#AlertePollution : dans la baie du Mont-Saint-Michel, les plages envahies par le plastique issu des élevages d’huîtres et de moules

#AlertePollutionRivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?
Cliquez ici pour nous alerter !Au loin, la silhouette du Mont-Saint-Michel se découpe dans le ciel. De Cancale (Ille-et-Vilaine) à cet îlot rocheux (Manche), le paysage du littoral est majestueux. Cette baie, classée au patrimoine mondial de l’Unesco, est l’un des lieux de promenade préférés de Jacques Taillefer, avec les rives de la Rance. “J’y passe le plus clair de mon temps parce qu’il y a urgence”, explique ce retraité de 65 ans à franceinfo. L’urgence, ce sont les déchets plastiques liés aux activités conchylicoles qui s’amoncellent un peu partout. Un constat partagé par les associations environnementales locales qui tentent de contenir cette invasion de plastique.“Ce sont des macro-déchets au début, puis, au fil du temps, ils se fragmentent”, nous a alerté l’ancien infirmier, en répondant à notre appel #AlertePollution. Au téléphone, Jacques Taillefer est justement en plein ramassage. “J’en ai plein les sacs, souffle-t-il. C’est une pollution permanente. En deux heures, vous pouvez retrouver des dizaines de dispositifs anti-crabes et de poches à huîtres. Ce sont ceux qui vivent de la mer qui la souillent…Des tonnes d’huitres, de moules… et de plastiqueCe morceau de littoral, à cheval entre la Bretagne et la Normandie, n’est pas seulement un lieu de balade pour touristes. C’est aussi le cœur de l’activité conchylicole française et européenne. Leurs vedettes sont bien connues : les moules, accrochées à quelque 318 000 bouchots dans la baie, et les huîtres, creuses ou plates, qui représentent près de 5 000 tonnes de production chaque année. Au total, la baie compte 119 entreprises conchylicoles qui emploient 600 personnes, rappelle la préfecture.

Des cônes en plastique et des filets autour de moules de bouchot, dans la baie du Mont-Saint-Michel. (DR)

