Taillée pour la ville et les petits déplacements, l’Opel Rocks-E ne peut cacher le fait qu’elle est basée sur la Citroën Ami. Comme celle-ci, elle est électrique et limitée à 45 km/h, ce qui lui permet d’être accessible dès l’âge de 14 ans. Ne pesant que 471 kg, elle est dotée d’une batterie de 5,5 kWh (rechargeable en 3 heures environ sur simple prise 220V) qui lui procure une autonomie de 75 km.
La Rocks-E (prononcez « Roxy ») sera commercialisée dans en premier temps en Allemagne où elle pourra être conduite par des adolescents à partir de 15 ans. Comme l’Ami, son prix devrait se situer autour des 6.000 €, et elle devrait également être proposée en location mensuelle.
Automobile
Essai BMW Série 4 Cabrio: Les plaisirs oubliés
Automobile
Une incroyable collection de voitures aux enchères
Chaque semaine, 20 Minutes propose à une personnalité de commenter un sujet de société dans son rendez-vous « 20 Minutes avec… ».L’autrice, compositrice et interprète Barbara Pravi sort ce vendredi son premier album, On n’enferme pas les oiseaux.« J’étais très mauvaise à l’école. Je suis très mauvaise quand on m’impose quelque chose. Dans ma manière d’écrire, il n’y a pas toujours de rimes, il y a plein de trucs bancals, c’est comme ça. Petite, je voulais être écrivaine. Finalement, je ne suis pas très loin du compte », raconte l’artiste de 28 ans qui a représenté la France à l’Eurovision.
Avant que l’interview commence, Barbara Pravi confie avoir n’avoir qu’à peine fermé l’œil les deux nuits précédentes. A l’approche de la sortie, ce vendredi, de son premier album, On n’enferme pas les oiseaux, l’artiste de 28 ans n’est pas tant stressée qu’impatiente de vivre ce moment qu’elle a longtemps attendu. La concrétisation d’années de travail, l’accomplissement après bien des galères. Ce premier disque lui ressemble. Authentique et sans concession aux formatages. Il laisse entendre des rythmes de bossa-nova, de valse ou de tango allant à rebours de ceux qui font bouger notre époque. Mais les chansons sont bien d’aujourd’hui : l’autrice, compositrice et interprète mène la danse, impose le tempo de ses mots, parle d’elle, de ses vulnérabilités et de ses forces. « Quand on est capable d’énormes joies, on est capable de profondes tristesses aussi. Ce qui est magnifique, c’est de réussir à allier les deux », dit-elle, une fois l’entretien entamé. Elle parle de Saute, nouvel extrait de l’album, né d’abord comme « un slow langoureux » ne la satisfaisant pas et ne faisant pas l’unanimité autour d’elle. Elle a fini par trouver la solution : « Il fallait qu’on la rende joyeuse, c’est une chanson qui parle de faire des choix, d’avancer, de déployer ses ailes. » Barbara Pravi, elle, a pris son envol musical.
Il y a trois mois, vous participiez à l’Eurovision. Quel regard portez-vous, avec le recul, sur cette expérience…
L’Eurovision, c’est tellement énorme que, même si tu te projettes, eh bien, c’est encore plus que ce que tu imagines. Ce concours, je l’ai pris comme un épisode de Black Mirror : tu te retrouves dans un truc où tu as plein d’humains qui vivent ensemble pendant quinze jours et toi, là-dedans, il faut que tu t’en sortes – en faisant un bon résultat, mais aussi intérieurement, en restant toi-même pour ne pas que tout ça te bouffe.
La deuxième place, c’était une victoire en soi ?
