Les lectures coups de coeur, ça se partage.Notre communauté vous recommande chaque jour un nouveau livre.Aujourd’hui, « L’Homme Imaginaire » de Céline Jacobs, paru le 2 juillet 2021 aux Éditions Lys Bleu.
Christian Dorsan, romancier, blogueur et contributeur du groupe de lecture 20 Minutes Livres, vous recommande L’Homme Imaginaire de Céline Jacobs, paru le 2 juillet 2021 aux Éditions Lys Bleu.
Sa citation préférée :
Ce n’est pas suffisant de savoir que tu tiens à moi. Je suis foncièrement indépendante, pas le choix. Mais demande-toi si ta petite amie se satisferait d’un “je tiens beaucoup à toi-même si je fais l’amour avec une autre.” Moi, c’est mon lot quotidien.
Pourquoi ce livre ?
Parce qu’aimer n’est pas une aventure simple quand celui qu’on aime n’est pas disponible et qu’un drame ancien a laissé des cicatrices. C’est un récit qui oscille entre espérance, colère, désillusion et résignation. L’héroïne passe par ces étapes avec une sensibilité à fleur de peau.Parce que rédigé comme un journal intime, l’homme, Pat, intervient sous forme de dialogue (imaginaires ?) et c’est la bonne idée de ce livre car ponctuellement, cette deuxième voix alimente l’introspection de la narratriceParce que Céline Jacobs a une bonne connaissance des relations homme femme, et que cette culture-là lui permet de nous impliquer dans cette histoire.
L’essentiel en 2 minutes
L’intrigue. Une jeune femme hypersensible vit un amour qui semble être à sens unique. Entre dialogues, confidences et cahier intime, elle raconte cette histoire.
Les personnages. Cathy, jeune femme sensible marquée par la disparition d’un premier amour, Pat l’homme dont elle est amoureuse, Alice et Laura, des rivales
Les lieux. Cette histoire peut être vécue n’importe où.
L’époque. Actuelle.
L’auteur. Céline Jacobs est une journaliste et professeure des Médias. L’homme imaginaire est son deuxième roman.
Ce livre a été lu avec surprise. L’auteure connaît bien les recoins de la sensibilité humaine et nous entraîne dans des méandres universels de nos vies amoureuses.
Acheter ce livre sur Amazon
Vous voulez nous recommander un livre qui vous a particulièrement plu ? Rejoignez notre communauté en cliquant ici
20 Minutes de contexte
Une partie des liens de cet article sont sponsorisés. A chaque fois que vous achetez un livre via l’un d’entre eux, nous touchons une commission qui nous aide à payer nos factures. Pour éviter tout conflit d’intérêts, nous avons adopté la méthode suivante:
1. Les contributeurs de la rubrique choisissent leurs livres, réalisent leurs fiches et leur critique en toute indépendance, sans se soucier des liens éventuels qui seront ajoutés.
2. Les liens sont ajoutés a posteriori, à chaque fois que nous trouvons le produit recommandé sur une de nos plateformes partenaires.
On y a cru, puis non, puis finalement si… Antoine Griezmann s’est libéré in extremis de sa gangue barcelonaise, dans laquelle il était empêtré depuis deux saisons. Retour à l’Atlético Madrid pour l’attaquant international français. Là où il a tant brillé avant de tenter l’aventure catalane.
« Merci pour tout petit prince »… Rennes dit adios à Eduardo Camavinga via @20minutesSport https://t.co/A5R4y1kuai
— 20 Minutes Sport (@20minutesSport) August 31, 2021
Si tous les mouvements de la dernière journée du mercato, bouclé lundi à minuit, n’ont pas été aussi chaotiques, certains sont remarquables, comme le transfert d’Eduardo Camavinga au Real Madrid, pour plus de 30 millions d’euros. Le jeune milieu de 18 ans tentera de rallumer les folles promesses de ses débuts rennais, un peu éteintes ces derniers mois.
En attendant Kylian Mbappé l’an prochain ? L’attaquant virtuose des Bleus a été retenu par le PSG cet été alors que la Maison Blanche était prête à lui dérouler le tapis rouge.
Sport
Mercato OL : Jerome Boateng passe sa visite médicale, Lyon conclut un gros coup
Sport
Mercato : Nuno Mendes débarque au PSG, Griezmann au milieu d’un gros imbroglio… Revivez cette dernière journée en direct
Spécialisé dans les équipements pour l’entretien des sols, le fabricant Vileda lance avec son JetClean un appareil 3-en-1.Aspirant, lavant et séchant, maniable également, cet aspirateur vendu 249 euros s’avère assez efficace pour un entretien régulier de son logement.Mais son poids élevé et son câble électrique restent des handicaps là où d’autres modèles similaires et plus légers fonctionnent, eux, sur batterie.
