Le célèbre saxophoniste Manu Dibango est mort des suites du coronavirus

Manu Dibango, saxophoniste camerounais et légende de l’afro-jazz, est décédé en France des suites du Covid-19 à l’âge de 86 ans, a indiqué mardi à l’AFP Thierry Durepaire, gérant des éditions musicales de l’artiste.

Manu Dibango, saxophoniste camerounais et légende de l'afro-jazz, est décédé en France des suites du Covid-19 à l'âge de 86 ans.

L’auteur d’un des plus grands tubes planétaires de la musique world, “Soul Makossa” (1972), est la première célébrité mondiale à décéder des suites du virus. “Il est décédé au petit matin, dans un hôpital de la région parisienne”, a dit M. Durepaire à l’AFP.”Les obsèques auront lieu dans la stricte intimité familiale, et un hommage lui sera rendu ultérieurement dès que possible“, peut-on lire sur la page Facebook de l’artiste, tenue par son entourage.”Soul Makossa”, le morceau qui l’a fait naître, a connu un étonnant destin. Ce n’était au départ que la face B d’un 45 tours dont le titre phare était un hymne pour l’équipe de foot du Cameroun à l’occasion de la Coupe d’Afrique des Nations.Repéré par des DJs new-yorkais, le titre a connu mille vies. Manu Dibango avait même accusé Michael Jackson de plagiat sur un morceau de l’album “Thriller”. Un accord financier avait finalement été trouvé.Click Here: All Blacks Rugby Jersey

L'épidémie de grippe toujours pas finie

Alors que le nouveau coronavirus poursuit son avancée, l’épidémie de grippe n’est pas encore finie en France métropolitaine, même si elle poursuit son reflux, et a même cessé en Corse.

L’activité grippale diminue dans sept régions de métropole, reste stable dans six autres, tandis que la Corse est passée en phase post-épidémie, selon le point hebdomadaire de l’agence sanitaire Santé publique France.

Le nombre de passage aux urgences pour grippe ou syndrome grippal a diminué de 20% la semaine dernière par rapport à la semaine précédente (4.896 contre 6.143), selon son point hebdomadaire. Le nombre d’hospitalisations après passage aux urgences a reculé dans la même proportion (- 21%).La part de la grippe parmi les visites de SOS Médecins s’est également réduite (- 9%) comme le taux de consultations des médecins généralistes pour ce motif (-3%) d’après le réseau de surveillance Sentinelles.Depuis le 4 novembre 2019, 809 cas graves de grippe admis en réanimation en métropole ont été signalés, dont 29 la semaine dernière. Quatre-vingt-trois de ces patients admis en réanimation sont décédés (10%) : “10 enfants de moins de 15 ans, 36 cas âgés de 15-64 ans et 37 cas âgés de 65 ans et plus“.Pour la bronchiolite, l’agence sanitaire relève notamment la fin de l’épidémie en Centre-Val de Loire et Provence-Alpes-Côte d’Azur, la poursuite de l’épidémie à La Réunion et le passage en post-épidémie à Mayotte.En métropole, les régions les plus touchées par la gastro la semaine dernière étaient: Pays de la Loire (200 nouveaux cas de diarrhée aiguë/100.000 habitants), Hauts-de-France (156) et Provence-Alpes-Côte d’Azur (155).

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Le CoVid-19 va-t-il devenir une maladie saisonnière ?

Un épidémiologiste de l’université de Harvard a déclaré que 40 à 70% de la population adulte mondiale pourrait être infectée par le nouveau coronavirus au cours de l’année à venir, les cas asymptomatiques étant susceptibles de se multiplier, rendant ainsi l’épidémie difficilement maîtrisable. Le risque ? Que le CoVid-19 devienne une maladie saisonnière à part entière.

Sommaire

  1. La menace des formes légères et asymptomatiques
  2. Une théorie qui reste à prouver

Alors que la propagation du

nouveau coronavirus baptisé SARS-CoV2, à l’origine d’une forme de pneumonie plus ou moins grave dénommée CoVid-19, s’accélère, les théories vont bon train. Dernièrement, c’est celle d’un certain Marc Lipsitch qui a déclenché une vague de panique : dans des interviews accordées au

