Elevés par les humains Ces deux gorilles, orphelins à l’âge de quelques mois après que leurs parents ont été tués par des braconniers, ont été secourus par des rangers et ont grandi dans le sanctuaire Senkwekwe, un centre pour gorilles orphelins dans le parc national des Virunga – et “la seule installation au monde pour les gorilles de montagne orphelins”, précise le site du parc. Les grands singes sont en effet victimes de réseaux de braconniers qui cherchent à s’emparer des bébés gorilles pour les vendre comme animaux de compagnie en Asie, quitte à tuer les adultes qui les protègent.Pour Innocent Mburanumwe, le directeur adjoint du parc, ces deux gorilles considèrent les rangers qui s’occupent d’eux comme leurs parents. “Ils imitent les humains”, explique-t-il à la BBC (en anglais), et se tenir sur deux pattes est leur manière “d’apprendre à être des êtres humains”. Cependant, les voir debout n’est pas quelque chose de commun, fait-il remarquer : “J’ai été très surpris de voir ça… C’est très drôle. C’est très curieux de voir comment un gorille peut imiter un être humain et se tenir debout.”Difficile lutte contre le braconnage Sur son compte Twitter, le garde Mathieu Shamavu a déjà partagé plusieurs photos avec les animaux dont il s’occupe.

Mais au-delà de ces adorables clichés, le métier de garde, dans le cadre de la lutte contre le braconnage, est très dangereux. Le parc national des Virunga rend ainsi régulièrement hommage aux rangers tués en exercice. En vingt ans, ils sont plus de 130 à avoir péri dans ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

Inondations au Canada : des milliers de personnes évacuées en urgence après la rupture d’une digue près de Montréal

Une évacuation en urgence. Plus de 5 000 personnes d’une commune à l’ouest de Montréal ont dû quitter précipitamment leur domicile dans la nuit du samedi 27 au dimanche 28 avril, après la rupture d’une digue. D’importantes crues touchent l’est du Canada depuis plusieurs semaines et continuent de s’étendre.La digue végétale, qui protégeait la ville de Saint-Marthe-sur-le-Lac, au bord du lac des Deux-Montagnes, à quelques dizaines de kilomètres de Montréal, a cédé samedi soir. Cette rupture a entraîné une montée subite des eaux, parfois de 1,5 mètre, dans plusieurs quartiers, sans faire de victimes, selon la Sûreté publique du Québec.”L’eau montait au fur et à mesure qu’on jasait”Plusieurs centaines de policiers, militaires et pompiers ont évacué près de 2 600 maisons depuis samedi soir. D’autres évacuations sont toujours en cours dimanche matin, a expliqué un porte-parole de la Sûreté du Québec. “On n’a eu le temps de rien faire, l’eau montait au fur et à mesure qu’on jasait (discutait), j’ai juste eu le temps de prendre mes médicaments”, a témoigné une résidente à la chaîne publique Radio-Canada. “Ca se passe très bien, personne heureusement n’a été blessé, personne n’est porté disparu ou manquant”, a déclaré dimanche le sergent Daniel Thibodeau.A la suite à ces évacuations, les autorités québécoises ont donné un nouveau bilan de ces inondations : près de 8 000 personnes ont déjà été évacuées au Québec depuis deux semaines, et près de 6 000 résidences ont été inondées. C’est plus que lors des crues catastrophiques du printemps 2017, les pires depuis un demi-siècle. Des militaires ont été déployés en Ontario, au Québec et au Nouveau-Brunswick pour aider aux évacuations et à l’érection de digues provisoires. Ottawa et Montréal  ont déclaré l’état d’urgence en fin de semaine.Click Here: Cardiff Blues Store

Olivia Ruiz rend hommage à Claude Nougaro

Olivia Ruiz , Mouss et Hakim (anciens chanteurs du groupe Zebda) et d’autres intervenants chanteront ce soir l’oeuvre de Claude Nougaro lors d’un concert gratuit sur la place du Capitole. L’événement qui aura lieu au centre de Toulouse (à 18h30), a été organisé pour fêter les 80 ans de l’artiste (originaire de la ville) mort en 2004…

Claude Nougaro va être honoré aujourd’hui à Toulouse. Olivia Ruiz, son père Didier Blanc, son frère (le rappeur Toan) et les artistes toulousains Mouss et Hakim (ex-Zebda), ainsi que l’artiste Yvan Cujious et l’accordéoniste Lionel Suarez interpréteront son répertoire. L’événement qui aura lieu au centre de la «ville rose» à 18h30, est organisé a l’occasion des 80 ans de l’artiste mort en 2004…
En première partie, «Nougaro et les langues du monde» fera raisonner quelques uns de ses standards en langue occitane, portugaise et algérienne.