J’ai prié pour avoir la deuxième place. A un moment donné, je me suis laissée prendre au jeu, tout le monde me disait que j’allais gagner, donc j’y ai pensé. Puis j’ai appelé ma manageuse : « Tu imagines, demain, on est premières ? » Elle m’a répondu : « Cela n’arrivera pas Barbara, parce qu’on n’a pas envie d’être premières ». Je ne le souhaitais pas parce que je savais que cela allait être des mois ou des années où j’allais être estampillée Eurovision, avec cette chanson, Voilà, dont je risquais de ne jamais sortir. Pour construire une carrière, c’est plus difficile. Les Måneskin [le groupe italien victorieux] avaient sorti des albums avant, ils étaient connus pour davantage que leur chanson de l’Eurovision. Moi, j’aurais été Voilà toute ma vie. J’aurais été malheureuse d’être associée à une seule chose alors que je suis tellement multiple.
Le titre de votre album, « On n’enferme pas les oiseaux », phrase extraite des paroles de votre chanson « L’homme et l’oiseau », souligne ce refus d’être formatée, contrainte, limitée ?
Exactement. C’était une évidence : cela résume tout ce que je suis, mon disque et mon parcours.
Cela a été difficile d’imposer vos choix pour cet album ?
Pas du tout. Mais cela fait longtemps que je travaille avec des gens qui facilitent ma trajectoire. J’ai une relation géniale avec mon label. Comme c’est un label de rap – avec Ours, nous sommes les seuls à faire de la chanson française –, ils ne comprennent tellement pas ma musique ! Depuis le début, notre deal, c’est : laissez-moi faire. Ils acceptent, jusqu’au moment où ils n’ont plus de budget. C’est déjà arrivé dans le passé. On a dû trouver des solutions. Les clips de Notes pour trop tard et Chair [en 2019 et 2020], on les a faits de bric et de broc. Je faisais mes fiches de prod, je payais des trucs, je faisais du troc avec des copines, je ne pouvais pas payer les réalisateurs, mais je leur disais : « Je vous jure que je vous le rendrai. »
Le fait d’avoir eu une très mauvaise expérience auparavant vous a permis d’en tirer des leçons et de savoir ce que vous vouliez et ne vouliez pas ?
C’était lors des trois premières années de ma minuscule carrière. C’était au sein du même label, mais ce n’était pas le même patron, ni les mêmes équipes. J’étais très jeune. Tu t’entoures des premières personnes que tu trouves et, souvent, ce ne sont pas les bonnes. Cela m’a permis de savoir ce que je ne voulais pas et puis de faire des projections sur la personne que j’ai envie d’être. Je me disais que quand je saurais qui je suis, la femme que je suis, alors, naturellement, l’inspiration viendrait pour former quelque chose de compact. Je crois que c’est ce que j’ai réussi à faire avec cet album : vous me voyez dans la vie, en interview, sur scène ou à la maison, tout est pareil, je suis la même personne.
Dans un récent post sur Instagram, vous avez évoqué la période difficile, il y a quatre ans, où vous n’alliez pas bien. Il vous a fallu, toucher le fond – c’est peut-être trop fort comme expression…
Franchement, c’est ce qu’il s’est passé. Avant de rencontrer Elodie [Filleul, sa manageuse], on m’avait tellement brisée, on me faisait tellement sentir que je n’étais rien sans les autres qui m’entouraient et que j’avais virés que je pensais à arrêter la musique. J’étais tant détruite de l’intérieur que je m’étais résolue à faire autre chose. En même temps, on ne m’a jamais retiré l’idée que je savais écrire. Je me suis dit que, tant pis, je ne serai jamais chanteuse, mais que je pourrais peut-être être auteure pour les autres. J’ai appelé, rappelé des gens que j’avais rencontrés des années plus tôt, comme Igit, pour leur proposer qu’on se voie, d’écrire. Cela a démarré comme ça. En écrivant pour les autres, j’ai repris confiance, je me suis rendu compte que j’étais douée en studio.
« Voilà » a été le point de départ du nouvel album ?