Wall Street Journal, à

The Atlantic et au

Harvard Magazine, cet épidémiologiste de l’université de Harvard aux Etats-Unis a déclaré que 40 à 70% de la population adulte mondiale pourrait être contaminée par le coronavirus au cours de l’année à venir.Le 24 février, il explique à The Atlantic que “l’issue la plus probable” pour cette épidémie, qui a déjà touché plus de 82 000 personnes et entraîné plus de 2800 décès, est qu’elle “finira par ne plus être maîtrisable”. A tel point qu’elle pourrait devenir une

maladie saisonnière à part entière, au même titre que la grippe. Mais comment est-ce possible et doit-on céder à la panique ?La menace des formes légères et asymptomatiquesD’abord, Marc Lipsitch tient à préciser qu’être infecté ne signifie pas développer une forme sévère de la maladie, ni même la développer tout court : “Il est probable que de nombreuses personnes puissent avoir des

symptômes légers, ou qu’elles puissent être

asymptomatiques”, explique-t-il, comme c’est le cas pour la grippe, qui n’entraîne aucun symptôme dans 14% des cas et qui n’est véritablement dangereuse que pour les personnes fragiles. Sauf que ce sont justement ces formes légères ou asymptomatiques qui peuvent être problématiques. Plus difficiles à détecter, elles peuvent contribuer à une plus grande dissémination du virus, la prise en charge des personnes infectées pouvant être retardée. Une récente

étude chinoise a montré qu’un patient, pourtant porteur du coronavirus, avait des résultats de scanner thoracique normaux. Les chercheurs ont conclu en expliquant que si d’autres observations similaires peuvent être faites, “la prévention de l’infection au coronavirus pourrait se révéler difficile”.Lui et d’autres épidémiologistes pensent ainsi que certaines personnes pourraient rester porteuses asymptomatiques et contaminer chaque année d’autres individus lors de la saison froide, les infections virales respiratoires étant particulièrement fréquentes en hiver.Une théorie qui reste à prouverNéanmoins, certains ont trouvé des failles dans la théorie de Marc Lipsitch. Interviewé par le site Atlantico, Stéphane Gayet, médecin des hôpitaux au CHU de Strasbourg, explique : “Les personnes malades diffusent leur virus essentiellement par la toux et les éternuements. Dans le cas d’un individu qui serait atteint de façon asymptomatique, donc d’un sujet qui ne tousserait pas, la dissémination ne pourrait s’effectuer que par la parole ; or, la puissance et la portée des aérosols émis par la parole sont bien plus faibles qu’avec la toux. Cela signifie qu’en l’absence de toux, il faille une étroite proximité, donc une très courte distance entre individus. Et il faut encore ajouter que l’intensité de la production de particules virales est liée à l’intensité de l’infection : plus on est malade et plus on est contagieux.”Toujours est-il que sur

son compte Twitter, l’épidémiologiste soutient que “la plupart des choses que nous pouvons faire pour ralentir la propagation du virus – isolement, mise en quarantaine, distanciation sociale, annulation des rassemblements publics, traitements antiviraux – ne peuvent être que temporaire. […]

Les vaccins, s’ils deviennent disponibles, pourraient constituer une solution à long terme“. Plusieurs laboratoires à travers le monde sont déjà sur le coup.Click Here: los jaguares argentina

Aux Etats-Unis, la télémédecine peut aider les femmes enceintes à gérer leur dépendance aux opiacés

Une récente recherche américaine cite les bienfaits de la télémédecine sur les femmes enceintes souffrant de dépendance aux médicaments opiacés. Les téléconsultations ont permis à près de 100 patientes de bénéficier d’un suivi médical globalement similaire à celui effectué directement en cabinet, montre l’étude.

Sommaire

  1. Pas de différence significative entre les deux modes de consultation

En France, comme aux Etats-Unis, la

télémédecine s’avère précieuse pour combler les

déserts médicaux. Une étude récemment parue dans 

Jama Network Open montre que ce type de consultation (effectuée à distance via un ordinateur) encourage les femmes à aborder le problème de

dépendance aux opiacés, véritable crise sanitaire aux Etats-Unis qui fait encore l’objet de nombreux tabous, en particulier au cours de la grossesse.Aux Etats-Unis, le nombre de

femmes enceintes dépendantes aux opiacés a triplé dans au moins 28 Etats, entre 1999 et 2014, selon un rapport des 

centres de contrôle et de prévention des maladies. Un constat inquiétant quand on sait que la consommation d’opiacés pendant la grossesse peut produire de nombreux effets délétères pour la santé de la femme enceinte et celle de son futur enfant :

