Actuellement à la une de l’édition française de Vanity Fair, Rihanna est loin de faire ses premiers pas dans le domaine. Depuis ses débuts à la Barbade jusqu’à son titre de reine des charts, la chanteuse cumule des centaines de couvertures de magazines, partout dans le monde.
Bad girl et fille chic, c’est ainsi que la rédaction française de Vanity Fair décrit la Rihanna d’aujourd’hui. Pour sa nouvelle édition, en kiosque depuis vendredi 20 novembre, le magazine offre à la chanteuse de nouvelles lettres de noblesse. Rien de plus naturel aujourd’hui pour celle qui vend encore des millions d’albums et inspire les artistes du monde entier.
Au cours de ses dix années de carrière, Rihanna a enchaîné les couvertures de magazines dans le monde. Certaines plus gratifiantes que d’autres pour celle qui revendique aujourd’hui un style très pointu. À ses débuts, la perle de la Barbade paraissait douce et innocente, souvent vêtue de top satinés ou d’ensembles très sportswear. Bref, une jeune fille à qui l’on donnerait le bon dieu sans confessions. Mais très vite, les ballades pop de Rihanna prennent une tournure plus hip-hop. L’interprète d’Umbrella pose ainsi, en 2009 sans top mais en haut de bikini et jean en une de GQ. La bad girl sort doucement de sa chrysalyde. S’ensuit une série de une ou Riri pose nue, dans toutes sortes de positions. Les lecteurs découvrent à chaque fois de nouveaux tatouages qui viennent habiller le corps de la jeune femme. Mention spéciale au magazine Lui qui obtient de Rihanna en 2014 une séance photo particulièrement hot et qui restera dans les annales…Et ce dernier shooting en date, réalisé à Cuba et signé Annie Leibovitz, avait servi à la version américaine de VF avant de se retrouver dans les kiosques français.
Photographiée à chacune de ses sorties publiques mais aussi largement paparazzée, Rihanna ne se prête pourtant pas souvent aux séances photo exclusives. Celle qui cherche à s’offrir une crédibilité mode, ne présente son célèbre profil qu’à de grands photographes comme Terry Richardson, Mario Sorrenti ou Annie Leibovitz. La preuve que son calcul était le bon: Dior, la maison dont elle est l’égérie, lui a consacré la une d’un magazine spécial réalisé en son honneur.
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