Je ne me suis jamais dit que c’était à partir de telle ou telle chanson que je démarrerais l’album. Par exemple, La Femme, je l’avais composée pendant que je préparais mon EP Reviens pour l’hiver [sorti en 2020]. Mais, à cette époque, je ne l’ai pas senti et, à la place, j’ai écrit Personne d’autre que moi. Quand j’ai planché sur mon album, c’était le bon moment pour La Femme. La Ritournelle, je l’ai enregistrée il y a deux ans et demi, je ne l’ai jamais rechantée, c’est la version de maquette qui figure sur le disque. L’homme et l’oiseau et Le jour se lève ont deux ans. Je savais qu’un jour, toutes ces chansons seraient réunies et dessineraient quelque chose de cohérent.
Dans vos chansons, « je », c’est vous ?
Toujours. Je ne suis pas une romancière. Pour l’instant, je n’arrive pas à mettre de moi dans d’autres personnages que j’invente. La musique reste pour moi une thérapie heureuse, ça m’aide. Je suis consciente que la personne que je suis aujourd’hui s’est dessinée parce que j’ai réussi à mettre des mots sur des choses que je vivais.
La chanson « La Vague » surprend. Vous y confessez être colérique. Une facette de vous que l’on ne soupçonnerait pas…
Parce que je ne le suis plus du tout. J’aime beaucoup cette chanson parce que c’est presque un acte de foi. J’étais la personne la plus colérique du monde, mais vraiment, c’était violent pour moi et pour les autres. C’est l’un de mes gros défauts sur lesquels j’ai travaillé. J’ai compris que cela venait d’un sentiment d’injustice. Je ne me sentais jamais à ma place, toujours incomprise. Cela s’est remis en ordre au moment où j’ai quitté mes anciennes équipes, où j’ai commencé à me trouver… Quand tu n’as plus peur de toi, plus tu es bien avec toi-même, moins tu as de raisons de te mettre en colère car tu apprends à l’utiliser comme une force.
Ces dernières années, vous avez évoqué votre IVG dans la chanson « Chair », les violences conjugales dans « Le Malamour »… Sur votre album, « La Femme » est une chanson féministe. C’est important pour vous d’aborder ces thèmes, de prendre position ?
Je ne me pose pas ces questions. Je ne fais pas les choses par souci du paraître mais parce que je sens que c’est le moment de le faire, pour moi et pas pour quiconque me l’aurait demandé. La Femme est une chanson féministe mais il y est surtout question de ma façon de penser la femme. Quand j’ai fait la réécriture de Kid [une relecture au féminin de la chanson d’Eddy de Pretto], j’avais 24 ans. A l’époque, le féminisme était un mot qui n’existait presque pas, du moins pas comme il existe aujourd’hui. Tous les mots que j’ai employés à chaque fois dans mes chansons étaient ceux que je ressentais alors. Notes pour trop tard [réécriture du titre d’Orelsan, sortie en 2019] m’a sauvé la vie. Aujourd’hui, je ne l’écrirais pas du tout de la même façon, parce que je ne suis plus au même endroit dans ma construction, mais à ce moment-là de ma vie, ces mots que je me suis adressé en les adressant à tout le monde m’ont donné de la force. Ils m’ont permis, dans cette période où je ne savais plus qui j’étais, d’affirmer que personne ne pouvait détruire ce que j’étais. Ce n’est pas aux autres de décider si tu es quelqu’un de bien ou non, c’est à toi. Ce sont tes actes, ta manière de te perfectionner, de te grandir qui te déterminent.
Ce sens du mot juste et ce goût de l’écriture viennent d’où ? De l’enfance ? Vous aviez de bonnes notes en rédaction ?
J’étais très mauvaise à l’école. Je suis très mauvaise quand on m’impose quelque chose. Dans ma manière d’écrire, il n’y a pas toujours de rimes, il y a plein de trucs bancals, c’est comme ça. Petite, je voulais être écrivaine. Finalement, je ne suis pas très loin du compte. J’ai toujours aimé lire. Lire et écrire, cela va ensemble. Je ne crois pas trop aux personnes qui écrivent sans lire un bouquin : à un moment donné tu tournes en rond.