Mais cette activité économique menace aujourd’hui l’écosystème du littoral, selon plusieurs associations environnementales. Il faut dire que la liste des matériaux plastiques utilisés par les conchyliculteurs est longue, énumère Marie Feuvrier, présidente de l’Association pays d’Émeraude mer environnement (Apeme). Au menu, des filets accrochés autour des pieux à moules de bouchot, des cônes en bas pour éviter les attaques de crabes, des rubans effarouchants au sommet pour faire fuir les oiseaux, mais aussi des poches à huîtres en plastique et leurs élastiques.Tous ces morceaux de plastique sont régulièrement rejetés en mer par la force des vagues, notamment lors des tempêtes. Une fois détachés, ces déchets s’échouent sur le rivage et les plages de la baie ou se transforment en petites particules de plastique, très polluantes.”La mer est plus forte que nous”Depuis plusieurs années, l’ostréiculture et la mytiliculture sont devenues une véritable “plasticulture”, dénonce l’Association de nettoyage au service de l’environnement et du littoral (Ansel), qui s’occupe notamment de ramasser ces déchets. Et les conséquences sont préoccupantes. “Certains oiseaux se prennent les pattes dans des cordages et on retrouve des cormorans avec des morceaux de plastique, note Gérard Prodhomme, administrateur chargé de la mer et du littoral à l’association Bretagne vivante. On organise des visites sur ces sites pour l’observation des oiseaux et on a des remarques permanentes sur ces déchets.”Les associations pointent aussi le comportement d’une partie des professionnels. “L’individualisme de chaque producteur provoque ces dégâts, tance Pierre Lebas, président des Amis du rivage de la baie du Mont-Saint-Michel. Certains mytiliculteurs prennent le soin de ramener ces déchets au port, mais d’autres n’en ont rien à faire et laissent tout sur place.”Les professionnels ne sont même pas respectueux de l’image du Mont-Saint-Michel qu’ils utilisent pour vendre leurs huîtres.Pierre Lebas, président des Amis du rivage de la baie du Mont-Saint-Michelà franceinfoLes conchyliculteurs que nous avons contactés reconnaissent l’existence de cette pollution, mais affirment qu’ils sont de bonne volonté pour la limiter. “On est vigilants là-dessus. On essaye de ramasser les plastiques sur les bouchots”, assure un producteur de moules, pas franchement enchanté lorsqu’on aborde le sujet des déchets plastiques. “On en voit beaucoup sur le rivage”, lâche-t-il, avant de se reprendre : “Enfin, on en voit. Mais moins qu’avant.”“On essaye de travailler correctement, mais la mer est plus forte que nous, justifie de son côté Ghislain Barbé, producteur de moules au Vivier-sur-Mer (Ille-et-Vilaine). C’est compliqué de ne pas avoir de déchets en mer, à cause des intempéries. On ne peut pas dire qu’on est parfaits, mais il y a des efforts qui sont faits.”Des initiatives lancées avec les professionnelsLa préfecture, elle, tente de relativiser le problème. “A l’échelle départementale, l’ampleur des pollutions plastiques est assez difficile à mesurer, tout comme les effets sur le milieu marin ou la part des déchets liés aux seules cultures marines”, nous indique-t-on. Les autorités préfèrent communiquer sur les initiatives mises en place avec les syndicats de la profession. Ainsi, certains cônes en plastique, accrochés en bas des bouchots, sont désormais gravés, pour retrouver les exploitations concernées en cas de rejets. “Nous saluons cette démarche qui incite à faire davantage attention”, indique l’Apeme. Des bennes collectives ont aussi été installées à destination des professionnels.“Des actions de ramassage des déchets échoués sur les plages sont organisées régulièrement tout au long de l’année, particulièrement après les tempêtes”, explique le Comité national de la conchyliculture à franceinfo. “Les moyens sont très insuffisants pour atteindre un objectif raisonnable : très peu de déchets dans un site classé au patrimoine mondial”, nuance toutefois Pierre Lebas, des Amis du rivage de la baie du Mont-Saint-Michel.Tout le littoral français est concernéLa solution pourrait venir des avancées technologiques. Des filets biodégradables ont ainsi été testés dans le Morbihan, rapporte Le Télégramme. En Poitou-Charentes, des coupelles en bioplastique, composées de 30% à 60% de glucose végétal ainsi que de résidus de coquilles d’huîtres, ont été développées avec le comité régional conchylicole, rapporte Ouest France.Car cette pollution plastique va au-delà des frontières de la baie du Mont-Saint-Michel. Sur la Côte d’Opale (Hauts-de-France), “la conchyliculture peut être localement la cause d’une impressionnante présence de déchets sur les plages”, rapporte Jonathan Henichard, de l’association Sea-Mer, chargée d’identifier les déchets du littoral. Idem plus au sud, sur le littoral de Charente-Maritime, où “nous estimons à environ 10 tonnes par an la quantité de plastiques échoués identifiés ‘conchyliculture'”, explique Fabrice Faurre, du bureau d’étude TEO La Rochelle. Tout le long des côtes françaises, des professionnels tentent ainsi de remédier à cette situation. Mais “il faut aussi nous laisser du temps pour arriver à des produits bons pour l’environnement, plaide le producteur de moules Ghislain Barbé. Un médicament, ça met vingt-cinq ans à arriver sur le marché…”

