Les Oméga 3 attaquent

Qui n’a pas entendu parler des fameux acides grasOméga 3 ? Ces molécules, que l’on trouvenotamment dans le poisson ou la margarine, sontréputées pour leurs vertus protectrices sur lesvaisseaux sanguins. En effet, les Oméga 3 augmententnotamment le taux de bon cholestérol dans l’organismeet évitent la formation de caillots dans le sang. Il estdonc important d’en consommer pour éviter les risquescardiovasculaires.
Une étude montre que même après un infarctus,les acides gras Oméga 3 gardent tout leurintérêt. Un essai sur 11 323 patients aété mené sur trois ans et demi pour diminuerles risques de mortalité après un accidentcoronarien. Cette étude a utilisé une formemédicamenteuse des Oméga 3, pour éliminer lavariabilité de la prise alimentaire. Et les résultatssont spectaculaires : l’apport en Oméga 3 de 1 g parjour permettait de réduire de 30 % la mortalitéliée aux maladies cardiovasculaires et de 20 % lamortalité toutes causes confondues. Mieux, l’effetprotecteur apparaissait très rapidement : dès letroisième mois !
Ces données sont donc extrêmementintéressantes. En effet, il y a chaque année enFrance plus de 100 000 infarctus du myocarde. Parmi ces accidents,20 % des victimes décèdent pendant cet accident et 10% dans les mois qui suivent. Prévenir cette mortalitéest donc essentielle. A noter : ces Oméga 3 sous formemédicamenteuse viennent d’être autorisésau niveau européen et devraient arriver sous peu en France.En attendant pour protéger votre cœur, pensez poissonet margarine !
Source : Circulation, avril 2002 ; vol. 105 : p.1897-1903. et communiqué de presse des laboratoires PierreFabre.

Régime : le Pilosuryl® retiré des pharmacies

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Depuis le 26 juin 2003, l’Agence française desécurité sanitaire des produits de santé(Afssaps) a suspendu l’Autorisation de Mise sur le Marché dela spécialité

PILOSURYL®, dans l’attente d’un changement de formulationet de rappeler l’ensemble des lots disponibles sur lemarché.
Cette annonce fait suite à la survenue d’un cas graved’atteinte rénale et de coma chez une femme de 53 ansaprès la prise de ce produit. Cette solution buvable(extrait hydroalcoolique de piloselle, extrait aqueux de Phyllantusniruri) est un médicament de phytothérapie «traditionnellement utilisé pour favoriserl’élimination rénale d’eau ».Commercialisé par les laboratoires Pierre Fabre depuis 1962,cet adjuvant de régime avait déjàété l’objet de deux accidents similaires en mai2002 et mars 2003. La toxicité rénale duPILOSURYL® est liée à la quantitéabsorbée. En cas de surdosage, un des excipients de cettespécialité (l’éther monoéthylique dediéthylène glycol) peut avoir de gravesconséquences. Dès le deuxième cas en mars2003, les laboratoires Pierre Fabre, en accord avec l’Afssaps,s’étaient engagés à changer laformulation du PILOSURYL®, et dans l’attente de cetteformulation, d’introduire un feuillet d’information dans lesboîtes. Cette disposition avait fait l’objet d’unenvoi d’une lettre aux pharmaciens le 8 avril 2003.
Dans l’attente d’un changement de formulation, tous les lotsdisponibles seront rappelés et le produit disparaîtrades pharmacies.
Click Here: Fjallraven Kanken Art Spring Landscape BackpacksSource : communiqué de l’Afssaps du27 juin 2003