Le temps. Cette donnée essentielle qui risque de plus en plus nous manquer avec la rentrée. Pour la corvée de l’entretien des sols de la maison, les aspirateurs balai lavants peuvent être d’un grand secours : comme leur nom l’indique, ils aspirent la poussière et lavent le sol en même temps.
Le JetClean de la marque Vileda fait partie de ceux-là. Il ajoute même le séchage à ses prestations ! Alors que les vacances ont un peu asséché nos finances, nous avons été attirés par le prix de l’appareil qui ne nous a pas semblé excessif : 249 euros. Un tarif assez engageant au regard des promesses du JetClean sur le papier. Du coup, nous l’avons essayé…
Sans produit d’entretien
Déception au déballage : le JetClean est un aspirateur-balai filaire. Il ne fonctionne donc pas sur batterie et sa mobilité risque d’être contrainte. Ceci explique sans doute son tarif contenu. Assemblé en deux minutes, l’appareil pèse 4,7 kg ce qui reste un poids élevé. Un de ses concurrents, le Bissell Crosswave 2582N sans fil que nous avions testé pèse, lui, 5,2 kg, mais possède une batterie. Se maintenant seul en station « debout », le modèle Vileda se range facilement.
Si l’on scanne la bête du regard, on distingue juste sous son manche un réservoir d’eau de 640 ml. Un gobelet doseur est fourni pour le remplir. La marque Vileda, précise qu’il est possible d’ajouter « en option » une goutte de détergent pour sols. Le fabricant d’équipements pour l’entretien des sols ne pousse donc pas à la consommation. Un bon point, aussi, pour l’environnement. D’autres marques, comme Kobold et son aspirateur balai lavant VB100 recommandent d’utiliser exclusivement leurs produits… imposant de passer régulièrement à la caisse pour s’offrir des flacons de produits détergents. Plus bas se trouve le collecteur (400 ml). C’est là qu’atterriront les saletés aspirées, mais aussi l’eau sale, elle-même aspirée.
Enfin, tout en bas, la tête d’aspiration du JetClean est équipée d’une brosse microfibres. Celle-ci s’active à l’aide d’une gâchette sous la poignée. On peut donc non seulement aspirer, mais aussi aspirer et laver en même temps.
Maniable mais bruyant
A l’essai, le JetClean s’avère assez commode d’emploi. Nos craintes quant à son embarrassant câble d’alimentation ont été partiellement levées. Certes moins pratique qu’un aspirateur fonctionnant sur batterie, nous avons pu réaliser notre petit ménage étage par étage sans avoir à le brancher/débrancher sans cesse, les 7 mètres de son câble correspondant finalement à une longueur pratique. Et ici, pas de problème d’autonomie !
Attention : le JetClean est bruyant : nous avons mesuré son niveau sonore à 76 db (A), ce qui est assez élevé. Les aspirateurs les plus bruyants flirtent habituellement avec les 80 db (A)… Ne comptez donc pas faire le ménage pendant que votre moitié ou les enfants dorment…
La tête articulée de l’appareil s’oriente assez facilement et passe sous de nombreux meubles (lit, canapé…). Mais lors de nos essais, son épaisseur de 9 cm ne lui a pas permis de s’immiscer sous certaines armoires. Néanmoins, l’appareil est assez maniable. Durant un cycle de nettoyage, il est donc possible de déclencher le lavage lorsque désiré. En appuyant sur la gâchette sous la poignée, la brosse lavante est humidifiée à l’aide de 8 jets et tourne à raison de 8.000 tours par minute. Huit LEDs à l’avant de la brosse s’allument alors et permettent de mieux repérer les éventuelles salissures.
La fin des petites traces
La puissance d’aspiration du JetClean fait remonter poussières et eau sale vers le bac collecteur. Nous avons constaté que les petites taches sur notre carrelage et autres traces de pas disparaissaient rapidement. Un ou deux passages de la brosse et nous n’en parlions plus. Comme collés au sol, des matières plus incrustées (comme des résidus de pâtée desséchée au bord de la gamelle de notre chat !) ont été plus délicates à supprimer, nécessitant d’insister un peu sur la surface à nettoyer.
A l’arrière de la brosse, une raclette supprime les résidus d’eau lorsque l’on fait marche arrière avec l’aspirateur. Par endroits (et notamment sur les joints de notre carrelage), il en est parfois resté. Bon point cependant : le JetClean disposant de deux réservoirs, il lave toujours avec de l’eau claire.