Soudan : les femmes dans la contestation contre le régime d’el-Béchir

Les centaines de manifestants qui se dirigeaient le 10 février 2019, vers une prison pour femmes à Omdourman, au Soudan, ont été dispersés par des tirs de gaz lacrymogène.Libération des manifestantes arrêtées“Nous sommes des battants, nous allons achever notre mission”, scandait la foule dans cette ville voisine de la capitale Khartoum, appelant aussi à “renverser” le président Omar el-Béchir au pouvoir depuis 1989, ont indiqué des témoins.A l’appel de l’Association des professionnels soudanais, fer de lance de la contestation, les protestataires exigeaient la libération de manifestantes arrêtées.Cette marche, intitulée “Rassemblement pour les femmes détenues”, “nous encourage à continuer jusqu’à ce que nous obtenions gain de cause”, a déclaré une manifestante à l’AFP. “Les femmes sont à la tête du mouvement de contestation”, a-t-elle ajouté, sous couvert d’anonymat.Des milliers de Soudanaises participent en effet régulièrement aux manifestations contre le régime.La chevelure entièrement rasée“Malgré le harcèlement et les menaces de viol de la part des sbires du régime islamo-militaire, les femmes marchent côte à côte avec les hommes presque tous les jours dans les 15 provinces (sur 18) qui se sont soulevées”, écrivait le 3 février Le Journal du Dimanche.Malgré aussi la dernière “punition” en date infligée aux manifestantes détenues, à savoir “la chevelure entièrement rasée”, souligne l’hebdomadaire.“C’est une nouvelle manière de nous humilier”, déplore Rania, 34 ans, manager dans une entreprise et qui a protesté à huit reprises à Khartoum depuis le début du mouvement.Certaines professionnelles de santé choisissent de participer en soignant les blessés, d’autres en ouvrant leur maison pour que les manifestants pourchassés puissent s’abriter,Le président el-Béchir a lui-même admis le 6 février, que des lois controversées sur l’ordre public avaient alimenté la colère des jeunes “dont la majorité sont des femmes”.Selon des militants, certaines de ces lois ciblent les femmes et les punissent de peines de prison ou d’amendes, notamment celles accusées de porter une “tenue indécente” ou de “comportement immoral”.Des lois respectant la dignité et la diversité du peuple soudanaisDes ONG soudanaises de défense des droits des femmes affirment que plus de 15 000 femmes ont été condamnées à la flagellation en 2016 au Soudan. “Nous ne protestons pas seulement contre ces lois sur l’ordre public”, a commenté Tahani, une manifestante.Mais une fois que le régime sera “renversé”, de nouvelles lois respectant “la dignité et la diversité du peuple soudanais” verront le jour, a-t-elle ajoutéDevenues quasi quotidiennes, les manifestations déclenchées depuis près de deux mois contre le triplement du prix du pain se sont transformées en mouvement de protestation contre le président el-Béchir qui n’entend pas lâcher le pouvoir sous le pression de la rue.Selon un bilan officiel, 30 personnes sont mortes depuis le début du mouvement. Human Rights Watch (HRW) a fait état de 51 morts. D’après des ONG de défense des droits humains, plus de 1000 manifestants, leaders de l’opposition, militants et journalistes ont été arrêtés depuis le 19 décembre 2018.Click Here: Cardiff Blues Store

Martine Aubry: son appel raté

Dans une lettre adressée vendredi aux partenaires de la gauche, Martine Aubry appelle à élaborer une stratégie commune en vue des présidentielles de 2012. Une démarche plutôt mal reçue…

Après ce qu’elle appelle un «nouvel échec des forces du progrès», Martine Aubry ne peut rester de marbre. Elle a donc décidé d’en appeler une nouvelle fois à ses partenaires de la gauche, qui avaient fait cavaliers seuls au premier tour des élections européennes.

Toutes les têtes ont été visées: Daniel Cohn Bendit et Cécile Duflot, les écologistes, Marie-Georges Buffet du Parti Communiste, Jean-Luc Mélanchon du Parti de Gauche, Jean-Michel Baylet des radicaux de gauche.

Elle les invite à «participer à l’élaboration d’un projet commun de la gauche en 2012 et à mettre en œuvre une stratégie politique électorale commune pour l’emporter». Sans oublier qu’entre temps, il y a les élections régionales, et que celles-là, il vaudrait mieux les gagner…

On pourrait penser que cette proposition d’édifier une «maison commune», et d’inventer collectivement, est honorable, et allait séduire les «partenaires». Mais non! Daniel Cohn-Bendit, d’habitude si fier qu’on le sollicite, a pourtant exhorté le Parti Socialiste à «arrêter de leur casser les pieds». Charmant! «Y en a assez de ce Parti socialiste qui devrait s’occuper de lui plutôt que mettre en garde toujours les autres.»

Il faut reconnaître qu’il doit se sentir harcelé depuis son excellent résultat aux dernières élections européennes. Le Parti Socialiste n’a en effet pas cessé de faire du gringue aux Verts depuis ce moment.