Vous partagez régulièrement sur Instagram vos coups de cœur littéraire. Vous avez un auteur fétiche ?
J’en ai plein. J’ai des obsessions. Quand j’ai découvert Romain Gary, j’ai lu tout Romain Gary. Ensuite, j’ai lu tout Françoise Sagan, tout Christian Bobin… Alessandro Barrico est un auteur italien formidable. Je suis complètement zinzin de Goliarda Sapienza et je ne suis pas encore sortie de ma zinzitude. C’est par vague.
La page de l’Eurovision est définitivement tournée ? Des anciens artistes participants sont parfois conviés à apparaître sur la scène par la suite… Si les organisateurs de la prochaine édition en Italie vous y invitent vous irez ?
Ça m’étonnerait que je sois invitée, je suis boycottée en Italie. Mais pourquoi pas, si je suis disponible, oui ! Je suis pleine de reconnaissance pour cette expérience. Je suis encore en contact avec tous les techniciens néerlandais, ils seront tous invités aux concerts que je ferai aux Pays-Bas. J’ai adoré, mais je ne me vois pas comme une artiste Eurovision. Ce n’est pas ce concours qui m’a faite. Je faisais avant et je ferai après. Par contre, c’est vrai que ça a changé ma vie, que ça a été une lumière incroyable sur ma carrière.
Boycottée en Italie, c’est-à-dire ?
Pour l’instant, mes dates de concert en Italie, c’est un peu compliqué, c’est le plus dur à caler, mon album ne sort pas en physique là-bas [il sort ce vendredi dans plusieurs pays européens] et je ne suis pas invitée sur le territoire italien. Alors que je les aime, les Italiens, j’adore l’Italie !
Après la finale, les Français ont été accusés par des Italiens d’être mauvais perdants et d’avoir accusé à tort le chanteur des Maneskin de s’être drogué. Cela vous a valu des commentaires de haters italiens. Cela ne s’est pas calmé ?
J’en ai tous les jours, je ne les lis pas. Des « vaffanculo » dans mes DM, cela me passe au dessus, mais c’est une vague de haine reloue. Au début, cela m’a fait marrer parce que je ne me sentais pas concernée. Après, si ça se trouve, je ne suis pas boycottée en Italie mais je trouve ça un peu étrange que ce soit le seul pays avec lequel c’est compliqué.
L’un de vos autres faits d’armes de cette année, c’est la chanson « Bim Bam Toi », que vous avez coécrite avec Igit pour Carla, qui a intégré le jeu « Fortnite ». Cela vous évoque quoi ?
Je ne savais pas ce qu’était Fortnite. C’est mon mec qui m’a dit que c’était énorme. Ce n’est pas mon monde, donc ça ne me fait rien. Mais c’est trop cool, surtout pour Carla. Les auteurs et compositeurs, leur rôle, c’est de rester derrière.
Vous aurez aussi bientôt un rôle à jouer dans « The Artist », le télécrochet réservé aux auteurs, compositeurs et interprètes lancé par Nagui le 11 septembre sur France 2…
Je serai dans le jury d’une émission, normalement. J’ai dit à Nagui que moi, jurée, cela allait être horrible parce que je ne pourrai jamais juger quelqu’un. Je vais dire oui à tout, comme ça, c’est réglé. Ce qui m’a vraiment plus dans cette histoire, c’est la masterclass [qui sera diffusée un soir de semaine sur France 4]. Je vais raconter comment je fais pour écrire une chanson, expliquer ce qui m’inspire, mais je n’irai pas dans l’esprit de donner un cours, car ce n’est pas mon endroit et je ne sais pas mieux que personne. Dans l’art, chacun a sa façon de penser et visualiser, la seule chose qu’on peut transmettre, c’est la manière de concevoir son art.