Un cocktail peu ragoûtant d’eau et poussières
Globalement, le JetClean de Vileda donne satisfaction. Cet aspirateur lavant et séchant nous semble un bon parti pour des petits entretiens réguliers, notamment ceux des petits logements. Quinze minutes d’aspiration/lavage sur un sol que nous ne pensions pas trop sale ont créé dans le collecteur de l’aspirateur un mélange d’eau bien opaque dans lequel surnageaient de nombreuses poussières et petits déchets que nous n’avions pas forcément repérés à l’œil nu avant notre ménage… Peu ragoûtant. Attention : le vidage de ce bac après usage est à effectuer dans des toilettes afin de ne pas prendre le risque de boucher les canalisations d’un évier.
Et l’entretien du JetClean est simple : il suffit de faire tourner sa brosse sur un socle fourni durant deux minutes pour qu’elle soit rincée à l’eau claire. Pour un lavage plus en profondeur de votre logement, il sera cependant judicieux de revenir régulièrement à un système plus conventionnel et à l’huile de coude à l’aide d’une classique serpillière qui pourra passer vraiment partout. Mais l’appareil rend service. Son principal défaut reste finalement son câble d’alimentation dans un univers où des modèles concurrents en son dépourvus. A noter que des aspirateurs robot peuvent aussi laver, comme l’Ecovacs D605 que l’on trouve actuellement à 249 euros également en exclusivité sur Internet.
High-Tech
Triflex HX1 Pro: L’aspirateur de Miele est-il plus efficace que son rival, le Dyson V11 Absolute Extra?
High-Tech
CrossWave Cordless Max de Bissel : Aspiré, lavé, séché, le ménage de printemps vite fait bien fait ?
Evacuons d’entrée la seule mauvaise nouvelle de la soirée aux Jeux paralympiques de Tokyo puis focalisons-nous sur le reste : la France est sortie du Top 10 au tableau des médailles et pointe samedi matin au 13e rang, derrière l’Azerbaïdjan et l’Ouzbékistan. Mais au diable les classements, la délégation tricolore s’est tout de même bien gavée dans la nuit de vendredi à samedi, avec une médaille d’or et huit autres podiums paralympiques.
Hanquinquant au sommet en triathlon
Triple champion du monde et d’Europe en titre de triathlon, Alexis Hanquinquant, pour ses premiers Jeux, a assumé son rôle de favori dans la catégorie PTS4 et offert à la France son troisième titre paralympique, tout en donnant le ton d’une journée généreuse en médailles.
« Le plan s’est déroulé à la perfection », savoure le Normand de 35 ans, amputé de la jambe droite sous le genou à la suite d’un accident du travail sur un chantier en 2010. Il était alors champion de France de boxe full-contact chez les valides. « La meilleure stratégie était d’attaquer, quand je sors de l’eau et qu’on m’annonce 25 secondes d’écart, je me dis que c’est vraiment un bon jour », décrit le triathlète qui a relégué à près de quatre minutes son poursuivant japonais Hideki Uda, au bout de 750 m de natation, 20 km de cyclisme et 5 km de course à pied.
Le Fur en argent
Un peu moins de réussite du côté de Marie-Amélie Le Fur, mais une très belle performance à la clé tout de même : pour ses cinquièmes Jeux, elle a réussi son pari de conquérir une neuvième médaille. Tenante du titre en saut en longueur (catégorie T64), la présidente du Comité paralympique et sportif français (CPSF) est passée près de le conserver avec un dernier bond à 6,11 mètres, trop court de seulement cinq centimètres. Vraiment pas de bol.
Du bronze, du bronze, encore du bronze
Sur la piste du vélodrome d’Izu, déjà pourvoyeuse de quatre podiums depuis le début des Jeux, le duo formé par Raphaël Beaugillet et le septuple champion du monde chez les valides, François Pervis, a pris la médaille de bronze du kilomètre en tandem pour 82/100. « Enfin ! », a savouré le cycliste malvoyant. « Et merci à François d’avoir adhéré au projet. Aujourd’hui, on n’a fait qu’un. »
Quatre médailles du même métal sont tombées en tennis de table. L’expérimentée Thu Kamkasomphou, 52 ans, a signé un sixième podium individuel (Classe 8) en six Jeux. Elle avait commencé son aventure paralympique en 2000 par un titre à Sydney (en Classe 9 à l’époque).