Pour garder bon pied, bon œil… après 60 ans

On estime que les chutes sont la cause de plus de 9 000décès par an chez les personnes âgées de65 ans et plus. Ces seniors sont près de 3 000 000 par anà tomber et les conséquences de ces accidents ne sontpas négligeables : fractures, traumatismessévères… Près d’un quartnécessite une intervention d’urgence. Après unepremière chute, le risque de retomber dans la mêmeannée est multiplié par 20.
La chute renvoie une image inquiétante de la vieillesse etde la dépendance. Elle est souvent vécue avecgêne et déni par les personnes âgées quil’assimilent à une certaine déchéance.Or, des conseils de prévention simples peuventprévenir ces chutes. C’est pourquoi, leministère de la Santé, de la famille et des personneshandicapées, le Secrétariat d’état auxpersonnes âgées, l’Assurance maladie etl’Institut national de prévention etd’éducation pour la santé (INPES) ontlancé une nouvelle campagne de prévention.
Dix programmes courts “Pour garder bon pied bon œil…après 60 ans“ ont été réalisésen partenariat avec TF1. Cette série permet de donner desconseils sur l’aménagement de la maison,l’équipement des personnes (lunettes et chaussures),les prises médicamenteuses et la demande d’aide.Autour de personnages récurrents (un couple de personnesâgées, leur petit-fils adolescent, l’auxiliairede vie et une amie un peu plus âgée), ces petits filmssont diffusés à 13h50, les lundi, mardi, jeudi etvendredi à partir du 1er décembre et ce, sur 12semaines. Parallèlement, les professionnels de santépourront être relais de ces conseils de préventionauprès de leurs patients âgés, notammentà l’aide des deux brochures “Aménagez votremaison pour éviter les chutes“ et “Comment garder sonéquilibre après soixante ans“. Ces deux brochuressont disponibles sur le site de l’INPES.
Source : Communiqué de presse del’INPESClick Here: West Coast Eagles Guernsey

Débat autour du traitement de la ménopause

A la demande de la Direction générale de lasanté, l’Agence nationale d’accréditation etd’évaluation en Santé (Anaes) et l’Agencefrançaise de sécurité sanitaire des produitsde santé (Afssaps) organisent une audition publique sur unsujet devenu sensible : les traitements hormonaux substitutifs(THS) de la ménopause. En 2002 en France, au moins 30 % desfemmes ménopausées âgées de moins de 65ans suivaient un THS. Au regard des bénéfices admis,ce traitement était largement proposé et prescritparfois pour de longues durées. Mais ces produits sontdepuis quelques années au cœur d’une véritabletourmente scientifique et médiatique. En effet, depuis 1998,plusieurs études menées à l’étrangeront conduit à limiter les indications des THS, aprèsavoir mis en lumière un certain nombre de complicationssecondaires : augmentation du nombre de cancers du sein,d’accidents coronariens, d’accidents thrombo-emboliques etd’accidents vasculaires cérébraux. Ces donnéesont entraîné un débat scientifique donnant lieuà de nouvelles recommandations pour les professionnels et denombreuses interrogations chez les femmes. Cette audition publiquepermettra d’une part de faire l’état des lieux et dedébattre publiquement des données scientifiques, desconnaissances et des incertitudes dans le contexte françaiset des recommandations professionnelles ; d’autre part, d’informerlargement les professionnels et le grand public. Cette auditiondonnera lieu à un rapport d’orientation, qui sera rendupublic début mai. Source : communiqué Anaes etAfssaps « La prise en charge des traitements hormonauxsubstitutifs de la ménopause (THS) représente unenjeu de santé publique important »Si vous souhaitez assister à cette audition : “Lestraitements hormonaux substitutifs de la ménopause“ Le mardi27 avril 2004 de 8h30 à 19h Faculté demédecine Xavier Bichat, amphithéâtre 4 16, rueHenri Huchard 75 018 Paris M° Porte de Saint-Ouen

Lutte contre les drogues : rien de stupéfiant !

Après avoir longuement critiqué la loi de 1970 sur les stupéfiants, le gouvernement décide de ne pas la modifier. Outre cette étonnante volte-face, les autorités présentent leur plan de lutte contre les drogues. Au programme : un cocktail associant prévention des jeunes, amélioration des soins et renforcement de la répression.