Culture
« Si je pouvais ne travailler quasiment qu’avec des femmes, je le ferais », confie le musicien Waxx
Culture
« J’ai peur de l’éphémère, je veux donc tout faire pour ne pas être une étoile filante », avance Hoshi
Des hommes « hypervirils » et des femmes « séductrices »… La plupart des vidéos à succès sur YouTube véhiculent des stéréotypes de genre, et près d’un quart montrent des violences ou insultes sexistes ou sexuelles, s’est alarmée jeudi la Fondation des femmes. La fondation appelle les autorités à se saisir de ce problème, notamment en élargissant les pouvoirs de contrôle du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel.
Au total, 68 % des 200 vidéos les plus regardées en France ces deux dernières années sur la plateforme (100 en 2019 et 100 en 2020) contenaient de tels stéréotypes, révèle une étude réalisée par la Fondation des femmes, en collaboration avec Sciences Po Paris.
Un problème récurrent dans les clips musicaux
Le plus souvent, ces séquences problématiques ont été repérées dans des clips musicaux, qui représentent près des trois quarts des 200 vidéos les plus vues. Nombre de clips à succès contiennent des insultes sexistes ou des propos misogynes, dénoncent les autrices de l’étude. Dans l’un des clips visionnés, le chanteur « évoque le fait d’alcooliser une femme pour avoir des relations sexuelles avec elle », ce qui relève d’une « culture du viol », selon elles.
Au total, plus de 20 % des vidéos mettent en scène des femmes « sexualisées », notamment dans des « mouvements érotiques » ou des « poses lascives », et environ 35 % présentent une « image dégradante des femmes » : elles y sont cantonnées à un rôle « esthétique et inactif », subissent du harcèlement de rue, ou sont filmées avec un cadrage insistant sur leur poitrine ou leurs hanches.
« Ces violences et ces préjugés vont au-delà de ce qui est tolérable », a commenté auprès de l’AFP Sylvie Pierre-Brossolette, ancienne membre du CSA et coordinatrice du rapport pour la Fondation des femmes. Ces images « ont du succès mais font beaucoup de mal, car elles donnent une vision biaisée du mâle dominant et de la femme dominée », donc « font le lit des violences » dans la vie réelle, insiste-t-elle.
Vers un élargissement des prérogatives du CSA ?
Les pouvoirs publics doivent se saisir du problème et lutter contre ce « sexisme en liberté » sur Internet, plaident les autrices du rapport. Ainsi, la loi pourrait élargir les prérogatives du CSA : celui-ci devrait désormais pouvoir s’assurer que les programmes diffusés ne contiennent pas de « propos et images sexistes » ou « dégradants à raison du sexe ou de l’identité de genre », proposent-elles.
Par ailleurs, les organismes publics de soutien à la production, comme le Centre national du cinéma (CNC) ou de la musique (CNM) devraient s’engager à ne plus financer d’œuvres « véhiculant des propos et images sexistes, dégradantes ou stéréotypées ».
Les plateformes numériques pourraient par ailleurs s’engager, via une « charte de bonne conduite », à surveiller les vidéos mises en ligne et supprimer les séquences les plus dégradantes, suggèrent les autrices de l’étude.
By the Web
Twitter offre des récompenses à ceux décelant les biais sexistes ou racistes de ses algorithmes
Culture
Epinglé pour sa culture « toxique et sexiste », Activision Blizzard promet de lutter contre le harcèlement
Mercredi, la commission de discipline de la LFP va s’emparer du dossier des graves incidents ayant émaillé le match entre Nice et l’OM, dimanche soir. La procédure s’annonce longue et compliquée pour établir les responsabilités de chacun et en arriver à des sanctions adéquates. En attendant, le président de la Ligue, Vincent Labrune, a adressé ce mardi un courrier aux ministères de l’Intérieur, de la Justice, de l’Education Nationale et des Sports pour faire part de son inquiétude et réclamer plus de moyens pour lutter contre la violence dans les stades.