Quant à Jean-Luc Mélenchon, il renvoie directement la première secrétaire dans les cordes, l’accusant de «double jeu»: «On ne peut pas proposer l’union de la gauche au national, et avoir un comportement contraire à la base.» Il en profite pour moquer son «vocabulaire hérité de l’URSS de Gorbatchev».

Quant à Olivier Besancenot, il n’a pas eu à commenter cette lettre, puisqu’il ne l’a jamais reçu. François Lamy a expliqué que le leader du Nouveau Parti Anticapitaliste avait rejeté l’idée de travailler avec l’exécutif avant même qu’on lui pose la question. Tant mieux, il ne sera pas l’auteur de la enième réfexion désagréablie qu’aura à supporter la pauvre Martine Aubry.

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Les radicaux ne portent pas bien leur nom dans cette histoire, puisque Jean-Michel Baylet a été le plus modéré d’entre les « amis » de la patronne du PS . Il a d’abord félicité la patronne du PS pour sa «démarche qui va dans le sens de l’unité», tout en lui disant quand même de balayer devant sa porte: «les Socialistes doivent se retrouver avant que la gauche se rassemble.»

Courage Martine, les appels aux rassemblement finiront peut-être par payer.

C.C.

Dimanche 12 juillet 2009

EU leaders to renew focus on climate change

EU leaders to renew focus on climate change

Climate change received only cursory attention at the European Council, as the eurozone’s difficulties took precedence.

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Herman Van Rompuy, the European Council president, had promised at the start of the year, in the wake of the EU’s failure at the Copenhagen negotiations, that climate change would top the agenda of the informal summit in February. In the event, Greece’s debt crisis took precedence over a soul-searching discussion of the EU’s climate diplomacy and the issue was never high on the agenda for last week’s meeting.

After discussions on Friday morning, EU leaders pledged to bring “a new dynamic” to stalled international talks and spelt out their expectations for two big meetings in 2010.

Efforts to agree a new global deal on climate change are to resume at a United Nations conference in Bonn in May and June, which will be followed by a further UN conference in Cancún, Mexico, in December.

Cancún roadmap

The EU wants the Bonn meeting to produce a roadmap for moving the talks forward and hopes that Cancún will yield agreements on such crucial issues as adaptation to climate change and tackling deforestation.

Van Rompuy promised meetings with significant countries to move the talks forward and the EU wants climate change put on the agenda for the G20 meeting in Toronto in June.

Restored target

A draft of the European Council conclusions that was circulated on Friday briefly put the EU’s commitment in question because it did not contain the EU’s long-standing promise to increase its carbon-reduction pledge to 30% by 2020 if other countries made similar efforts. The target was restored to the final version of the published conclusions, after some governments argued that it would look inconsistent not to include the EU’s oft-stated position.

For the next Council meeting in June, the European Commission will present a cost-benefit analysis of cutting greenhouse gas emissions by 30%.

Authors:
Jennifer Rankin 

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Attack leads to call for special security zone

Attack leads to call for special security zone

Buzek wants Belgian police to take charge as MEP is mugged in park near Parliament building.

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The mugging of an MEP in Brussels last week has prompted Jerzy Buzek, the president of the European Parliament, to urge the Belgian authorities to provide additional security for staff working in EU institutions.

Buzek wants a special security zone to be set up around the EU’s Brussels buildings.

Estonian Liberal Democrat MEP Vilja Savisaar was robbed by a lone thief on Tuesday (2 March) in Parc Léopold, next to the assembly’s main buildings in Brussels, while on her way home.

“A man came towards me with a mask or black stocking over his face, and he had his hand in his pocket. I didn’t know if he had a gun or a knife or something. He came to me and pushed me down and took my bag,” Savisaar told European Voice.

The attack follows a similar assault on German centre-right MEP Angelika Niebler last October. The Parliament was also the victim of a robbery last year, at a branch of the ING bank in the Paul-Henri Spaak building.

Police protection

Buzek has won the backing of the Parliament’s bureau, made up of the assembly’s vice-presidents, to hold talks with Belgian authorities on creating “a special zone of security” around EU buildings.

