Touchés par la grasse

Des chirurgiens esthétiques américains viennent de serendre compte que les tonnes de gras jetés pendantprès de 30 ans de liposuccion pourraient bien cacher unvéritable trésor. En effet, des cellules souchescapables de se transformer en différents tissus (cellulesmultipotentes) s’y cacheraient. Egalement appeléescellules de l’espoir, ces cellules magiques ne semblent pasaussi performantes que celles de l’embryon. Néanmoins,on comprend aisément que leur utilisation poserait moins deproblèmes éthiques.
Placés dans un environnement riche en calcium, phosphate ouvitamine D, ces cellules multipotentes se sont transforméesen os, cartilage ou en gras. Désormais, les scientifiquescherchent à savoir si les cellules souches issues degraisses de rat peuvent être reprogrammées si ellessont implantées dans différentes parties du corps del’animal.
Parmi les applications envisagées, les chercheurs citent lareconstruction mammaire. Mais avant de pouvoir trouver une possibleapplication à l’épidémie mondialed’obésité, de plus amples recherches devrontêtre entreprises chez d’autres mammifères avantd’espérer les premiers tests chez l’hommed’ici 5 ans pour les plus optimistes…
Source : Tissue Engineering, Vol. 7, n°2, pp:211-228Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape Backpacks

Greffes : un nouveau procédé permet de conserver les organes en vie

Une greffe prend souvent l’aspect d’unevéritable course contre la montre. Les organes du donneursont conservés et transportés dans la glace avantd’être transplantés, le tout dans undélai extrêmement court. Ce temps varie en fonction dugreffon : quatre à six heures pour un cœur, douzeheures pour un foie, etc. Ainsi, alors qu’il existe unedramatique pénurie d’organes, des centaines degreffons sont perdus chaque année faute de temps…
Mais cette regrettable contrainte pourrait bientôt êtrelevée. En effet, le chercheur Waleed Hassanein de la firmeTransmedics aurait mis au point un système portatifpermettant de conserver en vie des organes entre 36 et 48 heures.De plus, le système maintient les organes en pleinfonctionnement grâce à un apport enéléments nutritifs et une élimination desdéchets : ainsi le cœur continue de battre, le reinà produire de l’urine, le foie de la bile, etc. Cetteactivité extra-corporelle permettrait ainsi aux chirurgiensd’estimer rapidement la viabilité del’organe.
Le 22 juin 2001, l’Etablissement français des greffesa organisé la 1ère journée nationale deréflexion sur le don et la greffe. Le bilan de cettejournée d’information s’avèredéjà positif avec 49 % des françaissensibilisés par cet événement. Mais desprogrès restent à faire. Au 31 décembre 2000,plus de 6 036 personnes étaient en attente de greffes et 234sont mortes faute d’organes disponibles.
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Pas de ceinture à l’arrière, risques à l’avant

En voiture, il est essentiel pour le conducteur et le passageravant que les ceintures soient bouclées… àl’arrière ! C’est la conclusion plutôtsurprenante d’une étude japonaise.
Selon ces travaux, le fait que les passagers arrièreattachent leur ceinture réduit de 80 % le risque dedécès de ceux placés à l’avant,même s’ils portent leur ceinture. Pour arriver àcette conclusion, les chercheurs ont épluché lesdonnées de plus de 10 000 accidents de la route. Ils onttrouvé un risque de décès multiplié parcinq lorsque personne n’était attaché sur labanquette.
Selon eux, 80 % des décès auraient pu êtreévités grâce à un simple clic. Rappelonsqu’en France, le non-port de ceinture, à l’avantcomme à l’arrière, est passible du retraitd’un point sur le permis du conducteur et de 35 €urosd’amende au contrevenant. Alors àl’arrière comme à l’avant, bouclez-la!
Source : Lancet, janvier 2002 ; vol. 359 : p.43-44.Click Here: gold coast suns 2019 guernsey

Au boulot, jouez aux Legos !