« La sécurisation des matchs de football et la gestion de certains supporters sont particulièrement complexes », écrit le dirigeant dans cette lettre révélée par RMC Sports. Labrune pointe des problèmes dans les tribunes lors de cinq matchs, déjà, alors que le championnat n’a repris que depuis cinq journées.
Une table ronde pour trouver « des solutions pérennes » ?
« Il me semble important de vous alerter pour vous faire part de notre inquiétude et vous rappeler que les pouvoirs de la LFP sont, somme toute, assez limités pour régler ces problèmes de violence et d’ordre public, observe-t-il. Il est essentiel que les fauteurs de troubles soient sanctionnés significativement et, cela nécessite une action commune des clubs, des instances, des pouvoirs publics locaux et nationaux, mais aussi et surtout de la justice. »
Pour terminer, Vincent Labrune se dit à la disposition des ministères sollicités pour trouver « des solutions pérennes pour une meilleure sécurisation des matchs ». Entendant par là pousser les pouvoirs publics à se mettre autour d’une table, déjà, pour aborder le sujet.
Sport
Nice-OM : Pour Nicolas Hourcade, « les événements de Nice ne remettent pas en cause le dialogue ouvert avec les supporters »
Sport
Incidents Nice-OM : José Cobos raconte comment il dû s’interposer entre Jean-Pierre Rivère et Pablo Longoria en tribunes
According to PWInsider.com, The Revival will be working NXT events next week, and are not currently on the main roster tour of The UK and Europe, meaning the team will not be on Raw next week being taped in London.
WWE Network Plug Pays Huge Dividends for GWN App
According to PWInsider.com, after WWE Network promoted the Global Wrestling Network app on “Table for 3” this week, the app went from the 669th position on the top free sports app list to the 101st position.
The WWE Network plug paid off even more than the Redemption PPV, as the app peaked at the 130 position following the Impact event. The report furthers that in Canada, the app went from 1239th to 97th in a single day, and in Great Britain, it went from 1029th to 143rd.
After the Table For 3 show featuring AJ Styles, Kurt Angle, and Shane McMahon this was displayed on the award winning WWE Network. pic.twitter.com/JAOr1ZbpsD
— JJ Williams (@JJWilliamsWON) May 8, 2018
There’s a reason INTENSITY was the first of @RealKurtAngle‘s three I’s, and @shanemcmahon & @AJStylesOrg know that firsthand… #TableFor3 pic.twitter.com/62Prcfwsbw
— WWE (@WWE) May 8, 2018
HHH at NXT Tapings
Triple H posted the following photo hyping tonight’s WWE NXT TV tapings:
Final @WWENXT TV tapings @FullSail before: #NXTRoadTrips…#NXTDownload…#NXTParis…#NXTAntwerp…
This past Friday night, Impact Wrestling held its One Night Only Cali Combat event, and former WWE star James Ellsworth made his Impact debut at the event. Below are clips of Ellsworth at the event, which at this time appears to be a one-off appearance for the company:
No Chin Music connects! #IMPACTONO @realellsworth pic.twitter.com/VvSMMjcozM
— IMPACT (@IMPACTWRESTLING) May 14, 2018
.@realellsworth has arrived at Cali Combat! #IMPACTONO pic.twitter.com/02Xhx1ya8p
— IMPACT (@IMPACTWRESTLING) May 14, 2018
Ellsworth commented on the debut with the following:
Well there you have it…
But is it time for me to make even more of an Impact? 🤔@IMPACTWRESTLING https://t.co/dA4lDVvzpe
— James Ellsworth (@realellsworth) May 14, 2018
Carmella Hypes ‘Mellabration’
As noted, WWE Women’s Champion Carmella will be throwing a “Mellabration” in London at Tuesday’s Smackdown tapings, and the Champ Tweeted the following:
Who is ready for the ROYAL #Mellabration tomorrow?! It’s going to be FABULOUS because #MellaIsMoney 🤑🤑🤑 pic.twitter.com/6TVTjobJ0F
— Smackdown Womens Champion (@CarmellaWWE) May 14, 2018
WWE Games has announced that WWE 2K19 is officially scheduled to be released this fall:
.@2K announced today that #WWE2K19 is officially scheduled to release this fall. Stay tuned for more information down the road. https://t.co/uVF8pPBfQc pic.twitter.com/vFFmScIunA
— WWE 2K18 (@WWEgames) May 16, 2018
Talents React to UK Tournament Announcement
Following today’s new that the first eight competitors have been announced for the upcoming WWE UK Title tournament, Jack Gallagher and El Ligero have issued the following comments:
Wait … @Ligero1 is from Leeds?!
