« Stranger Things » : Un nouveau trailer glaçant pour la saison 4, la sortie se précise

Aussi mystérieuse que son fameux Upside Down, la saison 4 de Stranger Things vient de se dévoiler un tout petit peu plus. Un nouveau trailer, sombre et glaçant, a été diffusé par Netflix ce samedi, rapporte le HuffPost. Dans la vidéo, on voit une famille emménager dans une nouvelle maison, dans les années 1950 aux Etats-Unis. La vieille bâtisse abritera évidemment des événements effrayants et mystérieux, dans une ambiance digne des plus grands films d’horreur et faisant honneur à tous les codes du genre cinématographique.

Des annonces lors du « Tudum »

La saison 4 de la série arrivera sur la plateforme de streaming en 2022, soit trois ans après la saison 3 (sortie sur Netflix en juillet 2019). Aucune date précise de diffusion n’a été communiquée. Deux premiers trailers nous avaient déjà donné un aperçu de la suite, qui se concentrera notamment sur le passé d’Eleven, rappelle Phonandroid.

La vidéo a été dévoilée par Netflix lors de son événement virtuel « Tudum » ce week-end. La plateforme américaine en a profité pour faire de nombreuses déclarations qui ont enthousiasmé les fans, à l’instar de l’annonce d’une saison 4 pour Sex Education, dont la saison 3 est disponible depuis quelques jours sur le site.

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Ozzak, le site qui aide les cinémas à remplir leurs salles en cassant les prix

Ozzak est une start-up nantaise fondée par trois entrepreneurs.Son concept est la vente de places de ciné à des tarifs préférentiels (-30% ou -50%).Deux multiplexes nantais adhèrent au projet pour commencer. Mais l’ambition est un déploiement national.

Aller plus souvent au cinéma sans s’abonner et sans dépenser plus, beaucoup en rêvent. C’est justement l’idée d’Ozzak, dont le lancement commercial est officiellement donné ce lundi. Conçue par trois jeunes entrepreneurs nantais, cette plateforme numérique propose des places de ciné à prix cassés pour des séances que les exploitants auraient des difficultés à remplir. Les tickets sont vendus 6,70 euros ou 8,70 euros (dont 0,70 euro de frais de service), au lieu d’un tarif de 12,40 euros en moyenne dans un multiplexe.

L’offre sera majoritairement composée de projections en heures creuses, de films moins en vue ou de succès à l’affiche depuis plusieurs semaines. Mais il y aura aussi des « opportunités de dernière minute » et des « événements privilèges » (avant-premières, soirées spéciales, etc.). Objectif : « créer un nouveau levier de fréquentation pour les cinémas, en dehors de leurs outils de vente traditionnels ».

« On ne veut surtout pas brader le septième art »

« C’est une idée qu’on a eue il y a deux ans avec Mélanie et Cédric, mes deux associés, raconte Sylvain Mante, cofondateur d’Ozzak. On venait de quitter la vie étudiante, on n’avait plus droit aux réductions et on devait d’un coup payer nos places beaucoup plus cher. En tant que jeunes actifs, ça représentait un budget conséquent. Un soir, on s’est retrouvés dans une salle quasiment vide et on s’est demandé pourquoi ? C’était forcément une perte pour l’exploitant. On a alors mené une enquête auprès de nombreux cinémas. Et on s’est rendu compte que le critère numéro un pour aller au ciné c’était le prix, et que la sortie devenait de moins en moins spontanée. C’est dommage. En proposant des tarifs préférentiels on ne veut surtout pas brader le septième art. On veut, au contraire, permettre au cinéma de reconquérir les consommateurs. »

La méthode est inspirée du yield management, déjà très courant dans les transports ou l’hôtellerie. Le fonctionnement du site Internet, qui sera adapté en appli mobile « début 2022 », est relativement simple. « L’utilisateur entre son adresse et prend connaissance des films disponibles autour de lui, explique le cofondateur d’Ozzak. Ça peut être une séance aujourd’hui ou plus tard dans la semaine. Quand le film est retenu, il découvre dans quel cinéma partenaire il faut se rendre. Le paiement se fait en ligne. Un QR code est délivré et à présenter à l’entrée du cinéma. »

Gaumont et Pathé à Nantes pour commencer

Pour le moment, seuls deux cinémas de l’agglomération nantaise ont rejoint Ozzak : Pathé-Atlantis et Gaumont Nantes. Mais des discussions sont en cours avec d’autres salles françaises, notamment à Bordeaux et à Paris. « Nous espérons être présents dans cinq grandes villes et une vingtaine de cinémas partenaires d’ici un an », explique Sylvain Mante. Selon lui, l’intérêt des exploitants est beaucoup plus vif depuis la crise sanitaire qui a fortement pénalisé les salles de cinéma.