Comme à Rio, le pongiste en fauteuil Maxime Thomas a pris aussi la troisième place en individuel (Classe 4), sa quatrième médaille paralympique additionnée à celles obtenues par équipes. Il a été imité par Lucas Créange, qui a glané sa première médaille en Classe 11, dédiée au handicap cognitif, et par Anne Barnéoud : aphasique et hémiplégique côté droit depuis un AVC à quatre ans, celle-ci a remporté sa première médaille en individuel (Classe 7), après une médaille de bronze obtenue par équipes à Pékin, en 2008.
Sport
Jeux paralympiques 2021 : Le pistard Alexandre Léauté offre la première médaille d’or à la France
Sport
Jeux paralympiques 2021 : Dorian Foulon décroche la deuxième médaille d’or pour la France… Le récap de la nuit
Les premières sanctions disciplinaires commencent à tomber à l’encontre de l’OGC Nice et de l’OM impliqués dans les incidents de l’Allianz Riviera dimanche. Mercredi, la Ligue de football professionnel (LFP) a suspendu un membre du staff de Marseille et prononcé un match à huis clos à Nice, en attendant d’autres décisions le 8 septembre.
Seul acteur du jeu sanctionné pour le moment, le préparateur physique de l’Olympique de Marseille, Pablo Fernandez, a été suspendu « de toutes fonctions officielles » à titre conservatoire. Les images de son sprint de 50 m pour aller asséner un coup de poing à un supporter descendu sur la pelouse avaient fait le tour des réseaux sociaux. Il risque plusieurs mois de suspension.
Une bouteille comme étincelle
Quant à l’OGC Nice, responsable du comportement de ses supporters au regard du règlement, il devra disputer son prochain match sans spectateurs, un « huis clos total », samedi contre Bordeaux à 17 heures, en attendant les décisions définitives. Pour le reste, et sans surprise, la commission de discipline de la LFP a placé le dossier en instruction, et promet de rendre ses décisions le mercredi 8 septembre.
Il faudra bien deux semaines pour étudier chacun des incidents survenus lors de la rencontre de la 3e journée de Ligue 1, interrompue au bout de 75 minutes lorsque le milieu de l’OM Dimitri Payet a reçu une bouteille dans le dos, lancée depuis les tribunes. Bouteille qu’il a relancée vers le public, avant que des dizaines de spectateurs n’envahissent la pelouse, provoquant une bagarre générale et des échauffourées impliquant joueurs, membres d’encadrement, supporters et même dirigeants en tribune présidentielle.
Pas de réactions des clubs
Pour être entendu mercredi, le directeur du football de l’OGC Nice, Julien Fournier, s’est présenté avant 17 heures au siège de la LFP, à Paris, suivi quelques minutes plus tard par le président Jean-Pierre Rivère. Les représentants marseillais, dont le président Pablo Longoria et le directeur juridique Alexandre Miahle notamment, se sont de leur côté présentés en visioconférence à cette première audience de la commission de discipline. Sollicité mercredi soir, l’OM et Nice n’avaient pas réagi en fin de soirée.
Justice
Le supporter niçois soupçonné d’avoir donné un coup de pied à Payet sera jugé fin septembre
Sport
Pour Nicolas Hourcade, « les événements de Nice ne remettent pas en cause le dialogue ouvert avec les supporters »
WWE star John Cena recently spoke with ABC News to promote his new movie “Blockers”, and below are some interview highlights.
On the longevity of his WWE career and the uncertainty of his future:
“The fact that I’ve been able to do it at the pace that I have for 16 years, that’s not your regular statistic. That falls into like the Tom Brady category. I’m not supposed to be where I am anyway. So I don’t know when it’s all going to end.”
Read Also: How Did “Blockers” Do In Its Opening Weekend At the Box Office?
On his new movie “Blockers”:
“Culture has changed. We’re in the information age. There’s a massive push as you know for equality and fair treatment across the board. And this movie it takes it head on,” Cena said. ”It’s not preachy about it. You don’t sit down and feel you’re hit over the head with messaging. It just assumes that you know we are up to speed as a culture. These girls are going to take their sexuality into their own hands because that’s what is going on out there. And I really think it is a brave approach by Kay. But I really I love it. It’s the right one.”
WWE NXT superstar, Johnny Gargano recently spoke with Chris Van Vliet of WSVN-TV, where he covered a vast majority of topics, below are some highlights of the interview with a h/t to Rajah.com for the transcription.
Worries about being watered down on the main roster:
“People are really worried about that. I get that on Twitter a lot that people like ‘I don’t want to see Johnny go to the main roster because he’s going to get messed up’. Look, I’m just me. I’m just Johnny Gargano. I’m the same Johnny Gargano I always have been so if you see anything I’ve done in NXT, you’re seeing the real me and they’ve treated me very good so I have no worries about where we’re going in the future.”