Buzek has suggested that the federal police, which usually provide security for EU summits, should be put in charge of security around the European Commission, Parliament and Council of Ministers buildings in Brussels, and a special police station should be created inside or near the Parliament.

Parliament officials say previous requests have not been answered by the city’s police forces.

Officials want enhanced security measures similar to those taken around other international organisations, such as the United Nations headquarters in New York.

Michael Mann, spokesman for Maroš Šefc?ovic?, the European commissioner in charge of administrative issues and of relations with the Parliament, said the commissioner “shared the concerns” of MEPs and had been in contact with Belgian authorities over security around the Commission’s buildings.

He had agreed to improve the exchange of security information between the Commission and local police forces.

A spokeswoman for Annemie Turtelboom, Belgium’s interior minister, said talks were planned between the minister’s staff and Parliament officials in the coming days, but she refused to comment on demands for extra patrols or on current policing policies for the EU institutions.

Savisaar said she and many other MEPs were frustrated by the lack of security around the Parliament, especially in the evenings.

The Parliament has become a magnet for thieves, many officials believe, because of the relative wealth of MEPs and their staff, and the luxury cars that are seen around the assembly buildings day and night.

Brussels police statistics for 2000-09 show a steady increase in muggings, purse snatches, and car break-ins in the areas of Brussels, Ixelles and Etterbeek, where the Parliament is located.

Authors:
Constant Brand 

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Paying the price for new technology

Paying the price for new technology

Getting the right regulatory environment is vital in order to ensure the successful development of smart grids.

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While governments agree on the importance of rolling out smart-grid technology, trying to create the right regulatory environment to do it is causing them a headache.

The companies that manage Europe’s energy networks, such as Enel Distribuzione in Italy and Electricité Reseau Distribution France, are warning
that they must be allowed to pass on some of the upfront costs of developing smart grids if they are to afford the investment. They say that current pricing restrictions, placed on them as regulated monopolies, prevent them from doing this.

The European Network of Transmission System Operators for Electricity, an industry association that represents grid operators, said  in March that regulators in “many EU countries” did not allow operators to recover costs incurred when pursuing “innovative activities”.

“[Addressing] this point is crucial to have effective deployment of smart-grid solutions,” it said.

European energy regulators are concerned, however, that giving in to these requests would mean higher energy prices for consumers, reducing popular support for smart grids. Energy suppliers, on the other hand, insist that any sharing of costs must include electricity users.

But regulators have argued that introducing smart-grid technology would, in the long term, save money for network operators and suppliers through improved network efficiency.

Technical standards

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Regulators also face the difficult challenge of setting technical standards for smart grids. Network operators and energy suppliers argue that detailed, EU-wide standards are vital to ensure that smart-grid technology in different member states is interoperable (thereby creating economies of scale and preventing market fragmentation), and to build confidence that expensive technology will be compatible with any changes to EU or national law.

They say that there is an acute need to prevent a repeat of what has occurred with smart meters, where different, incompatible technologies have been introduced in some member states (eg, Sweden and Italy), while the lack of EU-wide standards has discouraged investment in others.  

German energy company E.ON warned in a paper sent to the European Commission earlier this year that “the lack of standards is a significant barrier to investment [in smart grids], and smart metering is a good example of it”. 

Bob Gilligan, vice president of GE Energy Services’ digital energy business, says that “the technology exists today to start making the grid smarter”, but what is needed is “open technology standards” to apply it.

Regulators, however, are concerned that setting highly prescriptive standards for smart grids could make it harder to upgrade them later on, when new, and unforeseen, technologies become available.

Eurelectric, the association representing the EU’s electrical industry, has acknowledged that regulators face a trade-off between “quick adoption” of smart meters and the “higher potential” of future technologies.

Definition difficulties

The European Regulators’ Group for Electricity and Gas, an advisory body that brings together national energy regulators, published a report in October 2009 which identified that, far from having common standards for smart meters, the EU does not even have a definition of what one is.

John Harris, head of regulatory and governmental affairs at Landis and Gyr, one of the world’s largest manufacturers of smart meters, describes the report as “sobering”. “If you don’t even know what are talking about, how can you possibly develop policy to deal with this?” he says.