Présenté le 29 juillet par Didier Jayle,président de la Mission Interministérielle de Luttecontre la Drogue et la Toxicomanie (Mildt), le plan de luttequinquennal du gouvernement réserve quelquessurprises…Cannabis : back to the seventies !CannabisAprès la confiscation du scooterévoquée par Nicolas Sarkozy devant le Sénat enavril 2003 et l’engagement télévisuel du PremierMinistre à modifier les peines pour que la loi soitappliquée, le gouvernement abandonne son projet derévision de la loi de 1970 sur les stupéfiants.Initialement rédigé pour réprimer laconsommation d’héroïne, ce texte prévoitpourtant des peines de prison fermes inadaptées auxconsommateurs de cannabis. Pourquoi un tel renoncement ? “Une telleévolution législative ne semble pas opportune“ auxyeux du Gouvernement qui se borne désormais àpromettre la publication de circulaires de politiquesgénérales visant à muscler, graduer etsystématiser les sanctions envers les usagers de droguesdouces via des amendes, suspension de permis de conduire, etc. Cerevirement est considéré comme un renoncement par lestenants d’une ligne dure.Face à l’expansion continue depuis 10 ans de la consommationde cannabis, le gouvernement entend cependant faire de ce dossierun axe prioritaire. Les moyens annoncés insistent ainsi surune éducation systématique en milieu scolaire, unecampagne grand public mettant en évidence les effetsnégatifs principalement pour les ados(désinvestissement scolaire, troubles de la mémoire,accident de la route…), une ligne téléphoniqueintégrée à “Drogues Info service“ et desconsultations départementales anonymes et gratuitesspécifiquement dédiées au cannabis. Sur leplan répressif, des tests salivaires de détection(pour le cannabis mais également d’autres substancesillicites) seront développés etexpérimentés lors de contrôles routiers. Lesobjectifs sont de réduire d’au moins un quart la proportionde jeunes expérimentant le cannabis avant 15 ans et sonusage régulier chez les adolescents.Pour l’étiquetage des bouteilles d’alcool, mais contre letestingSuite à la publication du très controversélivre blanc “Vin et santé“ et l’adoption par le Sénaten mai dernier d’un amendement ouvrant la voie auxpublicités pour le vin, certains craignaient que la luttecontre l’alcoolisme ne disparaisse des missions de la MILDT. Pasd’inquiétude sur ce point, Didier Jayle se veut rassurant“On ne sortira pas les viticulteurs de leurs difficultéséconomiques en relançant la consommation de vin“avant de rappeler que conformément à la loi desanté publique, l’objectif est de réduire de 20 % laconsommation moyenne d’alcool par habitant.Même si certaines mesures ont étéabandonnées en route (comme l’interdiction de la vented’alcool dans les stations services), le plan prévoit derappeler les seuils de consommation ( trois verres par jour pourles hommes et deux verres pour les femmes) et mieux repéreren médecine générale l’usage à risque,aider les buveurs à réduire leur consommationmême si le problème reste difficile. Une attentionparticulière est portée aux accidents de la route dusà l’alcool et à la nécessité d’uneabstention totale pendant la grossesse. Un point au coeur del’actualité depuis l’ouverture d’une enquêtepréliminaire relative à un défautd’information sur les dangers de l’alcool pour les foetus par leprocureur de Lille. Jeudi 5 août 2004, le ministre de laSanté Philippe Douste-Blazy se prononçait en faveurde l’étiquetage des bouteilles d’alcool. Rappelant quel’alcool était la première cause de retard mental nongénétique de l’enfant, le ministre a annoncéle lancement d’une vaste étude épidémiologiqueconfiée à l’Inserm et d’une campagne deprévention lancée dès cet automne.Côté tabac, la baisse des ventes de cigarettes de 20 %depuis le début de l’année conforte le gouvernementdans sa lutte contre ce fléau. Le plan prévoitnotamment de renforcer les consultations de sevrage ainsi quel’application de la loi Evin dans les établissementsscolaires, mais aussi les restaurants et autres lieux publics.Concernant les drogues de synthèse, Didier Jaylereconnaît d’une part que “la présence d’acteurs deprévention lors des événements festifs permetle contact avec ce public qui ne se perçoit pas en danger“,mais prône d’autre part l’abandon du testing rapide desdrogues de synthèse au profit d’actions de prévention“qui devront respecter les règles d’unréférentiel d’intervention en réduction desrisques“.Diversifier et améliorer l’offre de soinsPar ailleurs, le plan quinquennal propose différentesmesures. Au registre de la prévention, deux principalesnouveautés sont à noter : l’obligation d’uneéducation à la prévention des pratiquesaddictives tout au long de la scolarité grâce aurenforcement des Comités d’éducation à lasanté et à la citoyenneté (CESC) et ladiffusion auprès des parents via les associations deparents, les CAF et des lieux d’accueil àdévelopper.Mais c’est en matière de soins que le plan semble le plusambitieux. Il prévoit de :
-Repérer l’abus ou la dépendance le plus tôtpossible pour proposer une prise en charge adaptée enmédecine de ville ou en secteur spécialisé;
-Améliorer l’accessibilité et la qualité del’offre de soins, en relançant les CSAPA (Centres de soins,d’accompagnement et de prévention en addictologie).Initialement prévues par un décret de BernardKouchner, ces établissements devraient rapprocher lesstructures de prise en charge de l’alcool, du tabac et des droguesillicites ;
-Améliorer la qualité et la diversité desréponses thérapeutiques pour les toxicomanesdépendants de l’héroïne, du crack, lespolytoxicomanes, les personnes incarcérées ;
-Promouvoir l’addictologie à tous les niveaux (de laformation à la recherche) ;
-Sécuriser la délivrance des médicaments desubstitution afin d’éviter les détournements ;
-Développer des communautés thérapeutiques encréant rapidement 600 places.Pour lutter contre le trafic local, le recours àl’enquête de patrimoine sera renforcé. Cesdémarches visent à vérifier si les ressourcesdes suspects sont conformes à leur train de vie. Enfin, lesopérateurs français d’Internet seront appelésà plus de vigilance vis-à-vis desdétournements de ce média par les trafiquants decannabis.Pour tous ces projets, la Mildt devrait disposer de 500 millionsd’euros pour les cinq prochaines années.David BêmeClick Here: COLLINGWOOD MAGPIES 2019