Pour motiver leurs cadres, les entreprises fontgénéralement preuve d’imagination. Après lesannées saut à l’élastique,connaîtra-t-on demain les années Lego ? Ce jeu quel’on réservait aux enfants fait son entrée dans lemonde du travail, pour stimuler le personnel et améliorerles stratégies ! C’est du moins ce que prétend cettefirme, qui s’est associé à une autresociété, Executive Discovery, pour développerune branche “ Serious Play “ ; en clair, le jeu destiné auadultes. Selon cette société “ l’apprentissage qui seproduit durant le jeu entraîne une compréhension plusprofonde et plus significative du monde et de sespossibilités “ ! Ils proposent ainsi de nombreux kits dedécors et de personnages Lego accompagnés de manuelsd’utilisation. Deux axes sont proposés : la “ Real TimeStrategy “, pour apprendre à plusieurs collaborateurscomment mettre en place des stratégies, notamment faceà des situations critiques et le “ Real Time Identity “censé permettre à un employé de mieux seconnaître, s’intégrer et communiquer avec les autres.Et apparemment cela marche ! On peut ainsi lire sur le siteInternet le témoignage de Jean-Louis Cheyrou, cadre chezTetra Pack France : “ Lego Serious Play a changé notremanière de travailler “ ! Alors n’hésitez pasà jouer aux Legos durant vos heures de travail : si l’onvous fait une remarque, vous pourrez affirmer que c’est pourdévelopper votre efficacité…Click Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Droits des malades : la loi Kouchner a un an

La loi “relative aux droits des malades et à laqualité du système de santé“ adoptée le4 mars 2002 et soutenue par Bernard Kouchner, alors Ministre de laSanté, constituait l’un des joyaux du bilan dugouvernement Jospin. Cette petite révolution dans lesrapports entre le corps médical et les patients couronnaitcinq années d’efforts. Entre autres mesures,l’accès direct au dossier médical devaitêtre facilité, les procéduresd’indemnisation des victimes des aléasthérapeutiques accélérées et laparticipation des associations de malades à des Commissionsrégionales de conciliation et d’indemnisationreconnue.
Un an plus tard la loi n’est que partiellementappliquée en raison des retards pris par la nouvellemajorité pour promulguer les décrets. Lesassociations rassemblées au sein du Collectifinterassociatif sur la santé (CISS) ont fait part de leursinquiétudes lors d’une entrevue àJean-François Mattéi, le Ministre de la Santépar la voix de leur représentant Alain-Michel Ceretti.
Seul point de satisfaction immédiat : le déblocagecette semaine des décrets concernant l’indemnisationdes accidents médicaux. Un numéro vert vientd’être mis à la disposition des victimes parl’ONIAM (Office national d’indemnisation des accidentsmédicaux) pour faire enregistrer leur demande. Les accidentsdoivent s’être produits après le 4 septembre2001.
Numéro vert : 0 800 779 887
Source : conférence du CISS du 3 mars surla loi du 4 mars 2002Click Here: geelong cats guernsey 2019

La rougeole contre-attaque !

Nous ne vaccinons pas assez nos enfants contre la rougeole ! Des épidémies seraient sur le point de ressurgir ! L’Institut de veille sanitaire tire ainsi le signal d’alarme : le taux de vaccination en France serait en effet beaucoup trop faible. Petite piqûre de rappel…