The  Commission’s enterprise and industry department last year issued a mandate to three standards-setting organisations to determine how smart
meters should communicate with grid operators and energy suppliers, and other factors important to interoperability. But the organisations are not expected to complete their work until November 2011.

A group of metering

manufacturers (including Iskraemeco, Itron and Landis and Gyr) have decided that the Commission’s mandate is too broad to deliver interoperability. They launched their own standards-setting initiative (known as IDIS) in September 2009. They say it is complementary to the Commission’s work. 

The roll-out of smart-grid technology in Europe is a massive undertaking, and its success will depend to a large extent on getting the right regulatory environment.

The EU still has much work to do to put that environment in place.

Authors:
Jim Brunsden 

Liz Taylor pleure sur Twitter

L’actrice Elizabeth Taylor, 77 ans, hospitalisée peu après la mort du roi de la Pop continue de poster des messages sur la Toile pour faire part de son désespoir

Un chagrin, très communicatif

Liz Taylor a été hospitalisée mardi 14 juillet à Los Angeles. Elle avait déjà rassurer ses fans en leurs annonçant sur un Twitt qu’elle entrait en clinique «pour terminer un examen» en cours. Mais les rumeurs allaient bon train sur son état de santé. Pour quelles raisons l’actrice aux deux Oscars nécessitait-elle des soins? La perte de l’être cher avait-elle usé ses dernières forces?
«Mon coeur, mon âme sont brisés. J’aimais Michael de tout mon coeur et je ne peux pas imaginer ma vie sans lui», écrivait le 26 juin la comédienne meurtrie par la disparition de l’interprète de Thriller.

«A l’heure actuelle, elle est entourée de sa famille, d’amis et de bijoux magnifiques», s’était contenté de commenter son attaché de presse, très bling-bling.

Aujourd’hui, l’ex-Célopâtre est remise sur pied, enfin presque…

Dame Elizabeth Taylor a parlé sur Twitter. Certes la diva est accablée par la mort du King, mais elle va mieux. «Je suis rentrée à la maison» avec des douleurs mais intacte. Bien sûr je pleure toujours Michael (…) je le pleurerai toujours», a-t-elle déclaré sur la populaire plate-forme de micro-blogs.

«J’ai traversé beaucoup de tragédies dans ma vie, mais je suppose qu’elles m’ont toutes appris quelque chose. C’est ainsi que je dois regarder» les choses, a ajouté la star aux yeux violets.

La vedette multimariée avait surpris en ne se rendant à l’immense cérémonie qui s’est déroulé au Staples Center. Toujours sur le web, elle avait expliqué ne pas vouloir participer à un hommage public, affirmant qu’elle n’était pas certaine de trouver les mots pour cet ami si cher. «Il vivra éternellement dans mon coeur mais ce n’est pas assez. Ma vie est tellement vide désormais. Personne ne peut imaginer à quel point nous nous aimions…»

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Lundi 20 juillet 2009

Algérie : le village de Sidi Fredj ressuscite grâce au figuier de Barbarie et à son huile antirides