Béart se dénude pour H&M

Emmanuelle Béart réchauffe le prêt-à-porter suédois. H&M s’est en effet offert l’actrice française pour Noël, en la mettant en scène dans sa nouvelle campagne de lingerie.
Très sexy mais sobre, la pub – film et affichage – a pourtant choqué en Suède, notamment une parlementaire, présidente du parti féministe, qui a déclaré que Béart faisait « du porno ». Réaction un peu exagérée tout de même pour une campagne assez classe, endossée d’ailleurs par une femme qui n’est plus une minette – l’actrice à 41 ans et apparaît plus radieuse que jamais.Click Here: Cheap Chiefs Rugby Jersey 2019

Father Gives Suicidal Son A Gun, Says 'Just Do It': Police

ODENTON, MD — An Anne Arundel County 14-year-old did the right thing by telling his parents he was having suicidal thoughts. But his dad’s reaction has landed the man in jail. When the teen sought help from his parents, his father, Anthony Lewis of Odenton, reportedly shoved a shotgun in his son’s hands, forced his finger on the trigger and told the boy to “Do it, just do it,” authorities say.

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Lewis faces charges of attempted first-degree assault and child abuse, among other charges.

This isn’t the first time Lewis has been in trouble with the law. Anne Arundel County police officers said they have responded to numerous calls concerning domestic violence and abuse at the Lewis home. According to WMAR, charging documents indicate that the 14-year-old had been abused by his father a number of times. From January through the end of June, the teen told police, his father had hit him at least three times with a belt or extension cord for 20 times each assault, leaving bruises and welts.