Vous n’avez pas eu la rougeole étant petit ? Normal, vousavez certainement été vacciné. Mais ce n’estpas le cas de nombreux bambins aujourd’hui. Résultat : cettemaladie tente un come-back.Bébé voit rougeMais au fait, qu’est-ce que la rougeole ? Il s’agit d’une infectionpar un virus particulier, le paramyxovirus. La contamination sefait par la projection de gouttelettes de salive (toux,éternuements…) et le temps d’incubation est de 10 jours.Le malade est contagieux plusieurs jours avant l’apparition dessymptômes. Les principales victimes sont les enfants. Lessignes sont les suivants : forte fièvre, conjonctivite,écoulement nasal, toux, diarrhées, vomissements… etbien sur l’éruption cutanée. Il s’agit de plaquesrouges qui apparaissent sur la peau et vont s’étendreprogressivement sur tous le corps. Au bout d’une dizaine de jours,les plaques disparaissent et l’enfant guérit. Mais larougeole peut entraîner des complications plus ou moinsgraves : pneumopathies, encéphalite… D’ailleurs, larougeole reste la première cause de maladie infantileévitable dans le monde, avec 777 000 décès paran.Le ROR en grève…Pour protéger les enfants, un vaccin est pourtant disponibleen France depuis 1966. Il a d’ailleurs été introduitdans le calendrier vaccinal en 1983, puis a étéassocié à ceux contre la rubéole et lesoreillons : le fameux ROR. Celui-ci doit êtreadministré entre 12 et 15 mois, avec un rappel entre 11 et13 ans. Aujourd’hui, la couverture vaccinale (pourcentage d’enfantsqui l’ont reçu) est de 84,6 % à deux ans, de 92 %à 4 ans et atteint 94 % à 6 ans. Or ce n’estmalheureusement pas suffisant pour éradiquer la maladie.Car, comme le souligne l’Organisation Mondiale de la Santé,il faut que plus de 95 % des gens soient protégéspour que le virus ne puissent plus contaminer personne (y comprisles rares non vaccinés).Allumer le feuSelon l’Institut de Veille Sanitaire, la France est même enpasse de voir réapparaître les épidémiesde rougeole, qui touchent plusieurs milliers de personnes. Certainspays, tels que la Suisse et l’Italie, ont déjà connuce type de retour en arrière en 2002 et 2003. Il existeraitd’ailleurs en France des grandes différences de couverturevaccinale selon les régions. Le Sud serait ainsi sous lamenace d’une épidémie, les enfants vaccinés yseraient beaucoup moins nombreux (59 % de couverture vaccinaleà deux ans dans les Alpes-de-Haute-Provence). Car une faiblecouverture vaccinale entraîne, au fil des ans, l’accumulationd’une sorte de “réservoir“ de personnes nonprotégées. Lorsque le virus contamine l’un d’eux,cela va alors être comme l’étincelle qui met le feuaux poudres…Comment éviter le retour des épidémies, etprotéger ses enfants ? Un groupe de travail sur la rougeoleétudie les modifications éventuelles desmodalités de vaccination et le calendrier. En outre, denouveaux moyens de surveillance des cas de rougeole, et unemeilleure prévention de la transmission sont àl’étude. Mais la principale mesure pour l’instant reste debien vacciner ses enfants dans les temps !Alain SousaClick Here: Cardiff Blues Store

La loi anti-tabac fait débat

Le tabagisme passif est responsable de plus de 3 000 morts par an. Malgré ce constat, la loi interdisant de fumer dans les lieux publics n’a pas réussi à séduire les élus de l’Assemblée nationale. Tous les espoirs des associations se tournent alors vers le gouvernement…