Originaire du Mexique, le cactus Opuntia ficus-indica s’est répandu sur le pourtour méditerranéen après la découverte des Amériques au XVe siècle. Avec ses grands rameaux aplatis appelés “raquettes”, il fait partie du paysage aride des campagnes algériennes, à l’état sauvage ou planté comme haie naturelle.La cosmétique et de nouvelles perspectives alimentaires ont dernièrement dopé sa production, alors que jusqu’à présent, il était cultivé pour son fruit à la chair goûteuse et sucrée – rapportant à peine de quoi vivre, avec des figues vendues 10 dinars pièce (7 centimes d’euro).Des experts mexicains ont prodigué leurs conseilsL’industrie cosmétique ainsi que les magazines de mode européens et américains vantent les propriétés antirides de l’huile de figue de Barbarie, extraite des pépins. Des études scientifiques ont aussi révélé les multiples vertus nutritionnelles et médicinales de cette plante. Les fleurs, riches notamment en vitamine C, calcium et magnésium, se consomment en tisanes. Et la pulpe du fruit sert pour des confitures, des jus ou du vinaigre.A l’exception des épines dont on ne tire rien (pour l’instant), la plante peut ainsi être entièrement utilisée et valorisée.Depuis 2013, la Chambre d’agriculture de la région de Souk Ahras, où se trouve Sidi Fredj, a encouragé le développement d’une filière algérienne du figuier de Barbarie en attirant des experts du Mexique, pays d’origine et premier producteur mondial de cette plante, mise à l’honneur sur le drapeau national.Ces spécialistes aident les agriculteurs algériens à améliorer les rendements en identifiant les “variétés les plus avantageuses” à cultiver sur leurs terres, explique à l’AFP Gabriel Rosenzweig, ambassadeur du Mexique en Algérie.Une première unité de production, dédiée aux huiles, vinaigres et jus a ouvert dès 2015 à Sidi Fredj.L’une des huiles les plus chères du mondeEt une nouvelle usine, inaugurée en 2018, doit doper la production régionale. En 2018, elle était de 1 000 litres. L’objectif visé en 2019 est de 7 000 litres. A la clef, l’une des huiles les plus chères du monde : pas moins d’une tonne de graines est nécessaire pour produire un litre de cet “élixir” qui peut se vendre plus de 2 000 euros le litre en Europe, une fois conditionné en petits flacons. Les producteurs de la région de Sidi Fredj en tirent 500 euros du litre vendu en gros.Certifiée bio par des organismes étrangers – une telle certification n’existe pas en Algérie -, cette huile de figue de Barbarie s’exporte en France, en Allemagne, au Qatar et bientôt aux Etats-Unis, explique à l’AFP un agriculteur, Djamel Chaib.Dans la région conservatrice de Souk Ahras, la transformation du cactus a fait émerger une économie familiale qui offre aux femmes, souvent employées pour la récolte, une indépendance financière et aux jeunes un espoir d’avenir. En Algérie, 30% d’entre eux sont au chômage. Ces terres qui “permettaient juste de survivre nous donnent de l’espoir. Pas besoin d’aller ailleurs“, se réjouit Fethi, 40 ans, aujourd’hui serein pour son avenir et celui de sa fille de 10 ans, dans le village de leurs ancêtres.Une plante alliée de l’homme face au réchauffement climatiqueRéservoir naturel d’eau, le figuier de Barbarie est “un puits botanique capable de fournir jusqu’à 180 tonnes d’eau par hectare” et ses racines améliorent la fertilité des sols, relève la FAO, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture.Pour preuve, dans les endroits où de l’orge a été plantée entre les rangées de figuiers, les rendements à l’hectare de la céréale ont été multipliés par sept, souligne le Pr Khodir Madani, directeur d’un laboratoire universitaire de recherche.Une opportunité pour l’Algérie, pays le plus étendu d’Afrique dont 80% du territoire est aride ou semi-aride.Aux yeux de la FAO, comme le cactus est capable de pousser sur des terres pauvres “où aucune autre culture” ne le peut, “cette ‘humble plante’ continue silencieusement mais fermement à gagner une place de premier plan” face au changement climatique et aux risques accrus de sécheresse. La Tunisie et le Maroc voisins se sont eux aussi lancés dans la filière.Click Here: new zealand rugby team jerseys

VIDEO. “Je soutiens l’intervention militaire” : en Colombie, l’appel de Vénézuéliens en faveur d’une aide américaine

“Les médicaments, les aliments sont en train de brûler”, constate sur le sol colombien un Vénézuélien, présent samedi 23 février à Cucuta, près de la frontière avec son pays. Il voit l’aide humanitaire s’envoler en fumée. Des stocks que le président autoproclamé du Venezuela, Juan Guaido, attend, mais que le chef d’État en exercice, Nicolas Maduro, refuse. 