“I saw weird colors in my eyes, and it started turning black,” the teen said, according to court documents.

When WMAR shared the story on its Facebook page, commenters shared their outrage.

“If someone is speaking about suicidal thoughts, they are seeking help, not a gun shoved in their face,” posted Courtney Johnson.

“Does not deserve the name of father. Go get some counseling from someone who cares,” posted Ester Unger.

Lewis now faces first-degree assault, second-degree assault, reckless endangerment, child abuse in the second degree, assisted suicide by providing means, firearm use and failure to send a child to school. He was denied bail.

The Anne Arundel County Department of Health offers tips for parents needing to speak with their teens about suicide. The agency says that talking about suicide does not plant the idea in someone’s head. Parents should think about what to say ahead of time and approach the subject in general and simple terms. Here are a few suggestions:

Help for Those Considering Suicide

If you or someone you know is considering suicide, there are resources to help.

The National Suicide Prevention Lifeline is available 24 hours a day at 1-800-SUICIDE (or 1-800-784-2433). Its website offers services including a live chat.

Also check out resources available around Maryland to help those who are in crisis.

Charges Against Porn Star Stormy Daniels Dropped

COLUMBUS, OH – Charges that porn star Stormy Daniels allowed strip club patrons to touch her during a performance have been dismissed, according to court records. Police early Thursday had arrested Daniels, whose alleged affair with President Trump has made her one of the most vocal and recognizable personalities pursuing claims against the POTUS.

Daniels’ attorney, Michael Avenatti, announced Thursday afternoon, that the charges had been dropped.

“I am pleased to report that the charges against my client @stormydaniels have been dismissed in their entirety (below motion was just granted). I want to thank Joe Gibson & his colleagues at the prosecutors ofc for their professionalism starting with our first call early this am,” tweet Avenatti.

Franklin County, Ohio, court records verified that, indeed, the charges had been dismissed. Court records posted to Twitter by Avenatti show that the city prosecutor’s office asked the charges be dismissed. Franklin County court records show she had been charged with three counts of knowingly touching a patron of a sexually oriented business. Ohio law prohibits customers of strip clubs from touching performers.

The Ohio law, however, states that “no person who regularly appears nude … shall knowingly touch a patron” of a strip club, the court brief states. Prosecutors wrote that police have no evidence that Daniels appears regularly at Sirens, the Columbus strip club where she was arrested.

Daniels’ appearances Wednesday and Thursday were part of a nationwide tour. She announced earlier that the show Thursday would be canceled.

Police had arrested Daniels on three misdemeanors, all of which Avenatti vowed to “vehemently contest,” according to her lawyer. Avenatti said via Twitter that the arrest was “a setup and politically motivated.”

“She was arrested for allegedly allowing a customer to touch her while on stage in a non sexual manner! Are you kidding me? They are devoting law enforcement resources to sting operations for this? There has to be higher priorities!!!” Avenatti tweeted early Thursday.

The arrest, police said in a statement, was part of a “long-term investigation” into reports of human trafficking, prostitution and other illicit activities at Club Sirens, the strip club where Daniels was arrested. Two other women, both from Ohio, were also arrested, police said in the statement.

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An arraignment, which had been scheduled for Friday, has been canceled. Another show, which had been scheduled for Thursday night at Sirens, has been canceled, according to a statement released by Avenatti.

>>> Stormy Daniels’ Strip Club Act Bookends Trump’s Court Reveal

“I will unfortunately be unable to go forward with tonight’s scheduled performance. I deeply apologize to my fans in Columbus,” Daniels said in the statement.

Daniels, who has performed in scores of adult videos, claims to have had sex with Trump in 2006. She is suing the president and his former lawyer Michael Cohen, and wants to nondisclosure agreement surrounding the affair to be invalidated. Daniels claims that in October of 2016 President Donald Trump paid her $130,000 in hush money about the one-night stand. Trump denies he did.