mauvaise croissance du fœtus,

naissances prématurées, anomalies congénitales et

syndrome d’abstinence néonatale, un trouble qui nécessite un sevrage dès la naissance de l’enfant. Dans cette étude, la psychiatre Constance Guille, professeure associée au département de psychiatrie et de sciences comportementales de l’université médicale de Caroline du Sud et directrice de la recherche, rappelle que moins de 20% des Américaines concernées par la dépendance aux opiacés bénéficient d’une prise en charge médicale. Son équipe a étudié les meilleurs moyens d’aider les femmes souffrant de troubles liés à l’utilisation d’opioïdes pendant et après la grossesse.Pas de différence significative entre les deux modes de consultationLe traitement des troubles liés à la consommation d’opiacés, qu’il y ait grossesse ou non, implique souvent un traitement associant médicaments et conseils et peut donc se délivrer par le biais de la télémédecine. Une expérience menée dans quatre cabinets d’obstétriciens auprès de 98 femmes dépendantes aux opiacés a permis de déterminer si les futures mamans qui recourent à des téléconsultations recevaient la même qualité de traitement que lors des visites médicales classiques.Après un premier rendez-vous en cabinet obligatoire, ces femmes ont continué leurs consultations via la télémédecine. L’équipe de Constance Guille a constaté qu’il n’y avait pas de différence statistiquement significative sur la santé de la mère et le nouveau-né entre les femmes qui ont consulté à distance pendant et après leur grossesse et celles qui ont continué à se rendre physiquement chez leur médecin (80,4% contre 92,7%). “La télémédecine peut fournir une solution évolutive pour mettre à la disposition des femmes enceintes un traitement qui leur sauvera la vie, afin de réduire la morbidité et la mortalité maternelles associées aux troubles liés à l’utilisation d’opiacés et d’améliorer la santé maternelle et infantile“, conclut l’étude.

Des chercheurs identifient une émotion spécifique liée à la dépendance au tabac

Les émotions négatives telles que la tristesse, le stress ou l’anxiété ouvrent-elles une porte à la consommation de substances addictives telles que la cigarette ? Une méta-analyse conduite par des chercheurs à l’université de Harvard (Etats-Unis)s’est penchée sur la question.

Cette méta-analyse aboutit à la conclusion selon laquelle la tristesse, plus que toute autre émotion négative, augmente l'envie de fumer et le risque de rechute.

Si stopper la cigarette figure souvent dans le top des bonnes résolutions de début d’année, s’arrêter de fumer s’avère pourtant loin d’être facile. Mais qu’est-ce qui pousse exactement à allumer une cigarette, même après avoir réussi à raccrocher pendant des années ? 

Pour cette nouvelle recherche publiée dans la revue 

Proceedings of the National Academy Sciences, des chercheurs de l’université d’Harvard ont exploré quatre études consacrées au sujet afin de déterminer si certaines émotions négatives telles que le stress, la contrariété, la colère ou la tristesse pouvaient amplifier la dépendance au tabac. Les recherches ont été effectuées à partir de données issues d’une enquête nationale menée auprès de plus de 10.000 personnes sur une période de 20 ans et comprenaient notamment des tests de laboratoire examinant les réactions des fumeurs actuels aux émotions négatives à travers des expériences écrites et vidéos. Les quatre recherches analysées ici arrivent toutes à la même conclusion : la tristesse, plus que toute autre émotion négative, augmente l’envie de fumer ainsi que le risque de rechute une ou deux décennies plus tard. 
La sagesse populaire consiste à dire que tout type de sentiments négatifs, que ce soit la colère, le dégoût, le stress, la tristesse, la peur ou la honte, rendrait les individus plus susceptibles de consommer une drogue qui crée une dépendance. Mais nos travaux suggèrent que la réalité est beaucoup plus nuancée“, commente dans un communiqué Charles A. Dorison, auteur principal de la recherche.
Jennifer Lerner, co-fondatrice du Harvard Decision Science Laboratory et co-autrice de l’étude, estime que les données décrites dans cette recherche pourraient avoir des répercussions utiles sur les politiques de prévention en santé publique. Les campagnes de sensibilisation anti-tabac actuelles pourraient par exemple être repensées afin d’éviter les images qui provoquent de la tristesse et augmentent ainsi involontairement l’envie de fumer chez les consommateurs de cigarette, suggère la chercheuse. 

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La santé passe en tête des priorités des Français devant le chômage

La santé publique est devenue pour la première fois la priorité des Français devant l’emploi et la lutte contre le chômage, constate jeudi le baromètre Kantar, réalisé tous les ans depuis 2004 pour l’institut Paul Delouvrier.