« Le projet d’Ozzak est très innovant, se réjouit Romain Delamare, directeur du Pathé-Atlantis. C’est une vraie solution pour nous aider, à terme, à remplir les séances dites plus faibles. Un cinéma comme le nôtre, avec une capacité d’environ 3.000 fauteuils, affiche un taux de remplissage entre 25 % et 30 % à l’année. La technologie d’Ozzak va permettre de mettre en avant des séances que nous transmettrons en fonction des besoins. »

Pour cette première semaine, des places pour Kaamelott, BAC Nord, OSS 117, L’Origine du monde, Les Méchants ou Dune sont proposées.

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L’agglomération nantaise compte une douzaine de cinémas. Dans le lot, figurent cinq multiplexes (Gaumont, Pathé Atlantis, UGC Atlantis, Cinéville, Ciné Pôle sud) mais aussi deux cinémas d’art et essai nantais : le Katorza (six écrans) et le Cinématographe (un écran). Les cinémas associatifs de quartier drainent aussi un public fidèle, à l’image du Concorde et du Bonne-Garde à Nantes, du Beaulieu à Bouguenais, du Saint-Paul à Rezé, du Vaillant à Vertou ou du Lutétia à Saint-Herblain.

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Nice : « Il y a une communauté qui vous encense mais aussi qui vous harasse », confie l’Azuréenne Karina Vigier, Tiktokeuse de 52 ans aux 363.000 abonnés

Karina Vigier, 52 ans, a débuté sur ses vidéos TikTok en mars 2020. Elle a maintenant plus de 363.000 abonnés.Cette éditrice de formation montre sur les réseaux sociaux son goût pour la mode à sa communauté « XXL », intergénérationnelle.Elle a également beaucoup de projets qu’elle compte développer avec des influenceurs du monde entier sur la Côte d’Azur.

Elle est arrivée « par hasard » et par ennui sur TikTok et recense désormais plus de 363.000 followers sur ce réseau. A 52 ans,  Karina Vigier, éditrice de magazines de mode, compte désormais faire rayonner la Côte d’Azur. Elle s’est confiée à 20 Minutes sur ce succès soudain et sur comment elle comptait le transformer.

Comment êtes-vous arrivée sur ce réseau considéré comme le préféré des adolescents ?

C’était par hasard. On était à Copenhague avec ma fille de 20 ans qui rigolait chaque soir en faisant défiler les vidéos sur TikTok. Un jour, comme on s’ennuyait beaucoup, je me suis greffée et on s’est dit qu’on allait en faire une en utilisant mon goût pour la mode et le vintage. On a mis quatre heures ! Maintenant, il me faut vingt minutes. Mais le TikTok a fait 330.000 vues. Noholita, une instagrameuse très suivie avec un million d’abonnés, l’a reposté en disant qu’elle aimerait être comme moi plus tard. En une nuit, je suis passée de 30 à 6.000 followers. Ensuite, c’est allé très vite. La maison de disques d’Aya Nakamura m’a contactée pour faire des transitions sur une de ses chansons, et après, il y en a eu d’autres. La plus grosse collaboration, c’était avec Zalando où j’ai eu 32 millions de vues sur un post.

Vous êtes maintenant considérée comme une influenceuse, comment le vivez-vous ?

Je préfère dire que je suis Tiktokeuse, même si c’est un terme de jeunes. Après, je n’ai jamais signé pour ça (rires). Je ne quitterai pas mon métier pour les réseaux sociaux mais je me rends compte que c’en est vraiment un. Pour le reste, je n’ai pas changé parce que j’ai désormais plus de visibilité. J’ai toujours été dans l’exubérance avec des lunettes trop larges ou des vêtements atypiques colorés. Je me sers de cette influence, même si je préfère le mot en anglais « inspiring », pour échanger avec ma communauté, répondre à leurs questions tout en transformant ce succès.

De qui se compose votre communauté ?

Je dis souvent qu’elle est XXL. Ça va de jeunes de 13 ans qui me voient comme dans le film Le diable s’habille en Prada, d’autres de la vingtaine qui s’interrogent sur les métiers de la mode à des nouvelles mamans dont la priorité n’est plus leur look. J’ai aussi des femmes de mon âge qui me demandent des conseils parce qu’elles voient leur corps changer. J’ai eu des messages où on me remerciait pour les messages que je faisais passer. Quand ça arrive, je me dis que si j’en ai dix comme ça, j’ai fait mon job !

Comment gérez-vous ce succès ?

