Bernadette Chirac : « Un président de la République célibataire, cela doit être difficile »

Dans une entretien accordé à l’hebdomadaire Paris Match, Bernadette Chirac s’est à nouveau exprimée sur la situation de François Hollande et Valérie Trierweiler.

Première dame pendant douze ans Bernadette Chirac, est visiblement très sensible au sort qui a été réservé à Valérie Trierweiler ces derniers jours.

“Elle vient de traverser une grande épreuve, explique-t-elle dans le dernier numéro de Paris Match. Bien sûr, en tant que femme, j’ai une pensée amicale pour elle. Mais je n’ai pas à porter un jugement sur cette situation. C’est une question qui la regarde, et elle seulement.”

La présidente de l’opération des Pièces jaunes, toujours très appréciée des français (À la question posée par Le Parisien « Parmi toutes les conjointes de présidents de la Vème République, laquelle avez-vous préféré ou préférez-vous? », 46% des Français ont voté pour elle), remarque aussi dans cet entretien : « qu’être un président de la République célibataire, cela doit être très difficile. La charge et la responsabilité sont très lourdes. Dans ce cas précis, le chef de l’État devra recruter des collaborateurs spécialement choisis pour surveiller la bonne marche du palais de l’Élysée ».

Dans une interview à Europe 1 le 21 janvier, l’une des coqueluches des Guignols de l’Info, avait déjà fait part de sa sollicitude envers l’ancienne compagne de François Hollande. « Je ne l’ai pas eue récemment au téléphone parce que je ne veux pas être indiscrète, expliquait-elle. Elle est probablement très fatiguée. Si elle a été à l’hôpital pendant huit jours, ce n’est sûrement pas sans raison. Mais en revanche, je lui ai écrit un petit mot. »

Un petit mot que Valérie Trierweiler n’aurait toujours pas lu à en croire les informations du Parisien qui expliquait en début de semaine que le palais de l’Elysée ne semblait pas être disposé à faire suivre son courrier.