Face aux méfaits du tabagisme passif, les Français approuvent en majorité une interdiction totale de fumer dans les lieux publics. Malgré ce soutien populaire et la proposition de loi du député Yves Bur, la majorité boude la proposition d’une loi prohibitive.
Le député Yves Bur à court de cartouche…
En pratique, cela reste assez simple et la modification du code de la santé publique demandée par le député UMP Yves Bur (1) tient en trois lignes “Il est interdit de fumer dans tous les lieux fermés et couverts qui accueillent du public ou qui constituent un lieu de travail, ainsi que dans l’enceinte des établissements d’enseignement et d’éducation“. Mais dans les faits, ce texte peine à séduire dans son propre camp politique et l’on ne sait pas quand ce texte sera soumis à l’Assemblée nationale. “Mieux vaut se donner le temps d’appliquer la loi Evin avant de nous munir d’un nouveau texte législatif sur le sujet“ entonne en choeur les députés de la majorité. Un discours étonnamment proche de celui de René Le Pape, président de la Confédération des débitants de tabac (2) qui dénonce un coup médiatique et lance la menace de nouvelles manifestations des buralistes. De son côté, l’Union des métiers de l’industrie de l’hôtellerie (Umih, dont l’un des partenaires n’est autre que le cigarettier Altadis) s’appuie sur un sondage Ifop selon lequel “70 % des personnes interrogées affirme que la cohabitation entre fumeurs et non-fumeurs est possible et souhaitable“ (3)…
Face au lobby pesant de ces “relais d’opinion“, la majorité estime ainsi qu’il est urgent d’attendre et disent préférer, dans ce domaine, “l’éducation et la prévention à la répression“. Pourtant, une interdiction totale de fumer dans les lieux publics se justifie aujourd’hui à plus d’un titre.
Les Français largement favorables à une telle interdiction
Chaque année, 3 000 à 5 000 non-fumeurs meurent en France du tabagisme passif. Face à ce fléau, la législation actuelle a démontré ses limites :
– La loi Evin de janvier 1991 interdisant de fumer dans les lieux publics en dehors des zones réservées aux fumeurs n’est pas respectée dans 60 % des cafés et restaurants qui enfreignent la loi, selon un sondage réalisé pour le compte des associations de lutte contre le tabagisme passif.
– L’arrêt de la Cour de cassation de juin 2005 obligeant les employeurs à protéger les salariés du tabagisme reste en grande partie lettre morte. Selon un sondage en juillet 2005, moins d’u quart des Français (23 %) rapportent une stricte application de la loi Evin dans leur entreprise et 21 % déclaraient qu’il n’est pas interdit d’y fumer (4).
L’interdiction totale de fumer dans les lieux publics aurait permis de faire avancer la protection des non-fumeurs. De plus, cet argument s’avère largement partagé par l’ensemble des Français. Selon une enquête Ifop/Journal du dimanche (5), 80 % des Français (88 % des non-fumeurs et 56 % des fumeurs) sont favorables à une interdiction totale de fumer dans les lieux de travail et les lieux accueillant du public.
Enfin, il ne serait pas étonnant qu’apparaissent bientôt des procès des quelques 800 000 employés de restaurants, cafés, bars, ou discothèques, particulièrement exposés aux dangers du tabagisme passif. Ces arguments sanitaires, politiques et juridiques ont séduit plusieurs pays qui ont adopté une loi prohibitive.
La France restera-t-elle à la traîne de l’Europe ?
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L’Irlande a été le premier pays à imposer une telle interdiction en mars 2004. Selon la Société irlandaise du Cancer, plus d’une personne sur dix a décidé d’arrêter de fumer en raison de cette nouvelle loi et le nombre de fumeurs qui sont parvenus à arrêter a augmenté d’un tiers. La protection des personnes non-fumeuses travaillant dans les bars s’est largement amélioré. En janvier 2005, l’Italie bannissait la fumée des lieux publics, suivie par la Suède en juin 2005. Seule l’Angleterre n’aboutissait fin octobre 2005 qu’à une interdiction partielle qui ne satisfait personne et surtout pas le Collège royal de médecine (6).
En France, plusieurs questions subsistent : quand cette proposition de loi sera-t-elle mise à l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale ? Les députés sauront-ils juger de l’importance d’une telle mesure ? Sauront-ils faire preuve de courage politique au risque de décevoir certains de leurs électeurs mais de satisfaire 80 % des Français ? Le gouvernement sera-t-il prêt à entamer un bras de fer avec les débitants de tabac, cafetiers et restaurateurs ? Malgré un important soutien populaire, rien n’est moins sûr… comme en témoigne aujourd’hui le manque de soutien de l’UMP à la proposition d’Yves Bur. De leur côté, les associations s’insurgent et estime que le gouvernement se prépare dans les années à venir, un scandale de l’air contaminé. Affaire à suivre…
David Bême
1 – Le 27 octobre 2005, le député Yves Bur a présente un amendement qui rabaisse de 2 kg à 200 grammes la quantité de tabac qu’un particulier peut rapporter en France, soit l’équivalent d’une cartouche au lieu de dix. En attendant la décision du Sénat, cette décision prise à l’unanimité avait l’avantage de séduire les buralistes, handicapés par le tourisme tabagique vers des pays frontaliers où le prix du paquet est jusqu’à 50 % moins cher. Amendement n° 51 présenté par M. Bur de la loi de financement de la sécurité sociale2 – Communiqué de la Confédération des débitants de tabac de France – 1er août 20053 – Communiqué de l’Umih du 2 novembre 20054 – Communiqué Pfizer du 19 septembre 20055 – enquête Ifop/Journal du dimanche du 30 octobre 20056 – Royal College of Physicians du 26 octobre 2005