Cette soirée «planète Nougaro» vient clôturer la mission du «Commando Nougaro», groupe de 9 chefs de choeur, qui depuis le 4 septembre déambule dans les rues de Toulouse pour faire chanter les passants…

De nombreux hommages sont également rendus en France à l’occasion de l’anniversaire de l’immense auteur d’Amstrong. Parmi eux, l’album Le Coq Et La Pendule, enregistré par des musiciens de jazz, sera interprété sur scène à Paris (Duc des Lombards) le 10 septembre et à Toulouse (Salle Nougaro), le 22 septembre.

La chanteuse belge Maurane a sorti fin août Nougaro Ou L’Espérance en l’Homme (Polydor), un album où elle reprend certains de ses plus grands titres.

Fils d’un baryton et d’une pianiste, Claude Nougaro est né le 9 septembre 1929 dans le quartier des Minimes à Toulouse, qu’il célébrera dans son hymne à sa ville natale. Il est décédé le 4 mars 2004…

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Mercredi 9 septembre 2009

Mapping out a cleaner tomorrow

Mapping out a cleaner tomorrow

The European Commission is right to gaze far into the future.

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2/16/11, 10:19 PM CET

Updated 4/12/14, 8:49 PM CET

At a moment when bond markets are baying for the eurozone’s blood and government leaders are fighting over economic reforms, an economic plan for 2050 might sound like a fanciful exercise in star-gazing. But the  Commission’s “roadmap to a low-carbon economy in 2050” is much more important for the coming months and years than that date “2050” might suggest.

The use of the term “roadmap”, though hackneyed, is justified. This is not a 40-year plan. The Commission wants to trace a politically-neutral route on the most cost-effective way to cut emissions, setting out the technical issues rather than demanding political decisions. Officials are at pains to stress that the roadmap sets no targets for governments. Instead, it maps out “milestones”.

The analysis shows that the EU will have to cut its domestic emissions by around 80% by 2050 (compared to 1990 levels). But the cuts will not be spread equally around the economy, because different sectors offer different possibilities to become green. Power companies will be expected to lead the way. Already in the vanguard as frontrunners in the EU’s emissions-trading system (ETS), energy companies are expected to cut carbon-dioxide emissions by up to 99% by 2050.

A transformation is also expected of the industrial sector, which is expected to cut emissions by around 83%-89% in the same period. By contrast, agriculture – where the possibilities to cut emissions run into the limitations of a cow’s digestive tract – is expected to reduce emissions by 49% by 2050. This means that agriculture would represent one-third of EU emissions by the middle of the century, so putting its carbon footprint more under the spotlight.

But the most immediate, tough question is about the transport sector, the only part of the economy where emissions have gone up since 1990. In the short term, this trend could continue. Carbon emissions from transport (excluding shipping) could increase by 20% until 2030, according to this analysis. But the Commission hedges its bets: another possibility is a reduction in emissions of 17% by 2030. The uncertainty reflects doubts about transport technologies, especially electric cars. The Commission paper sees “a compelling case” for the EU to speed up the development of an electrified transport system. Otherwise the EU will come to rely heavily on biofuel to meet transport targets. Here, the paper sounds a sceptical note. Beyond a certain threshold, biofuel could lead to “increased pressures” on land use, water, biodiversity and environment, it states.

Transport

More detailed thinking on transport will come with the publication of the Commission’s transport white paper. This was to have been published on 8 March with the low-carbon economy roadmap, but has been delayed until the end of the month. (The transport white paper also covers non-related issues, such as passenger rights and the single market, which was too much for the Commission’s internal consultation system to digest in time, according to an official).