Photo: Stormy Daniels attends a fan meet and greet at Chi Chi LaRue’s on May 23, 2018 in West Hollywood, California. (Photo by Tara Ziemba/Getty Images)

Les progrès de l'imagerie face au cancer

Dépister précocement les tumeurs, permettre une meilleure précision du geste chirurgical, juger de l’efficacité des traitements… Tels sont quelques-uns des objectifs de l’imagerie médicale en oncologie. Ses progrès ont modifié la prise en charge de nombreux cancers et devraient continuer à l’améliorer…

Ces dernières années ont connu d’importantsprogrès en matière d’imagerie médicale, enparticulier dans le domaine de la cancérologie. Mais lesétudes présentées dans le cadre descongrès européen et américain sur le cancer en2004 se focalisent plus sur les nouvelles applications et leslimites des dernières techniques déjàéprouvées.L’IRM supérieur à la mammographie ?L’imagerie à résonance magnétique (IRM) est deplus en plus évoquée dans la prise en charge ducancer du sein. Cette technique permet de visualiser desdétails invisibles sur les radiographies standards,l’échographie ou le scanner. Schématiquement, cettetechnique utilise un gros aimant et analyse la réaction desdifférents tissus du corps à ces champsmagnétiques après injection d’un produit decontraste. Les données recueillies sont ensuitetraitées informatiquement et la zone étudiéepeut être restituée en deux ou trois dimensions. Selonl’unité d’imagerie médicale de l’hôpitalHenri-Mondor (Paris), les IRM du sein sont principalementutilisés pour identifier les récidives aprèstraitement conservateur et pour l’évaluation de lachimiothérapie avant opération. Son utilisationpré-opératoire pourrait également largementbénéficier aux patientes.
Une récente étude montre que l’IRM eststatistiquement deux fois plus efficace que la mammographie pourdétecter des tumeurs multiples. Les conséquences surla prise en charge chirurgicale sont nombreuses : réductiondes risques de récidives et de l’emploi deradiothérapie, meilleure préservation des tissussains, etc.
Dans le cadre d’une autre étude américaine, leschercheurs ont comparé les deux techniques chez 1 909 femmesprédisposées au cancer du sein dont 358 porteuses descélèbres gènes BRCA. Au terme du suivi detrois ans, 51 tumeurs et 1 carcinome lobulaire in situ ontété détectés. En comparant lasensibilité des différents examens, lesrésultats attestent de la supériorité de l’IRM: (17,9 % pour l’examen clinique, 33,3 % pour la mammographie et79,5 % pour l’IRM).
Cet examen peut-il remplacer avantageusement la mammographie ?Outre son coût beaucoup plus important, l’IRM est plussouvent associé à des biopsies “inutiles“ dont lesrésultats sont négatifs. Mais parce qu’ils neconfirment pas un cancer, de tels examens peuvent-ilsréellement être considérés commeinutiles ?Vers un élargissement des indications du TEP
Lors du congrès européen Eurocancer 2004, plusieurscommunications ont souligné l’apport de l’imageriemédicale dans la prise en charge du cancer en particulierune technique au nom barbare de tomographie par émission depositons au 18 fluoro-désoxyglucose, égalementappelée TEP-FDG. Coauteur d’une communication sur cettetechnique, le Pr. Philippe Carpentier, chef de service demédecine nucléaire du Centre Oscar-Lambret (Lille)nous en présente le principe “Concrètement, on saitaujourd’hui que les cellules cancéreuses consomment plus deglucose que les cellules saines environnantes, car elles secaractérisent par une prolifération anarchique. Pourmettre en évidence ce phénomène, on injectealors dans l’organisme du patient une molécule de glucosemarquée par un isotope radioactif, capable d’émettreen rayonnement. Grâce à une caméra àpositons située autour du patient, un traitementinformatique permet d’enregistrer ces émissions et de lesretranscrire en images en trois dimensions. Les anomaliesmétaboliques sont ainsi visibles bien souvent avantl’apparition d’anomalies anatomiques“.
Ces images fonctionnelles (témoignant de l’activitédes cellules) sont utiles pour :
– La confirmation de diagnostic de malignité d’unelésion comme c’est le cas pour le cancer du poumon ;
– Le bilan d’extension d’un cancer, comme pour certains cancers ORL;
– La confirmation de récidives ou leurs nombres. Ondistingue généralement deux cas :
-Un marqueur permet de suspecter une récidive de cancer, laTEP-FDG pourra la confirmer ;
– On a identifié la récidive mais on veut savoir sielle est unique.
– L’évaluation de l’efficacité des traitements et enparticulier de la chimiothérapie. Au-lieu d’engagerplusieurs cycles de chimiothérapie, on peut imaginer devérifier l’efficacité du produit dès lepremier cycle avec le TEP-FDG. L’évolution dumétabolisme de la tumeur est en effet visible bien avant sarégression anatomique. Cette dernière indication estbénéfique pour le patient qui peut plus rapidementbénéficier du traitement le plus adéquat.
Selon le Pr. Carpentier, “ces indications constituent autant depetites révolutions dans la prise en charge encancérologie : du diagnostic au traitement du cancer initialou récidivant“.Lancement du réseau européen d’imageriemoléculaireLa TEP-FDG repose sur le fait que les cellules cancéreusesconsomment plus de glucose que les cellules saines environnantes.Selon le Dr Bernard Tavitian du service hospitalierFrédéric Joliot du Commissariat àl’énergie atomique (CEA) à Orsay, ce principe imposecependant des limites :
– Dans certaines parties de l’organisme, le glucose estnaturellement consommé de manière importante (coeur,muscles, cerveau) ou est concentré avant d’êtreéliminé (reins, vessie) ;
– Le glucose radioactif n’est pas un marqueur spécifique etne permet pas diagnostiquer avec précision le type de canceret donc le traitement le plus adéquat.
Pour pallier à ses limites, le programme EMIL (EuropeanMolecular Imaging Laboratories) a été lancéofficiellement début juillet 2004. Ce réseaud’excellence en imagerie moléculaire du cancerfédère les laboratoires européens et coordonneleurs moyens, réunissant ainsi les compétences de 43organismes de 13 pays, soit au total plus de 400 chercheurs.Financé pour cinq ans par la Commission européenneà hauteur de 295 millions d’euros, EMIL réussira-t-ilà mettre au point de nouveaux moyens de détectionprécoce des cancers ? Affaire à suivre…David BêmeClick Here: cheap sydney roosters jersey