When Coaches Bully: It Happens To Millions Of Youth Athletes

CANTON, OH — Three star athletes on an Ohio high school basketball team consider Paul Wackerly a bully, and if he was a teacher or even a 14-year-old student, there’d be little doubt that school officials would come down on him, and hard.

The three girls say that on the court, Wackerly called them disappointments, retards and worse — in tirades raining with clusters of F-Bombs and even threatening them physically.

The Ohio High School Athletic Association said that, mostly, Wackerly’s behavior was OK for one main reason: He’s not a kid; he’s a coach.

Bullying by a coach, according to its ruling, is not sufficient cause for a player to transfer to another school with the right to play a full season.

Around the country, millions of students report the same: Their coaches get away with not only bullying them verbally, but frequently physically, with slaps and kicks.

In the Ohio case, three senior basketball players — Addison Mucci, Erica Warren and Hayley Smith — said they transferred from GlenOak High School to escape Wackerly’s bullying, and are in court this week appealing the athletic association ruling that benches them for the second half of the season. The abuse, they said, began when they were freshmen.

If the court doesn’t see it their way, their season will be over Monday.

Their case highlights a key question facing educators and students around the country: Where does a coach cross the line that separates demanding coaching in a competitive, aggressive sport from flat-out bullying? It’s a pervasive problem, according to published research, affecting millions of kids every year.


Have you had experience with bullying coaches? Tell us about in the comments.


Parents of the three high school athletes say Wackerly, the athletic association’s 2019 “coach of the year,” crosses the line — regularly.

“People commenting on social media don’t understand the full story,” Jennifer Mucci, Addison’s mother, told Patch. “They say we’re helicopter parents protecting our snowflakes.

“These girls work hard; they’re driven,” Mucci said, pointing out they’ve played together since they were in elementary school and took a perfect 157-0 record to Wackerly’s program. “You don’t have that kind of record if you’re snowflakes.”

Addison’s confidence comes from pushing herself hard on the basketball court, but her mom said she saw that wilt “when Wackerly got his hands on her.”

“She got tired of being called a f—–g p—y, a f—–g disappointment, a f—–g retard,” Mucci said. “For three years, we stood behind that damned coach. These are amazing women who have been talked down to, belittled and berated over sports.”

Kara Smith, Hayley’s mother, said the coach’s treatment went beyond swearing at the girls.

According to court documents, Wackerly told Hayley when she was a freshman “that he had more knowledge in his pinky than her whole effing body, and that he will shove his hand up her ass and rip her heart out and stomp on it.”

It got to the point, Hayley’s mother said, “that I had to lay in bed with her and sing motivational songs, and send her motivational quotes during the day.”

The three basketball standouts helped lead the GlenOak Golden Eagles to a 23-3 season record last year under Wackerly. They earned a trip to the Final Four at the state tournament.

In June, they decided they’d had enough. They took their chances on the transfer rather than what they felt was the certainty of further abuse.

How Often Do Coaches Bully?

Though the Ohio High School Athletic Association’s ruling on the transfer rule hardship exemption, not Wackerly’s conduct, is a central issue in the court case, bullying by coaches is a problem nationwide.

In its report on youth sports bullying, The Washington Post cited a recent survey of 800 youth athletes that found more than a third of them had heard their coaches yell angrily at a kid for making a mistake; another 4 percent reported having seen a coach hit, kick or slap someone on a team. That equates to about 2 million kids a year who experience that kind of treatment from their coaches, the authors noted.