“I get a lot of comparisons to Daniel Bryan and trust me, I am flattered by all of them because we mentioned New Orleans and WrestleMania, I watched it at home and watched Daniel Bryan in the main event of WrestleMania achieve his dreams. I’ve said this numerous times, I’ve been in the ring with Daniel Bryan and he’s the best wrestler in the world, bar none. So to be able to see him come back this year, and I know he recently said in an interview that he wanted me to lose so he could steal me to go on Smackdown Live which I very much appreciate. I’m going to give him a raincheck on that one because I still have a couple of things I want to accomplish in NXT.”
Working with his wife in NXT:
“It’s amazing how everything has worked out. It’s literally a dream come true to be in the position I’m in. To be able to main event Takeovers but also to have my wife there with me now. Candice has worked just as hard as I have if not harder. Especially for what she did on the indies, she was an absolute trendsetter. So me being biased as her husband, I’m pumped to see her in NXT so I can be with her, but as a pure wrestling fan I am so excited to see her in NXT because she’s one of the best wrestlers in the world.”
Chris Jericho, who will be returning to WWE for the Greatest Royal Rumble match next, recently appeared on “In This Corner” podcast, and below are some interview highlights:
“It’s just one of those things where it’s a once-in-a-lifetime opportunity,” Jericho told CBS Sports’ “In This Corner” podcast on Wednesday. “Obviously, you are getting a chance to work with Saudi Arabia at the highest levels. We have been there in 2015 and had some great shows but it seems like they are kind of trying to change the way things are done over there. And it’s really cool to have been asked by WWE to be a part of it. As you know, I’m not working there full time right now but still part of the family.”
On his relationship with WWE:
“It’s good enough that they called me when this show came up,” Jericho said. “I have a really good relationship with the company and with Vince in that I’ve been working there for 17 years pretty much, on and off. Up until this year when I did the show with New Japan, I have never wrestled in any other ring other than the WWE ring since 1999 and Vince knew about [NJPW] right from the start. It’s one of those things where WWE is my home base for wrestling. I’m not a full-time performer in the wrestling world, nor have I been since 2010.”
On his Casket match against The Undertaker being scrapped:
“Whether they want me to be part of the Royal Rumble or work against The Undertaker or work against Funaki in a lingerie match — whatever needs to be done, I’m happy to do it,” Jericho said. “That’s the good thing about kind of my legacy and where I am at this point in my career is I can come and do whatever needs to be done — opening match, main event, whatever it is — and it’s going to be good. Things change, this is part of the world of WWE and happens all the time. For me, until I actually walk into the ring, sometimes you never know what is going to happen. Things get changed during the show sometimes. I think sometimes fans get a little bit too excited about certain things that happened.”
Tiffany vit un véritable conte de fées depuis un peu plus de deux ans. Grâce à Mariés au premier regard, l’auxiliaire de puériculture a trouvé l’amour dans les bras de Justin, un professeur de sport. Très vite, les tourtereaux ont emménagé ensemble et se sont fiancés. Leur mariage a été célébré en mai dernier, alors que l’ancienne candidate de M6 était enceinte de leur petite fille, Romy. Une merveille née le 14 juillet 2018 pour leur plus grand bonheur.
Seule ombre au tableau : certains commentaires désobligeants. Si elle reçoit de nombreux messages positifs, certains s’amusent à critiquer ses moindres décisions. Comme le fait qu’elle ait souhaité arrêter l’allaitement après cinq mois. Et au départ, l’épouse de Justin a eu du mal à encaisser les réflexions : “Au début, j’avais beaucoup de mal parce que je suis hyper nature, je suis sans filtre. Je partage ma vie comme je la vis. Du coup, c’est vrai que ça me prenait vraiment à coeur. C’est touchant quand on partage des choses de sa vie et qu’on s’en prend plein la tronche. Heureusement, ça reste rare.“
Depuis, Tiffany a su faire la part des choses et préfère en rire. “C’est toujours le même style de comptes et de personnes, ça me fait rire“, a-t-elle ajouté. Elle est ensuite revenue sur les menaces qu’elle pouvait recevoir au quotidien : “Souvent, ce ne sont pas des menaces très méchantes. Je pense que ce sont des filles qui s’ennuient chez elles. Je supprime, je bloque le compte et ça passe assez vite. C’est, entre autres, pour ça que je masque le visage de ma fille. J’essaie de la protéger le plus possible. Je me dis que ça ne m’attend pas, mais je ne voudrais pas que ça atteigne ma fille.“
Toute reproduction interdite sans la mention de Purepeople.com.