Alors que l’hôpital public fait l’objet d’un mouvement de contestation depuis bientôt 9 mois, la santé publique est jugée prioritaire par 46% des Français, devant l’emploi (40%), l’éducation nationale (34%) et l’environnement (31%).Les Français n’ont jamais été aussi nombreux à estimer que les pouvoirs publics doivent agir dans la santé, relève l’Institut Paul Delouvrier, une association qui oeuvre pour la modernisation des services publics. Ainsi, alors que le niveau de satisfaction des usagers du service public progresse dans quasiment tous les domaines (74% de satisfaits, +3 points), il régresse en ce qui concerne la santé publique (78% de satisfaits, en baisse de 3 points) et la sécurité sociale (77% de satisfaits, en baisse de 2 points). Le recul de satisfaction à l’égard de la santé publique atteint 12 points en dix ans.Après un fléchissement en 2018, le jugement des français sur l’action des pouvoirs publics s’améliore dans la plupart des domaines d’intervention, notamment en ce qui concerne la fiscalité et la collecte de l’impôt. Près d’un an après la mise en place du prélèvement à la source, 50% des Français ont une bonne opinion de l’action de l’État dans ce domaine, soit une hausse de 15 points en un an.L’environnement a passé un cap dans l’opinion: il est passé en trois ans de la 10e à la 4e place des priorités. Chez les moins de 25 ans, l’environnement arrive même nettement en tête, cité par 44% des jeunes devant l’éducation et la santé publique. Dans 5 régions, l’environnement se place même en 3e position (Nouvelle-Aquitaine, Grand Est, Hauts-de-France, Bourgogne-Franche-Comté et Occitanie.Globalement, 53% des Français disent aujourd’hui préférer une amélioration des services publics, quitte à augmenter le niveau de l’impôt. Cette préférence est en hausse depuis 6 ans, à l’exception notable de 2018, où le baromètre avait enregistré une préférence pour la baisse des prélèvements, quelques semaines avant la crise des gilets jaunes.Un an après, la préférence pour l’amélioration des services publics s’accentue et atteint son plus haut niveau depuis 15 ans, en particulier auprès des jeunes. L’enquête a été réalisée sur internet du 25 octobre au 7 novembre auprès d’un échantillon national de 2.500 personnes représentatif des résidents en France de 15 ans et plus.Click Here: cheap nrl jerseys

Miss France, deuxième plus belle femme du monde

C’est ce que l’on appelle un joli parcours: Miss France 2013 vient d’être élue première dauphine de Miss Monde au cours d’une cérémonie sur l’ile indonésienne de Bali. Elle a été devancée par Miss Philippines qui a remporté le titre de Miss Monde.

Marine Lorphelin retrouve sa mère à sa descente de l'avion en provenance de Bali.

Elle faisait partie des favorites mais personne n’osait espérer un tel résultat. Marine Lorphelin, Miss France 2013, a été élue deuxième plus belle femme au monde parmi 128 autres candidates.Notre jolie frenchy a été devancée par Megan Young, Miss Philippine, qui a obtenu la couronne de Miss Monde. Miss Ghana quant à elle est arrivée juste derrière notre miss et a reçu le titre de deuxième dauphine.En soixante ans, Marine Lorphelin est seulement la troisième Miss France à se classer dans le top 3 du concours Miss Monde : un bel exploit !On comprend pourquoi la jeune femme, qui souhaite toujours reprendre ses études de médecine, a déjà décroché des contrats publicitaires dans la mode. Cet hiver, la brunette incarnera les collections Automne-Hiver 2013-2014 de Cosmoparis.Anne-Sophie SavenierClick Here: cheap all stars rugby jersey

Gingembre et café : le cocktail anti-cancer ?

Le rôle de l’alimentation dans la protection contre lecancer n’est plus à démontrer. D’autantplus lorsqu’il s’agit d’atteintes digestives,telles que le cancer colorectal. Deux nouveaux aliments auraient unrôle bénéfique dans la prévention de cetype de tumeur. Le premier est le gingembre. Une étudeaméricaine vient en effet de démontrerl’intérêt de cette racine connue pourd’autres vertus plus triviales… Celle-ci permettrait deralentir la progression du cancer, du moins chez les souris. Unautre aliment qui semble jouer un rôle dans laprévention du cancer est… le café ! Ce breuvageaurait en effet des vertus antioxydantes qui en feraient unallié santé de choix. Selon une étudeaméricaine, l’expresso serait même la forme decafé à préférer entre toutes. Certes,les travaux ont une fois de plus été menés surdes rongeurs. Si café et gingembre attendent de faire leurspreuves chez l’homme, fruits et légumes ont euxprouvé depuis longtemps leurs vertus protectrices.
Sources :
Communiqué de l’association américaine derecherche contre le cancer,
Journal of Agricultural and Food Chemistry, novembre 2003 ; vol. 51: p. 6861 – 6869.