Another report, by Childhelp, found similar results in its pool of five studies: 40 percent to 50 percent of young athletes had experienced anything from mild harassment to severe abuse, and 4 percent reported their coach had hit, kicked or slapped them.

On the coaching side, 8 percent admitted encouraging athletes to hurt their opponents, 33 percent said they’d yelled at players for mistakes and 20 percent said they had made fun of a player with limited skills.

Failure to address bullying — whether on the sports court, classroom or online — can have lifelong consequences for the targets, experts told Patch in its long-running “Menace of Bullies” series.

Their grades can suffer. They’re more likely to struggle with substance abuse and mental health problems that carry over into adulthood. Their relationships can suffer. In some cases they kill themselves. And in some cases, they kill other kids — though research is still emerging on whether there are links between bullying and student suicide and bullying and school shootings.

In sports, “the real issue isn’t the line and one being crossed, but that coaches are still, knowingly or unknowingly, using aggressive or fear-based coaching that research has proven to be inferior to the positive coaching method we promote through PCA,” Ryan Virtue, of the Positive Coaching Alliance-Cleveland, told Patch.

“It’s more widespread than it should be in this day and age,” said Virtue, who isn’t involved in the dispute with the Ohio High School Athletic Association. “A lot of it comes from the simple fact that a lot of coaches played at a high level — they know the game, the drills and the X’s and O’s of it, but they don’t know how to teach it.”

Bullying can happen when the focus is on the win-loss record rather the purpose of high school sports “that will translate to the next step and beyond that, into their professional experiences,” Virtue said.

His organization, which says it has 3,500 partnerships with schools and youth sports organizations that reach 19.2 million kids, takes a research-based approach to coaching that counters the notion that tough, demanding coaches teach kids how to weather life’s storms.

“You hear that all the time, that it’s tough love,” Virtue said. “The important thing with that phrase is the word ‘love.’ If a kid doesn’t feel love, they’re not going to feel tough love.”

Positive coaching is often misunderstood and people often think it “just means soft — sunshine, rainbows, kumbaya and participation trophies, and that positive coaches don’t care about winning,” Virtue said. “Should winning be a goal? Of course, but [the mission of a program] has nothing to do with winning and everything to do with learning life lessons through grit, determination and goal-setting.”

‘Bullying Is Bullying’

The case of the three girls in Ohio has progressed to the Stark County Court of Common Pleas. Here’s how it got there:

The high school sports sanctioning body’s decision that basically gives a pass to bullying coaches was a final blow to the basketball players and their parents.

“Bullying is bullying, no matter who the bully is,” Kisha Warren, Erica’s mother, said. “This is even more concerning since it was a man in a position of authority over our teenage girls.”

Brett May, the Plain Local school superintendent, did not return Patch’s request for comment, but he told the Canton newspaper “he’s still our coach” and that “corrective action” would be taken.

May wrote in a letter obtained by the Repository that the substantiated incidents, including the two that violated board policy on bullying, “appear to be infrequent and do not appear to happen at all (or even most) practices or games.

“It appears that when aggravated over the past few years, the uses of profanity and the critiques viewed as harsh seem to be more pervasive to the players and parents,” the letter continued, along with an admonishment to the coach to stop using profanity and making demeaning comments to the girls he coaches.

Wackerly, who declined to share his side of the story with Patch, told the Canton newspaper the investigation cleared him, that he’d never said anything demeaning to the team, and that his coaching style has been unchanged since he joined the district in 2014 and is “who I am.”

That’s contrary to May’s comments.

Wackerly, who is not a teacher at the school and whose LinkedIn profile lists him as sales manager for a Canton manufacturing company, has compiled a 466-198 win-loss record over his 35-year coaching career. At GlenOak, the Golden Eagles have racked up 106 wins against 31 losses since 2014. The team’s record stands at 9-7 this year.

He also took his North Canton Hoover team to the state championship in 2002.

‘Do The Right Thing’

The Plain Local School District is not a party in the girls’ lawsuit and supports their appeal to the state athletic association, the girls’ attorney, Douglas Bond, told Patch. Wackerly, the coach, also is not named in the lawsuit.