JEREMY TUIL / RADIO FRANCE

Sur le pont Francisco de Paula Santander qui relie Cucuta (Colombie) à Urena (Venezuela), des Vénézuéliens montent au front, mais ils sont repoussés par les gaz lacrymogènes, par les tirs de balles en caoutchouc. Ils sont à quelques mètres de leur pays, mais restent bloqués de l’autre côté de la frontière, comme ces camions de l’aide humanitaire, incendiés.“C’est la preuve que Maduro est un dictateur. Il est illégitime, clame un manifestant Regardez ce qu’il fait pour se défendre, pour repousser la dérouillée qui l’attend.” Un peu plus loin, Gaby Arellano, députée de l’opposition, affirme que “le monde entier a vu la police nationale bolivarienne mettre le feu”

Gaby Arellano, députée de l’opposition vénézuélienne, à Cucuta (Colombie), le 23 février 2019. (BENJAMIN ILLY / FRANCE-INFO)

Le régime a décidé de brûler les stocks de médicaments qui devaient sauver des vies, résume la parlementaire de Caracas. “C’est un crime contre l’humanité que Nicolas Maduro vient de commettre sur le pont. Tout le monde l’a vu”, poursuit Gaby Arellano. 

Des affrontement, le 23 février 2019, sur le pont colombien qui mène à Urena, au Venezuela. (BENJAMIN ILLY / FRANCE-INFO)

Des manifestants, souvent jeunes, visage masqué, se protègent des gaz lacrymogènes et jettent des pierres, des cocktails Molotov sur les forces armées de l’autre côté de la frontière. Un camion d’aide humanitaire s’est transformé en barricade. “Vivant ou mort, Maduro va partir”, veut croire un Vénézuélien. Un jeune homme est à terre, blessé au bras et au menton. “ll y a des blessés graves, beaucoup de blessés, explique un jeune médecin. On a transféré plusieurs personnes à l’hôpital.” Il a décidé de s’impliquer : “C’est une lutte pour défendre la vie.”  

Des affrontements et des blessés sur le pont entre Cucuta (Colombie) et Urena (Venezuela), le 23 février 2019. (BENJAMIN ILLY / FRANCE-INFO)

“Il y a tellement de gens qui meurent au Venezuela par manque de médicaments”, renchérit Erika, qui assure avoir été prisonnière politique sous le régime de Nicolas Maduro. “Ce qu’ils sont en train de faire c’est un crime atroce, commis par nos frères vénézuéliens. Maduro veut séquestrer notre pays. Il ne laisse pas entrer l’aide humanitaire, lance cette femme, qui attend l’aide des Etats-Unis. Beaucoup d’enfants meurent à cause de la malnutrition. Ce n’est pas un jeu. Je soutiens l’intervention militaire. Je le demande du fond du cœur, Monsieur le président des Etats-Unis, aidez-nous, car ici ce sont nos pierres contre leurs balles.”

Tensions autour de l’impossible entrée de l’aide humanitaire au Venezuela – un reportage à la frontière colombienne de Benjamin Illy–‘—-‘–

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Laos : à la découverte du marché de Luang Prabang et de son précieux papier

Un serpent lumineux qui traverse toute la ville de Luang Prabang, c’est son marché de nuit. Tous les jours, dès le coucher de soleil, la rue se transforme pour devenir le plus grand marché d’artisanat de toute l’Asie du Sud-est. Et il y a un produit unique vendu sur ces étales : le papier Saa. Fabriqué dans les villages aux alentours à partir de l’écorce de mûrier, il est transformé, décoré, coloré.Les ombrelles, emblèmes de la villeC’est avec ce papier que sont fabriquées certaines lanternes, mais aussi les ombrelles multicolores. Ces dernières sont devenues l’emblème de la ville et les Laotiens les adorent. “Toutes les filles aiment ces ombrelles, nous les utilisons pour nous prendre en photo et danser avec”, confie une jeune fille au micro de France 2.Le papier Saa est toujours fabriqué de la même façon depuis des siècles. Dans les forêts des environs, les hommes collectent l’écorce du mûrier, un arbre qui pousse en abondance ici. Ensuite, ce sont les femmes qui se chargent du reste du travail. Souvent à même le sol, devant leur maison, l’écorce est tout d’abord bouillie, puis réduite en fibres. Chaque feuille doit ensuite sécher 24 heures au soleil.Le JT

  • JT de 20h du samedi 2 mars 2019 L’intégrale

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