— Gentleman Jack Gallagher (@GentlemanJackG) May 16, 2018
I’m absolutely thrilled to be part of the @WWE United Kingdom Championship Tournament! After over 17 years of hard work all over the world, being a part of @WWEUK is a dream come true. #WWE #WWEUK #WWEUKCT https://t.co/nMYB1jNsnG
Overwhelmed by the amount of positive support since the announcement. Thank you for all the comments and messages! And thank you to everyone who has helped me through the years to reach the foot of this mountain. Now it’s time to put in the work and climb it! #WWE #WWEUK #WWEUKCT
— El Ligero (@Ligero1) May 16, 2018
Stephanie McMahon Speaking at Summit
Stephanie McMahon has released the following video, announcing she will be speaking at the upcoming Web Summit in Lisbon this November:
Excited to be speaking at #WebSummit this November in #Lisbon! pic.twitter.com/BKiC7RLzBo
EC3 reflects on Johnny Gargano’s interruption during The Top One Percent’s match against Fabian Aichner.
Who Won Smackdown’s Dance-Off?
This week’s Smackdown Live hosted a bout straight out of the mid-2000s, as Lana and Naomi faced off in a dance-off just two weeks before both ladies compete in the annual Women’s Money in the Bank ladder match.
It was announced that both participants had 60 seconds to impress the audience, and that a fan vote would decide the winner, who would receive… I don’t know, bragging rights, I guess? Unfortunately, before the fans could weigh in with their thoughts, tensions rose and a brawl broke out between The Usos and Rusev Day, who were both ringside for the occasion.
Since there was no definitive answer, WWE.com now has a poll up asking the fans who they thought won the dance-off. Currently it’s neck-and-neck with Lana just barely ahead with 51% of the vote.
Do you think @LanaWWE or @NaomiWWE won last night’s #DanceOff on #SDLive? https://t.co/KXByfYlTk1
— WWE (@WWE) May 30, 2018
Deleters of Worlds Land Merch
The Raw Tag Team Champions Bray Wyatt and Matt Hardy finally have their first official t-shirt featuring the two bizarre WWE Superstars in a yin-yang with the words “Deleters of Worlds”. You can pick up the new merch at the official WWE Shop which usually has some kind of sale going on, with their biggest sales always taking place on Mondays during Raw.
THEY’RE HERE! ——> https://t.co/7g5GDF7biB
RE-TWEET if you’re ready to DELETE with us. pic.twitter.com/Gx0xNdtNXL
— #WOKEN Matt Hardy (@MATTHARDYBRAND) May 30, 2018
After weeks and weeks of unsettling promos, scary vignettes, and heavy anticipation, The Wyatt Family finally debuted on July 8th 2013, and the WWE hasn’t been the same since.
Luke Harper and Erick Rowan, now known as the Bludgeon Brothers, were followers of Bray Wyatt, the cult leader. The video packages were complete in the back woods with Bray in a wooden rocking chair and Rowan in a sheep mask, symbolizing the followers that the people(including himself) are. And then, with two ominous words, the WWE Universe had to wait no longer. Wyatt announced simply….”We’re here”. Check out the full debut below.