Les pesticides innocents ?

En 2001, le Pr. Charles Sultan, du CHU de Montpellier, tirait lasonnette d’alarme : les nouveau-nés masculins de famillesd’agriculteurs sont victimes de malformations génitales !Celui-ci constatait dans son service de plus en plus deproblèmes de micropénis, de mauvaises descentes destesticules (cryptorchidie), de position anormale de l’urètre(hypospadias), etc. Sur le banc des accusés : lespesticides. Certains de leurs composés ont souvent dessimilitudes avec des hormones sexuelles. Une expositionprolongée lors de la grossesse pourrait être en cause.L’institut de veille sanitaire a aussitôt diligentéune enquête. Résultat : les pesticides sontinnocentés ! En effet, il n’y aurait pas plus demalformations en Languedoc Roussillon que dans le reste de laFrance. Certes, les mauvaises langues diront que c’estpeut-être parce que le problème touche toutes lesrégions… Dans le détail, le rapport souligne quel’augmentation de cas signalés à Montpellier seraitsimplement liée à une augmentation de lafréquentation de cet hôpital à lanotoriété croissante. Des conclusions qui laissent unpeu sur leur faim. De nombreuses études sont en cours surles problèmes de santé chez les agriculteurs, etnotamment la fréquence des cancers. Espérons que lesrésultats lèveront la chape de plomb qui pèsesur les dangers des produits utilisés.Source : Communiqué de l’Institut de Veille Sanitaire- octobre 2004Click Here: camiseta rosario central