Stay-At-Home Coronavirus Order Issued For New York State: Cuomo

NEW YORK CITY — New York will go under a stay-at-home order after Gov. Andrew Cuomo issued an executive order that goes into effect Sunday.

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“We’re going to take it to the ultimate step,” Cuomo said Friday. “We’re going to close the [density] valve.”

He denied it was “shelter in place,” but the rules are similar to an order that was initially called that was put in place in San Francisco limiting outdoor activity to the essentials: grocery shopping, getting medication and exercise and pet walking, for example. California later changed the name to a “stay-at-home” order.

“Words matter,” Cuomo said. “The quote-unquote policy was never shelter-in-place.”

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Instead, New Yorkers will be told to PAUSE.

Under the policy, only essential businesses — health care workers, food suppliers, pharmacies, utilities — can have commuting workers, Cuomo said.

Essential services allowed to remain open will include grocery stores, pharmacies, restaurants for takeout orders, banks, public transit and internet service providers, which will increase data capacity at no charge to accommodate people working from home.

“We have to do it,” said Cuomo. “Everyone has personal liberty. But everyone has a responsibility to everyone else.”

Seniors over 70 face the strictest rules that keep them indoors.

“The No. 1 opportunity is to flatten the curve. The best way to do that is by controlling density,” said Cuomo.

Read More: Coronavirus Stay-At Home Order In NY: What Does It Mean?

Non-vulnerable populations are ordered to cancel gatherings and keep at least 6 feet away from others, and sick New Yorkers must stay home.

New York law officials will enforce the order with civil fines for businesses and citizens told to return home.

“This is not voluntary, it’s not helpful hints,” Cuomo said. “There can be mandatory closures for businesses that don’t comply.”

New Jersey and Connecticut may issue similar “pause” orders later Friday, Cuomo said.

New York City Mayor Bill de Blasio, who called New York City the epicenter of the COVID-19 crisis, ordered 250,000 city workers to begin working remotely Friday, among them the staff of the now-closed marriage bureau.

The number of COVID-19 cases in New York City reached 4,408, with 1,939 newly positive test results, Cuomo said. There were 7,102 in the state.

Cuomo said the order came as New York State faces a outbreak that could overwhelm the health care system facing mass shortages of medical supplies.

New York’s case numbers are going up at double the capacity of the hospital system and triple the capacity of the ICU beds, fitted with equipment that helps COVID-19 patients breathe, said Cuomo.

“We can’t get more ventilators,” said Cuomo. “The only option available to us is to reduce the spread.”

Coronavirus In NYC: What’s Happened And What You Need To Know

First CA Coronavirus Death Reported In Northern California

PLACER COUNTY, CA — An elderly person in Placer County with underlying health conditions has died from COVID-19, the illness caused by the new coronavirus, officials announced Wednesday. The death is the first in California caused by the virus, and the 11th total in the United States.

The patient, whose age and gender were not disclosed, tested presumptively positive Tuesday after having likely been exposed on a round-trip Princess cruise between San Francisco and Mexico from Feb. 11 to 21, Placer County officials said in a statement.

The patient was being kept in isolation at Kaiser Permanente Roseville Medical Center.

“We extend our deepest condolences to the loved ones of this patient,” Placer County Health Officer Dr. Aimee Sisson said in a statement. “While we have expected more cases, this death is an unfortunate milestone in our efforts to fight this disease, and one that we never wanted to see.”

The person had “minimal community exposure” in the six days between when they returned from the cruise and when they were taken to the hospital in an ambulance Thursday, according to a preliminary investigation by health officials.

People who did come into contact with the patient — 10 Kaiser Permanente health care workers and five emergency responders — are now in quarantine, officials said. They are not experiencing symptoms, officials said.

In a statement, Gov. Gavin Newsom said state and federal officials were working to trace the contacts of all people who were exposed to the patient.

Other cruise passengers may also have been exposed, and officials are working to identify and contact them. A health officer for the Grand Princess ship, currently en route to Mexico, told passengers Wednesday morning that the ship would return to San Francisco.

Outside California, all U.S. deaths from COVID-19 had previously been limited to Washington state, where an outbreak in the Seattle area has caused 10 deaths — many of them linked to an elder care facility in the city of Kirkland.

Also on Wednesday, Los Angeles County declared a state of emergency after announcing six new COVID-19 cases.

To help vulnerable people stay safe, Placer County health officials urged them to stay home as much as possible, turn away visitors who are showing symptoms of their own, wash hands regularly and avoid contact with people and common surfaces when leaving the house.

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