Five years ago today, they were here…#TheWyattFamily #RAW @WWEBrayWyatt pic.twitter.com/0RXh9ulvdm
— WWE (@WWE) July 8, 2018
WWE Superstar Teases Return To Raw In Boston
Last week we reported that Mike Kanellis took part in a dark match before WWE Raw in a match against No Way Jose.
Looks like Kanellis is coming back to the site of Raw tomorrow night, which is emanating from Boston. Kanellis is teasing a possible bigger role. As of this writing, nothing is confirmed of yet, but he has noted that the “Prodigal Son Has Returned”.
Excited to head to Boston tomorrow for #RAW. Haven’t been to Boston since I started with @WWE. The Prodigal son has returned.
Regarder Stars sous hypnose a changé la vie de Denis (54 ans). Le 21 mai 2016, l’entrepreneur des Landes était devant son poste de télévision pour regarder Laurie Cholewa, Danièle Évenou ou encore Cartman se faire hypnotiser par Messmer. Et il s’est retrouvé hypnotisé comme il l’a confié à nos confrères de Télé Poche.
“Je suis resté bloqué. (…) J’étais devenu un homme de pierre. Enfermé dans mon corps mais conscient. Je ne pouvais pas parler. Je suis resté comme ça une heure et demie. (…) J’ai senti que je plongeais dans un tunnel. À un moment, j’ai même pleuré, tellement j’ai cru que je ne m’en sortirais jamais. J’ai eu la peur de ma vie “, a-t-il expliqué. Très inquiète, sa femme a rapidement contacté le Samu. En arrivant, les pompiers ont cru à un canular. Heureusement, son épouse s’est vite souvenue qu’il “fait des décomptes à 3 dans [ses] hypnoses“, ce qui lui a permis de revenir à lui.
Très marqué par cet événement, l’homme qui s’auto-hypnotise régulièrement a consulté un neurologue. Ce dernier lui a expliqué qu’il était “comme dans un état chamanique” lors de cette hypnose involontaire. Cela a eu pour conséquences qu’il est “resté six mois avec des difficultés d’orthographe“. “Je ne me souvenais pas du prénom d’amis, je confondais le chaud et le froid… Aujourd’hui, j’ai toujours des problèmes de mémoire“, a-t-il précisé.
Arthur m’a appelé
Denis a bien tenté de joindre Messmer, sans succès. Il a en revanche échangé avec Arthur, qui anime Stars sous hypnose : “Il a été très bien. Il m’a appelé pour savoir comment j’allais. Il voulait même que j’aille sur le plateau… N’ayant plus de nouvelles, il s’est sans doute assuré que je n’allais pas lui coller un procès. Ce n’est pas ma philosophie. Il a préféré ne pas montrer son visage.“
Pour rappel, Messmer s’était confié à nos confrères de L’express après avoir découvert cette affaire en mai dernier : “Tout le monde est réceptif à l’hypnose.Notre énergie varie de jour en jour et des facteurs comme le manque de sommeil et le besoin de récupération peuvent influencer et accroître la réceptivité.” Il a ensuite admis avoir déjà hypnotisé une personne par texto et a confié que s’il arrivait qu’un homme ou une femme soit hypnotisé à distance, il était inutile d’appeler le Samu : “Il faut simplement laisser la personne s’éveiller naturellement ou la réveiller comme on le ferait avec quelqu’un qui dort, qui rêve ou qui est somnambule. Il n’y a aucun danger à vivre l’hypnose, qui est une forme de sommeil naturel.“
Messmer joue actuellement son nouveau spectacle Hypersensoriel. Le fascinateur de 46 ans était au Grand Rex du 9 au 20 janvier dernier. En mars prochain, il passera par Rouen, Brest ou encore Rennes. Les réservations peuvent s’effectuer sur https://messmer.ca/fr/acheter-des-billets/?f=europe.
L’intégralité de l’interview de Denis est à retrouver dans le magazine Télé Poche du 18 février 2019.