Je n’ai pas de profil de carrière, pas d’objectif dans ce domaine. Je vis au jour le jour même si c’est vrai que je gagne plus en étant tiktokeuse qu’éditrice. Le constat, c’est surtout qu’il y a une communauté qui vous encense mais aussi qui vous harasse. Si on pense que les influenceurs sont éphémères, les « haters » [haineux, en français], sont bien pérennes. Et ils attaquent toujours sur le même point : mon âge. Le pire, c’est que parfois, ce sont des autres femmes. Au début, ça me rendait triste et je me demandais où était passé ce mot à la mode de « sororité », mais maintenant, je ne lis plus ces commentaires. Je ne veux plus être touchée par ce genre de choses. Après, je conçois que c’est déstabilisant. Avec les réseaux sociaux, on a toujours l’impression que la personne qu’on suit, est notre amie.

Et si tout s’arrête ?

Je n’ai pas peur. Je pense que ma force est aussi de savoir faire évoluer les choses qui se passent autour de moi. Je sais que je suis capable de rebondir, rien que par le réseau que je me suis créé. On prépare beaucoup de projets, notamment avec les acteurs locaux. En attendant, je m’amuse. Et puis, Vogue USA m’a interviewée, donc ça valait le coup (rires).

Il y a d’autres projets alors ?

Avec mon assistant Axel, on a créé notre agence « Point G » qui va, notamment, nous servir à développer des partenariats avec les acteurs locaux de la Côte d’Azur. On veut faire venir des influenceurs d’ailleurs pour faire rayonner le territoire à une plus grande échelle. Je suis aussi en train de préparer une masterclass sur les métiers de la mode. On s’est aussi dit qu’on allait aider des personnes très connues sur TikTok, de la communauté LGBTQ +, pour leur permettre de transformer leur expérience sur ce réseau et faire en sorte de gagner leur vie grâce à ça. Je veux mettre en relation et permettre de nourrir cette relation. De toute façon, tant que je me réveille avec la banane, c’est que tout roule, alors on continue !

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Aura, la sportive électrique intelligente

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Vitrine technologique des firmes britanniques BAMD Composites (carrosserie), Conjure (interface utilisateur), Astheimer (bureau de conception) et Potenza Technology (batteries et moteurs électriques), l’Aura est une voiture de sportélectrique qui met l’accent sur l’efficacité et la durabilité. Cette barquette dépourvue de pare-brise et de portières se veut aérodynamique. Equipée de deux batteries pour une meilleure répartition des masses, elle peut parcourir 640 km.

Sa puissance n’a pas été communiquée car l’Aura a été construite dans le but de mettre en pratique de nouvelles technologies. Elle est par exemple équipée d’un logiciel qui calcule la consommation de façon beaucoup plus réaliste grâce au fait qu’il prend en compte plus de paramètres pouvant l’influencer. Elle est également équipée d’une interface utilisateur qui utilise l’intelligence artificielle. Autant d’avancées qui se retrouveront un jour dans les véhicules de série.

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The Shield Ready to Take on the World, Enzo On Title Loss (Videos), How Did Nikki Do on DWTS?

Photo Credit: YouTube.com

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The Shield Will Take on the World

WWE has released the following video from Raw tonight, featuring The Shield issuing a warning to the WWE Raw roster that they will destroy everything in their path, and Rollins adds, “you can believe that.”

Enzo Blames Everyone For Title Loss

WWE has also released the following Raw Fallout video, featuring Enzo Amore reacting to his Cruiserweight Title loss on Raw tonight.

During the video, Enzo wants nothing to do with answering any questions, but he blames being outnumbered for his loss tonight. Enzo adds he is not going anywhere, he’s not defeated until he quits, and he does not intend to quit:

How Did Nikki Do on DWTS?

WWE issued the following on Nikki Bella’s “Dancing with the Stars” performance tonight:

“Nikki Bella is still in the running for the Mirror Ball Trophy on ABC’s “Dancing with the Stars” after an emotional contemporary dance inspired by her 2016 neck injury.

After surviving a double-elimination two weeks ago and a ballroom visit by fiancé John Cena last week, the Bella Twin danced to “Fight Song” with professional partner Artem Chigvintsev on Monday’s show and received her highest mark yet – a 24.

Before her contemporary dance, which took place in a wrestling ring and incorporated silks, Nikki revealed that 2016 was her most memorable year because she had to fight through a neck injury to return to the WWE ring.

“My hunger, my passion for wrestling and the ring, and wanting to be back with my WWE family,” is what Nikki said drove her comeback. “I had that hope. And hope overtook whatever fear I had. That’s why they call me Fearless Nikki.”

With three 8s from the judges, Nikki’s scores are on the rise during the fourth week of competition.

“I thought it showed off not only your dance skills, but your athletic skills,” said judge Len Goodman. “It was strong, it was powerful, it was dynamic. For me, it was it great. Well done.””