“We’re trying desperately to get everyone simply to do the right thing,” Bond said. “You can’t hear [the girls’] story and have a question about what’s the right thing. Anybody who sees this behavior has to recognize it for what it is. The right thing is there. The Ohio High School Athletic Association has the ability to do the right thing.”

The athletic association did not return a phone call from Patch asking for comment.

Though backing their bid to play a full season, Plain Local school administrators turned their backs on the girls, their mothers said.

Other families sent letters of support, “but began to defect because they didn’t think [Wackerly] would get fired, and they didn’t want to leave their girls out to dry,” Mucci said. “But how can this school keep someone like this?”

In a story so stark, there’s also not-so-subtle irony: the Three girls, not yet in college, are facing another form of bullying, this from the very families their lawsuit could help.

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“They’ve done a wonderful job making new friends, but it’s very difficult to have parents and people at GlenOak saying bad things about them,” Kara Smith said. “They were the three leaders on the team, and they were sticking up not just for themselves but the entire team. The entire team was tired of it, but they are the ones who stood up.”


As part of a national reporting project, Patch has been looking at society’s roles and responsibilities in bullying and a child’s unthinkable decision to end their own life in hopes we might offer solutions that save lives.

Do you have a story to tell? Are you concerned about how your local schools handle bullies and their victims?

Email us at [email protected] and share your views in the comments.

Selected Stories From The Project

Video: Thanksgiving Dinner Served On L Train

NEW YORK CITY — If you can’t always give thanks for the subway, at least you can give thanks on the subway.

L train straphangers served up a massive Thanksgiving dinner on a Brooklyn L train Sunday night, according to video taken by Andrew Toranzo on his way home.

“[I] randomly came across this group serving thanksgiving dishes to everyone,” Toranzo told Patch via Instagram. “Never saw so many people smiling on the subway before!!”

The group set up a full spread on a cloth-draped table as the train approached Graham Avenue, the video shows.

“Everybody get their plates, sit down and eat,” one riders shouts.

The crowd on the train takes pictures and laughs.

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This is not the first time a subway car has hosted a festive, celebratory dinner. Last year, a Brooklyn woman had a lobster dinner with friends on the J train to celebrate her birthday.


Patch editor Gus Saltonstall contributed TikTok expertise to this report.

La jalousie, c’est pas le pied !

Périodiquement, le monde scientifique se faitl’écho de recherches dont l’intérêtpeut nous laisser pantois. Ainsi, en l’an 2000, la longueurde l’annulaire avait été reliée àune prédisposition à l’homosexualité. Leresponsable aurait été le niveau d’expositionin utero aux androgènes. Et bien dans le domaine des“grandes découvertes scientifiques“, l’année2002 ne sera pas en reste !
Selon des chercheurs de l’Université de Halifax, lespersonnes qui ont un pied ou une main plus grande que l’autresont plus enclines à être jalouses.
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Selon de précédentes études, les personnesplus “symétriques“ sont non seulement en meilleuresanté, mais sont plus fertiles et plus attirantes. Partantde ce constat, William Brown a voulu s’intéresserà la jalousie, considérée comme unestratégie pour retenir sa partenaire. Selon le chercheur, siles “asymétriques“ sont moins attirants, ils ont plus dechances d’être trompés et auraient donc plusdéveloppé une jalousie amoureuse.
Pour tester sa théorie, Brown a examiné unecinquantaine d’hommes et de femmes engagés dansdifférents types de relations hétérosexuelles.Après avoir comparé leurs réponses àdes tests de jalousie amoureuse et la taille des pairesd’oreilles, de pieds et de mains, ils ont trouvé uneforte relation entre asymétrie et jalousie amoureuse.
D’autres tests ont pu montrer que ce sentiment étaitcirconscrit au cadre amoureux et non celui du travail par exemple.Cette recherche a été présentée lors dela conférence de la société internationalepour l’éthologie humaine à Montréal.
Source : New Scientist, le 22 août 2002