The transport paper will be followed later in the year by an “energy roadmap”, which will elaborate how the power generation and transmission system can achieve a low-carbon transformation. These will be the first of many papers from different sectoral interests that are supposed to answer questions about how they can travel down the road mapped out here.

Authors:
Jennifer Rankin 

The not so welcome guest

The not so welcome guest

Who invited Islam Karimov to Brussels?

Updated

Islam Karimov, the president of Uzbekistan, visited Brussels on Monday (24 January) for talks with European Commission and NATO officials, but neither institution wanted to claim credit for initiating the meetings. Karimov met Anders Fogh Rasmussen, NATO’s secretary-general, and José Manuel Barroso, the president of the European Commission. 

“To my knowledge it was NATO and the Belgian authorities who issued the invitation first. We did not make the invitation,” Michael Karnitschnig, a spokesman for Barroso, told EurasiaNet.org, on Thursday (20 January).

On Friday (21 January), Olivier Bailly, a Commission spokesman, said: “President Karimov made this request with the President [Barroso], who decided to accept it.”

Albert II, King of the Belgians, and the Belgian government declined to meet Karimov. So, on reflection, did Herman Van Rompuy, the president of the European Council. Fogh Rasmussen said that Uzbekistan had requested the meeting.

Karimov has been a dictator for two decades, but his misrule came to prominence when the Uzbek authorities mowed down hundreds of protesters in the town of Andijan in 2005. The EU put in place sanctions against Karimov and his entourage, but removed them when its calls for an independent inquiry fell on deaf ears.

This week Barroso was sufficiently embarrassed that he issued a statement which declared that the meeting was “extremely frank and open”. “I have raised all key concerns of Europe, notably regarding human rights and fundamental freedoms, which stand at the heart of EU foreign policy,” the statement said.

However, its message was undermined by the line that Karimov “expressed his commitment to further deepen democratic reforms in Uzbekistan”, which begs the question “further to what?”. Democratic reform has not so far been a feature of Karimov’s two decades of tyranny.

In Tashkent, before his cavalcade drives anywhere, the cars and pedestrians are cleared off the streets. At least Brussels was spared that indignity. However, the two leaders did not appear before the television cameras to answer questions from the press, which is the usual form for such events.

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Bundesliga suspension extended to April 30 due to coronavirus outbreak

With the virus still a major threat across Europe, the league’s postponement will remain in place until the end of next month

The German Football League (DFL) has extended the suspension of the Bundesliga and 2.Bundesliga until April 30 due to the coronavirus pandemic.

A meeting earlier this month initially put the German season on hold until April 2, bringing the Bundesliga in line with the rest of Europe’s so-called “big five” leagues.

However, with the COVID-19 outbreak still causing mass disruptions to everyday life across the world, the DFL has reviewed its stance and ruled out a return for football in the country before the end of April.

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A statement read: “The presidium [of the DFL] is aware that all scenarios and options for action also depend on external factors, on the development of which the DFL and clubs have only limited or no influence at all: among other things, the further spread of the virus and the assessment of the situation by politics.

“Against this background, the presidium of the General Assembly will recommend a further suspension of game operations in the Bundesliga and 2.Bundesliga until at least April 30.”

UEFA’s decision to delay Euro 2020 by 12 months last week has bought extra time for European leagues to conclude their domestic campaigns.

The governing body has asked federations to finish their seasons by June 30, and the DFL is aiming to fulfil that request in order to avoid problems that might bring the existence of some clubs into doubt.

However, this scenario means the remainder of the season could be played behind closed doors.

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The statement continued: “In view of the potentially existential situation of some clubs and because of responsibility for an industry with 56,000 direct and indirect employees, we unanimously target the goal of wanting to finish the season by June 30, as far as this is legally permissible and of course health-justifiable.

“In this regard, the DFL is currently working intensively on concepts to play games at a given time – due to the situation – even without stadium spectators and with a minimal use of workers in the areas of sport, general organisation and the media.

“In contrast to amateur and grassroots sports or other leisure events, only the stadium staff would be employed at this place of work.”

Germany is the third worst affected European nation in terms of confirmed cases during the COVID-19 pandemic, with 31,370 diagnoses. However, there have only been 133 deaths connected with the virus.