Le 15 juillet 2019, Jesta a donné naissance à son fils Juliann, à 21h40. Une naissance que son mari Benoît et elle n’ont pas tardé à annoncer sur leurs réseaux sociaux en partageant des photos de leur merveille. Ils ont ensuite partagé leurs premières nuits difficiles ou une première photo de famille le 20 juillet dernier. Dans le même temps, la Toulousaine de 26 ans révélée dans Koh-Lanta, l’île au trésor a raconté son accouchement difficile. Et ce mardi 23 juillet, c’est son allaitement qu’elle a évoqué avec ses abonnés, sur Snapchat.
Dans un premier temps, la jeune maman a expliqué qu’avant son accouchement, elle s’était beaucoup renseignée sur le sujet, car elle souhaitait vraiment essayer et, surtout, réussir. Si au départ, elle pensait que ce serait “un truc hyper naturel“, elle s’est vite rendu compte que ce n’était pas si simple. “J’ai commencé à avoir des doutes sur la réussite de l’allaitement. Donc j’étais quand même stressée à l’idée de ne pas réussir“, a confié Jesta. Le jour de la naissance de Juliann, elle a précisé aux sages-femmes qu’elle souhaitait allaiter.
Mais un imprévu l’a empêchée de donner le sein directement après son accouchement : “Les cinq premières heures où j’ai accouché, je me suis évanouie deux fois. Je n’avais plus de force, je n’arrivais pas à porter bébé. J’ai essayé de le mettre au sein, mais je me suis évanouie. Donc ils ont voulu donner une seringue de 10 ml de lait artificiel. J’ai commencé à flipper, je me suis dit qu’ils allaient tuer mon allaitement.” N’étant pas dans son assiette, Jesta a tout de même accepté de lui donner autre chose que du lait maternel. Mais elle a insisté pour que Benoît le lui donne avec son petit doigt.
Le début de son allaitement
Après avoir récupéré un peu de force, l’ancienne aventurière de TF1 a essayé de mettre Juliann au sein. Mais il a refusé, de quoi l’angoisser quelque peu : “J’ai paniqué. En fait, il avait beaucoup de glaires. Il avait pris beaucoup de liquide amniotique et vu que j’étais déchirée dans tous les sens, la compression n’a pas été assez forte pour lui enlever tout le liquide amniotique. Je n’étais pas bien.“
Après plusieurs tentatives, Jesta a finalement réussi le lendemain. Mais elle a fait face à une autre angoisse. Avant la montée de lait, le bébé boit du colostrum, une substance épaisse de couleur jaune-orangé produite par la glande mammaire qui a pour vocation de nourrir le nouveau-né dès sa naissance. Le souci ? C’est moins nourrissant que le lait, son fils était donc constamment au sein. “Je me suis dit que si c’était comme ça, je ne pourrais jamais tenir. (…) Je n’avais même pas le temps d’aller aux toilettes. J’ai commencé à pleurer, car j’étais à bout, j’étais fatiguée“, s’est souvenue Jesta.
La montée de lait a été une révélation
Elle appréhendait également la montée de lait, car elle avait lu que cela pouvait être douloureux. Pourtant, elle s’est produite sans qu’elle s’en rende compte. “La montée de lait a été une révélation. Vu que j’avais du lait et que ça le nourrissait pleinement, il était moins collé à mon sein. Et après avoir tété, il dormait“, a déclaré Jesta. Elle a ensuite donné quelques conseils aux femmes qui souhaitent aussi allaiter. Comme le fait de ne pas trop se focaliser sur les témoignages d’autres personnes, car cela peut être angoissant ou induire en erreur.
“Pleinement heureuse et satisfaite” de son allaitement, Jesta est bien décidée à tirer son lait dès qu’elle le pourra, notamment pour en faire don à des bébés prématurés.
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